Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

POUR SAUVER LA PLANÈTE QUE DEVONS-NOUS DÉCIDER VIS A VIS DE D.IEU ?

POUR SAUVER LA PLANÈTE QUE DÉCIDONS-NOUS?
Il faudrait d'abord accepter le fait d'être stérile des hommes comme des femmes. Ceux qui ont foi en D.ieu doivent accepter cette situation.
Il n'y aurait plus ce commerce humain, c'est à dire le GPA et autres.
Les êtres serviteurs du Malin, entraîne un maximum d'humains avec lui, en faisant miroiter le plaisir, interdit du Seigneur. Nous vivons à l'ère moderne, comme nos ancêtres lorsque le veau d'or permettait tout et n'importe quoi
Dieu sait ce qui est bon pour chacun de nous. Ne jugeons pas avec nos arbitrages.Les raisons du Seigneur, ne sont pas les nôtres. Nous, nous regardons dans l'immédiat. Le Seigneur lui, connait le futur. Les couples stériles serviront le Seigneur, en adoptant, ou en élevant, des enfants malheureux ou orphelin, comme leurs enfants, pas comme des esclaves!
Il ne s'agit pas de refuser d'avoir des naissances, mais d'accepter dans l'amour de son conjoint(e), d'établir le bonheur de chacun en acceptant de ne pas avoir d'enfants, lorsque c'est la volonté de notre D.ieu Trinitaire.
L'écologie explique que la stérilité, provient de la solution de la terre, de l'eau de l'air.
Le nombre d'êtres vivants sur la planète, effectivement entraîne le mal vivre, comme la mal bouffe!
Acceptons ce que Dieu nous donne, ou refuse, contentons nous de ce qu'il a prévu pour nous.
Acceptons cette épreuve avec intelligence, discernement, car obéir ne veut pas dire être un mouton.
Un mouton suit celui qui lui fait une caresse, sans réfléchir, et il se retrouve à l'abattoir, et la chaîne l'apporte dans notre assiette!.
Je ne suis pas scientifique dans le sens du terme actuel.
Je pose seulement la question sur la position de l'humain, vis à vis d'une situation. C'est dire
s'interroger sur nos actes, nos pensées avant d'agir, si nous sommes en conformité avec D.ieu!
 kids by Jessica Phillips (CC BY-NC-ND 2.0) — Jessica Phillips, CC-BY

Avoir un enfant en moins pour sauver la planète ? Le malthusianisme est de retour. Mais l’assertion est fausse.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) avait à peine sorti son dernier rapport – évidemment super-alarmiste et « sans appel » – que l’Agence France Presse (AFP) a publié sur Twitter une infographie intitulée « Réduire son empreinte carbone »réalisée par ses services.

UN ENFANT EN MOINS, C’EST BON POUR LA PLANÈTE ?

 

L’AFP RELAIE UNE DÉPÊCHE DE… 2017

L’AFP était-elle dans son rôle ? Cela se discute… Confrontée à une avalanche de critiques, elle a dû s’expliquer – enfin théoriquement :

« Nous ne faisons que relayer le résultat d’une étude publiée dans une revue scientifique de référence« , explique au HuffPost Grégoire Lemarchand, rédacteur en chef adjoint de l’AFP en charge des réseaux sociaux. […] « Je regrette que l’on nous accuse de faire la promotion du malthusianisme. Il y a une source, l’AFP ne dit rien, nous relayons simplement« , précise Grégoire Lemarchand.

Pitoyable ! Tout aussi pitoyable est la dévotion – cette fois-ci du HuffPost – aux revues scientifiques bien cotées et à la revue par les pairs (le dernier scandale, pourtant tout récent, c’est même dans le Huff, n’a pas ouvert les yeux…) :

« En effet, ce graphique reprend exactement les résultats d’un article publié en 2017 dans Environmental Research Letters, une revue avec comité de lecture, ce qui veut dire que le contenu a été validé par d’autres scientifiques. Ce sont les mêmes résultats, sans aucune modification, qu’a repris l’agence de presse. »

Il y a tout de même le commencement d’un début de repli :

« On a jugé que c’était une publication sérieuse. Qu’elle fasse réagir, ça ne me pose pas de soucis. On peut admettre qu’il aurait peut-être fallu mieux expliquer, mieux contextualiser l’étude », concède Grégoire Lemarchand.

Quant à l’« étude », c’est : « The climate mitigation gap: education and government recommendations miss the most effective individual actions » (le fossé en matière d’atténuation des changements climatiques : l’éducation et les recommandations des gouvernements passent à côté des actions individuelles les plus efficaces) de Seth Wynes et Kimberly A. Nicholas, publié en juillet 2017 dans Environmental Research Letters.

Juillet 2017 ? Ce n’est plus de l’information au sens qu’a ce mot pour une agence de presse… Et, du reste, il n’y a pas eu de dépêche, mais un tweet.

DES ESTIMATIONS SUJETTES À CAUTION

Lorsque vous allez sur la page d’accueil de la revue scientifique, vous trouverez ceci : « A perspective for this article has been published in 2017 Environ. Res. Lett. 12 091001 ». Par « perspective », il faut entendre une critique. On reste entre gens de bonne compagnie, mais les auteurs de cette « perspective » écrivent :

« Ces estimations soulèvent des questions qui méritent une analyse sérieuse, mais elles reposent uniquement sur le potentiel technique des actions et ne tiennent pas compte de la plasticité des comportements et de la faisabilité de politiques pour les soutenir. »

L’auteur du tweet de l’AFP a évidemment omis de consulter toute la littérature… cela aurait pu casser la baraque ! S’est-il du reste interrogé sur le sérieux de l’étude ? Sérieux au sens de l’adéquation avec les réalités de la vie, voire plus : existence d’un travail vraiment scientifique et non de « science » militante. On peut en douter. Car voici la fin du résumé :

« Bien que les adolescents sur le point d’établir des schémas pour la vie constituent un groupe cible important pour la promotion d’actions à impact élevé, nous constatons que dix manuels de science du secondaire du Canada omettent généralement de mentionner ces actions (elles représentent 4 % des actions recommandées), et se concentrent au lieu de cela sur les changements marginaux avec des réductions d’émissions potentielles beaucoup plus faibles. Les ressources gouvernementales sur le changement climatique de l’UE, des États-Unis, du Canada et de l’Australie se concentrent également sur les recommandations relatives aux actions à faible impact.

Nous concluons qu’il existe des possibilités d’améliorer les structures existantes en matière d’éducation et de communication afin de promouvoir les stratégies de réduction des émissions les plus efficaces et de combler ce déficit d’atténuation. »

En une phrase : les auteurs regrettent qu’on n’en fasse pas assez pour recommander le « avoir un enfant en moins » (quelque 25 fois plus « efficace » qu’abandonner sa voiture à essence, et 40 fois plus que cette vaste blague qui consiste à « acheter de l’énergie verte », comme s’il y avait des lignes électriques dédiées) et qu’on ne promeuve pas assez le malthusianisme…

L’ÉCOLOGIE DÉRAILLE…

Parmi les critiques, il y a « Avoir un enfant nuit à la planète » : quand l’écologie déraille de M. Jean de Kervasdoué, publié par Le Figaro le 10 octobre 2018.

En voici un long paragraphe :

« La publicité donnée par l’AFP à une lettre de Wynes et Kimberly qui, nous le verrons, ne le méritait pas, n’arrive pas par hasard. En effet, pourquoi ressortir en ce début octobre cette infographie de juillet 2017, plus d’un an donc après sa publication ? Probablement parce que le rapport du GIEC et sa nouvelle alerte au réchauffement climatique vient de paraître.

Or, dans la tradition des philosophes de l’écologie politique, à commencer par Hans Jonas, il faut faire peur et l’un des vecteurs favoris de cette peur demeure le malthusianisme.

Mais comme les prévisions malthusiennes plus anciennes, notamment celles du Club de Rome publiées an 1972, n’ont pas été vérifiées, il faut chercher de nouveaux thèmes pour rendre la population sensible à la gravité de la situation, à la peur en général et la peur de l’autre en particulier.

Le réchauffement climatique devient la voie privilégiée. En effet, les angles d’attaque de la santé, de la pauvreté et de la faim dans le monde se sont émoussés car ils sont sans fondement : l’espérance de vie s’est partout accrue, la pauvreté a reculé et avec elle la faim dans le monde or, durant cette période, la population mondiale a doublé !

Le réchauffement climatique devient donc la voie privilégiée pour susciter l’effroi et est une aubaine pour les journalistes militants, ce qui malheureusement n’est pas un oxymore. Ils reprennent en rengaine, avec foi, des articles de prétendus scientifiques tout aussi militants.

Puis, ces « informations » sont diffusées par d’autres journalistes qui n’ont pas vérifié les sources or, ainsi, ils légitiment de prétendus faits, alors qu’ils ne sont que des slogans idéologiques, d’autant plus dangereux qu’ils apparaissent sous la forme de vérités scientifiques. »

La question des dérapages médiatiques est posée (une fois de plus). À gazouillis largement repris et commenté, combien de reprises de la critique de M. Jean de Kervasdoué ? Nous n’en avons trouvé qu’une : Yahoo ! Actualités.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article