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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour et bon après-midi avec un petit café?

Bonjour et bon après-midi avec un petit café?
Bonjour et bon après-midi avec un petit café?

Un jour de soleil

 

Ce fut un jour de soleil,

Celui de la récolte.

Il n’y a pas son pareil,

Dans le désinvolte.

Remplir la grande corbeille,

Celui de la révolte.

Des fruits rouges à l’oreille

Sans un faux-colt.

Des fleurs au cou pour pare-soleil,

Celui en giga volt.

Les oiseaux chantent sur la treille,

S’élancent, virevoltent.

Le parfum embaume la corbeille

Celui de nos mégas-volts.

La balle de l’univers est la bouteille,

Elle tourne à l’archivolte.

Mon Dieu, elle est la merveille,

Parmi ces micromètres volts.

 

8 juin 2015

 

 

C’était un été

 

C’était un été,

Un certain amour,

Un certain soleil glamour,

Pour un feu Saint Amour

Ce fut un certain été.

 

C’était un été

Où tout était

Dans la jetée

C’était…

Un curieux été.

 

C’était un été,

La coupe est soufflée

Le four emmitouflé

La pub gonflée,

Se trouve habilité.

 

C’était un été,

Un soleil tireur,

Sans être pleureur,

Ni même rieur,

Pas même en ébriété.

 

C’était un été,

Avec le fameux fantasme,

D’un certain orgasme,

Rêve sans sarcasme,

Ni même contrariété.

 

C’était un été

Comme jadis sur les plages,

Les corps à l’étalage,

Protège aussi leur pelage,

Sans tourment avec gaité.

 

C’était un été

Il n’était qu’un songe,

Sans un mensonge,

Pourtant il éponge

Sans même s’inquiéter.

 

Alumacom

L’automne est arrivé

 

En automne on s’étonne

Son chant s’entonne,

Au son du vent persifleur

Sa mélodie annonce les pleurs.

 

La ritournelle siffle glaciale

Son air vaniteux cérémonial,

Virevolte la macabre danse

Des feuillures en abondance.

 

C’est la saison des jaunisses

Les impôts s’y glissent

L’unité fragile se brise

Au deuil de la traîtrise

 

La vigne nous appelle

Le vin nouveau interpelle,

L’or de la nature vert-de-gris

Présage les larmes des jours gris.

 

Alumacom

30 octobre 2016

 

Sous la couverture

 

Ce fut un jour d’hiver,

Où le funeste pervers

Glaça tout mon univers

Pour un fait-divers.

 

Couchée sur la couverture,

Je pensais avoir l’armature

En poursuivant l’écriture,

Frissonnante de température.

 

Une laine placée sur les jambes,

L’inspiration venue de l’iambe

Hélas ce n’est qu’un choliambe

Trouble son vestige flambe.

 

Vitrine grecque sans handicap,

Des rires funestes sous capes !

Fusent le temps de l’escape

La magie des mots s’échappe.

 

Alumacom

17 janvier 17

 

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