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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Lire et rêver

Lire et rêver
C’était un beagle

 

Le ciel, les nuages sont la Paix

Energie de la lumière,

Le ciel attend.

 

La tempérance, la sérénité

Venues de l’univers,

L’amour agape.

 

La petite chienne de mon enfance,

Nerveuse, amoureuse,

Toujours câline.

 

Son service d’accueil un exemple,

Chaleureux, joyeux,

Etait merveille.

 

Elle n’avait pas de race définie,

Sa robe blanche tachée,

Boule poilue

 

Son grand âge n’a jamais paru,

Amusante, vigoureuse,

Toujours fidèle.

 

Elle était si attachante mon amie,

Aveugle, âgée et petite

C’était ma Zouzou un Beagle.

 

Monique Macalou

12 octobre 2016

Comment vais-je tenir ?

Me dit-on la vérité ?

Aller là-bas ?  Oh oui ! Mais comment faire ?

Financièrement exigu, physiquement difficile.  Cependant, moralement désireuse.

Que faire puisque sur la toile, tous l’ignorent, les voisins également.  La famille ?  Mon dieu en ai-je encore, puisque la dernière-née, celle qui résiste à tout ?

Pire beaucoup me croient riche et fainéante. Ils sont comme la majorité de ceux qui vivent en France.

Pour la plupart ce sont des émigrés. Ils croient que les français de souche ne sont pas pauvres, tout au moins, moins qu’eux. Dans un sens, c’est probablement vrai, ils sont loin de chez eux. Seulement il y a toujours une bonne âme pour les aider. Quand ce n’est pas l’Etat.

Pourquoi ! ...oui pourquoi ?

 

Pour mon bonheur, mais aussi mon malheur, mon allure leur fait croire que je suis de haute lignée. Mais pour la classe moyenne je suis de petites gens, donc méprisable. Quant aux autres ils m’ignorent dédaigneusement.

Auparavant j’étais importante pour tous, Je leur apportais mon aide sur tous les plans, socialement, physiquement, moralement ! Malgré tout à cette époque je devais combattre, hier comme aujourd’hui c’est la pensée unique selon l’époque. La moralité au fil des années est de plus en plus égoïste et à divers tiroirs de plus en plus étroits.

C’est également une forme de jalousie sournoise, une hypocrisie qui ne veut pas dire son nom.  Il est vrai ; le fait d’être à droite je n’ai pas le droit d’être sociale ! Mon malheur, j’ose être catholique de droite sociale et militante. De plus, Œcuménique et cela ne rentre pas dans aucuns tiroirs, aucune de leurs étiquettes.

Je suis contre les extrémistes en tout, mais aussi contre des profiteurs d’aides abusives, que je perçois et je déjoue rapidement leurs plans.

Or, dans ce monde populaire où je vis, c’est leur mode de vie. Je n’appartiens à aucune de leurs troupes, leurs castes, ils ne savent où me situer.

Ils réagissent comme toujours envers ce qui leurs est inconnus en :

Ignorant, méprisant, critiquant, sans savoir ce qu’ils disent, prouvant leurs ignorances !

Pourtant, je dois pardonner au nom du Seigneur.

La bêtise collective c’est le virus de la France actuelle.

Pourquoi ?... Oui Pourquoi !

 

Au départ, ma génération a donné une éducation laxiste, à nos enfants croyant bien faire.

Pour nous c’était meilleur que celle de nos anciens. Seulement eux nous ont transmis dans leur sévérité la sagesse : leurs expériences, les bases de la vie, l’honneur, le respect de la famille, de ce qui nous entoure et aussi de la Patrie. Au fil des générations cela a progressivement disparu.

Nous subissons actuellement les conséquences de cette mauvaise éducation.

Évidemment, la génération de mes parents était trop sévère, trop obtuse. C’est vrai.

La mienne a gagné la liberté chérie, sans donner à nos enfants les barrières à ne pas franchir…

Ces fameuses bases sont tellement importantes. C’est maintenant, que nous voyons les conséquences, de nos erreurs.

La liberté, c’est la vie. Elle demande de l’intelligence, le respect de tous ce qui nous entoure. La liberté ce n’est pas faire n’importe quoi, c’est être responsable en toutes choses.

Nous avons fait de nos enfants des rois. Maintenant, nous devons subir nos erreurs.

Seulement eux, ils doivent apprendre sur le terrain, à leur dépend, souvent dans la souffrance ce que leurs parents ne leur ont pas donné.

Pourquoi…oui pourquoi, suis-je si malheureuse moralement !

Pourquoi…oui pourquoi ma génération, est obtus et ne veux pas reconnaître que nous sommes cause indirectement, des problèmes de mentalité actuels, et par conséquent des difficultés sociétales.

Oui Pourquoi ? Parce que…

Cinquante années sont passées, et nous nous trouvons devant le dilemme de la boite de Pandore que nous avons ouverte lorsque nous pensions, « Nous n’avons pas le droit d’interdire ». Nous n’avions pas imaginé, pas même un instant, que nous avions ouvert la porte au mal. Ce qui était un bien à l’époque, est devenu une immense erreur.

Maintenant nous avons une société intelligente certes, mais nos jeunes ont appris les bases de la nouvelle technologie à l’école, mais pas ce qui fait la vie dans, l’harmonie. Nous il nous a fallu nous adapter continuellement sans l’école depuis cinquante années pour ma génération à l’évolution rapide de la technologie, pire pour les plus anciens. Souvent ils n’ont pas pu s’adapter pour diverses raisons.

Ce qui est terrible, c’est le niveau scolaire. Comme disait couramment Georges Marchais « C’est un scandale ! » Cela nous faisait rire, seulement maintenant c’est une réalité. À l’époque ces mots étaient pour le combat social, actuellement c’est pour la vie mentale en général. Ce qui a pour conséquences, les incivilités, la violence généralisée, l’égoïsme envers les parents. Les réseaux sociaux sont la démonstration de ce que j’avance.

Toute cette technologie avancée est une amélioration dans la vie quotidienne, seulement certains jeunes l’utilise pour des horreurs, sans pudeur ils divulguent et diffusent sans avoir conscience des énormités et des conséquences qu’ils provoquent. Tout ceci en raison de parents incapables de leurs donner les bases de la vie en société. Les loups, les ours sont plus respectueux qu’eux. Cela touche toutes les couches sociales. Bien sûr, tous nos jeunes ne sont pas des sociopathes. Heureusement, mais la plupart du temps ils en sont victimes.

Ceux qui résistent à cette décadence, eux seront nos responsables dans la vie professionnelle, et aussi nos dirigeants.

Ce qui veut dire que ces jeunes ont eu une famille responsable quel qu’elle soit (mono parentale, recomposée, autres ou classique).

 

C’est eux l’avenir des hommes de la terre, c’est eux l’avenir de la France.

 

Alumacom

13 octobre 2016

Lire et rêver

Un pressentiment automnal

 

L’automne est arrivé

En ce jour d’octobre

Novembre s’annonce

 Pourtant rien ne vient.

Seules les feuilles mortes

Tombent tristement.

Attendre oui attendre,

Mais attendre quoi ?

J’attends, oui j’attends,

Mais je ne sais quoi.

C’est un curieux sentiment.

Les paupières sont lourdes,

Un malaise pèse sur l’écran noir.

Au fond de mon imagination.

La vérité est devenue plus sombre,

Que l’imaginaire derrière mes paupières.

Hélas des larmes coulent,

Leurs perles brûlent,

La peur rode autour de Evènement,

Les corps jonchent,

La musique diffère,

Elle était la joie,

Elle est tristesse,

Les cris remplacent

L’allégresse des danses

Le sang,

La sueur,

La peur,

Le bruit infernal trépidant terrorise.

Soudain le silence

Les corps jonchent dans la rue

Paris, notre Paris

Est une nouvelle fois martyrisé

Mais Paris se dresse,

Pleure,

Avance,

Prie,

Se lève,

Oui mon Paris relève la tête.

 

C’était hier

Le réveil en sursaut

Me ramène à la réalité.

 

Cet automne les feuilles rougeoyantes tombent

Comme les corps s’écroulent ensanglantés.

Triste automne,

La pluie s’arrête ne pouvant laver le sol

Les larmes coulent,

Les cris restent dans les gorges.

Le silence des femmes, enfants, hommes,

Est assourdissant.

Les animaux se taisent, se cachent,

Personne ne pense à nos fidèles amis.

Alep, Syrie, Irak

Ces noms tournent en boucle

Le cauchemar continue

Son bonhomme de chemin

Seulement celui-là est réalité.

 

À ces événements,

Se succèdent le bruit infernal

Des médias et leurs vidéos

Les pages noircies des quotidiens,

Ce brouhaha glisse sur l’indifférence,

Des foules confinées dans leurs soucis.

Il ne reste que l’indifférence

Est-ce une simple apparence

J’aimerai le croire

Est-ce ce besoin protectionnisme,

Qui gère un certain égoïsme ?

La peur rend-t-elle lâche,

Au point de rester silencieux.

Je n’ose y croire.

Ce sentiment indescriptible,

S’évanouit au lever du jour.

Serait-ce un pressentiment,

La crainte d’un avenir incertain,

Ce sentiment indéfinissable,

Lourd,

Inquiet,

Craintif,

 S’évanouît au son de la radio.

Enfin le jour pointer

La brume automnale

Enveloppe cette peur

Indéfinissable sur l’avenir.

 

Alumacom

14 octobre 2016.

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