Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
20 Octobre 2018
Un jour de soleil
Ce fut un jour de soleil,
Celui de la récolte.
Il n’y a pas son pareil,
Dans le désinvolte.
Remplir la grande corbeille,
Celui de la révolte.
Des fruits rouges à l’oreille
Sans un faux-colt.
Des fleurs au cou pour pare-soleil,
Celui en giga volt.
Les oiseaux chantent sur la treille,
S’élancent, virevoltent.
Le parfum embaume la corbeille
Celui de nos mégas-volts.
La balle de l’univers est la bouteille,
Elle tourne à l’archivolte.
Mon Dieu, elle est la merveille,
Parmi ces micromètres volts.
8 juin 2015
C’était un été
C’était un été,
Un certain amour,
Un certain soleil glamour,
Pour un feu Saint Amour
Ce fut un certain été.
C’était un été
Où tout était
Dans la jetée
C’était…
Un curieux été.
C’était un été,
La coupe est soufflée
Le four emmitouflé
La pub gonflée,
Se trouve habilité.
C’était un été,
Un soleil tireur,
Sans être pleureur,
Ni même rieur,
Pas même en ébriété.
C’était un été,
Avec le fameux fantasme,
D’un certain orgasme,
Rêve sans sarcasme,
Ni même contrariété.
C’était un été
Comme jadis sur les plages,
Les corps à l’étalage,
Protège aussi leur pelage,
Sans tourment avec gaité.
C’était un été
Il n’était qu’un songe,
Sans un mensonge,
Pourtant il éponge
Sans même s’inquiéter.
Alumacom
L’automne est arrivé
En automne on s’étonne
Son chant s’entonne,
Au son du vent persifleur
Sa mélodie annonce les pleurs.
La ritournelle siffle glaciale
Son air vaniteux cérémonial,
Virevolte la macabre danse
Des feuillures en abondance.
C’est la saison des jaunisses
Les impôts s’y glissent
L’unité fragile se brise
Au deuil de la traîtrise
La vigne nous appelle
Le vin nouveau interpelle,
L’or de la nature vert-de-gris
Présage les larmes des jours gris.
Alumacom
30 octobre 2016
Sous la couverture
Ce fut un jour d’hiver,
Où le funeste pervers
Glaça tout mon univers
Pour un fait-divers.
Couchée sur la couverture,
Je pensais avoir l’armature
En poursuivant l’écriture,
Frissonnante de température.
Une laine placée sur les jambes,
L’inspiration venue de l’iambe
Hélas ce n’est qu’un choliambe
Trouble son vestige flambe.
Vitrine grecque sans handicap,
Des rires funestes sous capes !
Fusent le temps de l’escape
La magie des mots s’échappe.
Alumacom
17 janvier 17