Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
11 Novembre 2018
11 novembre 2018 : les moments forts de la matinée
Près de 70 chefs d'Etat et de gouvernement sont réunis dimanche à Paris pour célébrer le centenaire de l'armistice de la Grande guerre. Une cérémonie a eu lieu à l'Arc de triomphe. Pour en ...
11 Novembre : Trump, Macron, Poutine... Commémorations sur fond de tensions diplomatiques
Entretien du 11/11/18 avec Drieu Godefridi, géopolitologue. Pour RT France, il analyse les tensions diplomatiques entre Donald Trump, porteur d'une vision unilatéraliste du monde, et ses homologues
Discours de Macron : "Les démons anciens resurgissent"
Profitant de la commémoration du centenaire de l'Armistice, Emmanuel Macron a tenu un discours d'une portée plus large. Il a notamment estimé que le patriotisme "était l'exact contraire du ...
11 novembre 1918, le dernier assaut pour l'armistice
Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée. Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le " Cessez-le-Feu ", " Levez-vous ", " Au ...
Les animaux ont joué un véritable rôle lors de la Première Guerre mondiale. Ils sont 11 millions à avoir participé aux combats : des chiens sentinelles, des pigeons, des aigles voyageurs ou encore des éléphants, qui transportaient des charges importantes.
Les animaux dans la grande guerre 1914 -1918
Depuis que l'homme fait la guerre son imagination destructrice et cruelle n'a cessé d'évoluer, après avoir inventé ses premières armes, ce dernier a fini par asservir l'animal pour agrandir se...
Aux côtés des soldats, sous les obus, dans les tranchées, ils sont là : les chiens, au nombre de 20 000 durant les quatre années de la Grande Guerre, réquisitionnés dès le mois d'août 1914. Pour les poilus, ce sont des compagnons que l'on nourrit, que l'on caresse, que l'on soigne et que l'on dresse. D'abord, il faut leur apprendre à ne pas aboyer pour ne pas alerter l'ennemi, puis faire des meilleurs d'entre eux de véritables sauveteurs. Après chaque bataille, les chiens filent à la recherche des blessés. Ils s'emparent de l'un de leurs vêtements et le rapportent aussitôt aux ambulanciers, qu'ils guident ensuite jusqu'aux combattants, parfois à des centaines de mètres de distance.
Les chiens vont aussi permettre de tenir le front des Vosges lors du glacial hiver 1914. Des milliers de chasseurs alpins meurent, car les chevaux bloqués par la neige ne peuvent ni les ravitailler ni évacuer les blessés. Alors, en vue de l'hiver suivant, deux anciens chercheurs d'or ont une idée surprenante : aller jusqu'en Alaska, à 10 000 km de là, et ramener 440 chiens esquimaux. Grâce à eux, la neige cesse d'être un linceul pour les combattants des Vosges. Des chiens donc, mais aussi des chevaux, des bœufs, des pigeons : plus de 11 millions d'animaux condamnés à partager le destin des soldats.
En France, quelques monuments seulement rendent hommage aux animaux de la Grande Guerre. À Neuville-lès-Vaucouleurs (Meuse), un poilu enserre son âne. À Chipilly (Somme), un artilleur britannique embrasse son cheval agonisant. Selon les associations d'anciens combattants, nombre de poilus de la Première Guerre mondiale ont souhaité que leurs compagnons de guerre, les animaux, soient honorés un jour comme de valeureux sold