Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
12 Octobre 2018
Ne commettons pas l’injustice
Ne commettons pas l’injustice,
Au nom de Dieu !
Ce n’est plus de l’hérésie,
C’est un outrage spirituel.
Ensemble loin de nos familles,
Les soldats tuent, torturent,
Pour punir un peuple indigne
Au nom de leur idéologie.
Cela fait si longtemps,
Que l’on oublie le temps
Où nous défilions côte à côte,
L’étendard porté sur le côté.
Les secouristes de l’amour spirituel,
Leur jeunesse dans un esprit neuf,
Sont passés au crible des anciens,
Leurs prières n’est pas seulement virtuelles !
Demain sera le temps de notre jugement
Sans crier gare il arrivera impromptu
Serons-nous mieux que ces soldats,
Avons-nous tranché en fonction de nos vus.
Ne commettons pas l’injustice,
Au nom de Dieu !
Ce n’est plus de l’hérésie,
C’est un outrage spirituel.
Alumacom
4 septembre 2016
Notre amour, rien que toi et moi
Cheveux au vent toujours basané
Les sourires heureux préfacés
La légèreté de nos jeunes années.
Ces doux moments passés
À savourer les instants à butiner
Lové dans ses bras il m’embrassait.
Ce désir si fort est tellement,
Puissant vouloir éternellement
Le figer dans le firmament.
Cet amour partagé en fusion
Ces jours écoulés en effusion
J’aspire à n’être pas une évasion.
Cet amour a su évoluer joliment
Généreux malgré les tourments
Contre vents et marais en ciment
Nous étions côte à côte en éclosion
Sans séparation malgré l’exclusion
Rivales lassées au mépris de la profusion.
Affronté les jours de pluies froides
Notre union ne fut point roide.
Les instants heureux
Les moments joyeux
Est indestructible
Notre amour est dans la confiance.
Il y eut des épreuves
Elles nous ont unis
Que ce soit la maladie
Les tourments familiaux
Qu’il a fallu affronter
Notre amour fut un roc
Les deuils de nos proches
Des accidents divers, douloureux
Auraient pu nous faire trébucher
Seulement rien n’y fit
L’heure du repos a sonné
La retraite nous regarde
Dorénavant nous béniront nos siestes
Nos loisirs occuperont notre temps
Nous Laisserons le temps filer
Le soleil restera dans nos cœurs
Les étoiles rempliront nos têtes
L’amour reste notre domaine
Février 2011
LA VISITE
Un jour de visite,
Mon amie me dit :
Pour un soir seulement
Toi et moi fermons les yeux
Laissons-nous aller
Revivons le temps passé.
Te souviens-tu de lui,
Ce malhabile et timide amant ?
Celui de nos gamineries
Qui t’avais promis des voyages
Nous aimions-le chahuter
Lui promettre ce qu’il voulait
Nous aimions le tourmenter
Le désespoir l’envahissait
Pourrions-nous juste un soir
Nous amuser comme avant ?
Je ne sais où il est ?
Combien sont-ils à tirer la langue ?
Je ne comprends pas
En réalité je suis déboussolée
Elle n’a pas changé
Le temps n’est pas passé pour elle !
Le temps est révolu pour moi
Tout est si différent maintenant
De nouveaux cieux sont venus.
Pourtant ce soir un soubresaut,
Cela remonte comme une façade
Qui n’a pas quittée son domaine !
Elle ne peut rester longtemps
Elle veut revivre un dernier soir
Le bonheur avant de nous quitter
Elle veut garder ce beau souvenir
Pendant ces mauvais jours
Qui l’attendent à l’hôpital
Ce soir de retrouvaille
Restera dans mon cœur
Je n’aurai que souvenirs
De ce temps fabuleux
L’empreinte du temps ?
Qui ne nous a pas séparées
Le rêve s’évanoui à l’aube
Ce matin par un beau soleil
Mon rêve s’en est allé au réveil
Ce pays de fées enchanteresses
De chérubins sans faiblesse
De mages tournoyants
De séraphins flamboyant
D’elfes aux ailes fébriles
S’occupaient vifs, agile
Au bien-être de tous
L’univers est notre d’atout
La Paix en est leur monde
L’Amour y est roi
Il en est même l’essentiel
Le livre de la vie en fait loi
Personne n’y trouve à redire
Puisque cela va sans dire
Il ne reste qu’un vœu pieu
Pourtant tellement sérieux
Puisqu’il n’en fait pas des fautifs
Cela nous laisse dubitatif
Le soleil farceur dans le cœur
La malice pétillante de l’ardeur
Accompagne ce polisson d’ange
Avec son arc il décoche la flèche
Sur la grande sacoche de nos désirs
Cupidon sa flèche d’or d’un gavroche
Se transforme en arlequin moqueur.
Misère de misère pour qui est atteint
Cela ne se reconnaît pas au teint
Cette maladie déteint, à l’aurore il reste
Peint sur la toile de ce rêve au fusain
Monique Macalou
23 février 2011