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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes amis(es) lecteurs et lectrices l'hiver est arrivé sans crié gare

Bonjour mes amis(es) lecteurs et lectrices l'hiver est arrivé sans crié gare
Bonjour mes amis(es) lecteurs et lectrices l'hiver est arrivé sans crié gare

Bonjours mes frères et sœurs

les gilets jaunes rient jaunes puis qu'ils doivent affronter la pluie mêlée de neige ou de glaçons.

Ma cron de sa Belgique, avec le froid glacial, affronte lui aussi les diverses froideurs, et parfois c'est chaud.

Bonne journée à tous

 

 
Dans l’interminable …
 

Dans l’interminable
Ennui de la plaine,
La neige incertaine
Luit comme du sable.

Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune,
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.

Comme des nuées
Flottent gris les chênes
Des forêts prochaines
Parmi les buées.

Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune.
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.

Corneille poussive
Et vous, les loups maigres,
Par ces bises aigres
Quoi donc vous arrive ?

Dans l’interminable
Ennui de la plaine
La neige incertaine
Luit comme du sable.
 

Paul Verlaine (1844-1896)
Romances sans paroles

 
Décembre
 

Le hibou parmi les décombres
Hurle, et Décembre va finir ;
Et le douloureux souvenir
Sur ton coeur jette encor ses ombres.

Le vol de ces jours que tu nombres,
L’aurais-tu voulu retenir ?
Combien seront, dans l’avenir,
Brillants et purs ; et combien, sombres ?

Laisse donc les ans s’épuiser.
Que de larmes pour un baiser,
Que d’épines pour une rose !

Le temps qui s’écoule fait bien ;
Et mourir ne doit être rien,
Puisque vivre est si peu de chose.
 

François Coppée (1842-1908)

Le courage obtient justice

 

Gaspard le renard, le grand farceur

Se persuade qu’il est le meilleur

Assurément il sera un bon chasseur

La ruse est l’atout de son labeur

 

Charles le loup la force et le courage

Du haut de sa chaire sous l’éclairage

Goguenard écoute les commérages

Il sait faire taire les menteurs du pâturage.

 

Souvenirs, preuves et photos truqués

Cèdent la place à d’immondes perroquets

L’amer certitude d’une affaire reluquée,

C’est l’incertitude d’un projet arnaqué.

 

La vérité se découvre tardivement

Louis le Grand-duc juge activement

Les deux compères dubitativement

Par un jugement dit préventivement.

 

À travers les querelles des belligérants

Les menteurs s’affrontent en conquérant

Ce théâtre aux comédiens plus exubérant

Applaudit le plus malin des incohérents.

Les menteurs avaient convoité un trône

Ils n’avaient pas reçu les bons neurones

Ils logèrent au voisinage de l’aérodrome

Au grand damne de ces beaux cicérones.

 

Alumacom

 6 septembre 2018

 

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