Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
24 Décembre 2018
La messe du lundi 24 décembre 2018
La messe du en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Accédez aux retransmissions en direct depuis la page : http://tv.fmnd.org .
Zone : France.
Lecture du deuxième livre de Samuel
Le roi David habitait enfin dans sa maison.
Le Seigneur lui avait accordé la tranquillité
en le délivrant de tous les ennemis qui l’entouraient.
Le roi dit alors au prophète Nathan :
« Regarde ! J’habite dans une maison de cèdre,
et l’arche de Dieu habite sous un abri de toile ! »
Nathan répondit au roi :
« Tout ce que tu as l’intention de faire,
fais-le,
car le Seigneur est avec toi. »
Mais, cette nuit-là,
la parole du Seigneur fut adressée à Nathan :
« Va dire à mon serviteur David :
Ainsi parle le Seigneur :
Est-ce toi qui me bâtiras une maison
pour que j’y habite ?
C’est moi qui t’ai pris au pâturage,
derrière le troupeau,
pour que tu sois le chef de mon peuple Israël.
J’ai été avec toi partout où tu es allé,
j’ai abattu devant toi tous tes ennemis.
Je t’ai fait un nom aussi grand
que celui des plus grands de la terre.
Je fixerai en ce lieu mon peuple Israël,
je l’y planterai, il s’y établira
et ne tremblera plus,
et les méchants ne viendront plus l’humilier,
comme ils l’ont fait autrefois,
depuis le jour où j’ai institué des juges
pour conduire mon peuple Israël.
Oui, je t’ai accordé la tranquillité
en te délivrant de tous tes ennemis.
Le Seigneur t’annonce
qu’il te fera lui-même une maison.
Quand tes jours seront accomplis
et que tu reposeras auprès de tes pères,
je te susciterai dans ta descendance un successeur,
qui naîtra de toi,
et je rendrai stable sa royauté.
Moi, je serai pour lui un père ;
et lui sera pour moi un fils.
Ta maison et ta royauté subsisteront toujours devant moi,
ton trône sera stable pour toujours. »
– Parole du Seigneur.
R/ Ton amour, Seigneur, sans fin je le chante !
cf. 88, 2a
L’amour du Seigneur, sans fin je le chante ;
ta fidélité, je l’annonce d’âge en âge.
Je le dis : C’est un amour bâti pour toujours ;
ta fidélité est plus stable que les cieux.
« Avec mon élu, j’ai fait une alliance,
j’ai juré à David, mon serviteur :
J’établirai ta dynastie pour toujours,
je te bâtis un trône pour la suite des âges.
« Il me dira : Tu es mon Père,
mon Dieu, mon roc et mon salut !
Sans fin je lui garderai mon amour,
mon alliance avec lui sera fidèle. »
Alléluia, Alléluia.
Viens, Soleil levant,
splendeur de justice et lumière éternelle !
Illumine ceux qui habitent les ténèbres
et l’ombre de la mort.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
à la naissance de Jean Baptiste,
Zacharie, son père, fut rempli d’Esprit Saint
et prononça ces paroles prophétiques :
« Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël,
qui visite et rachète son peuple.
Il a fait surgir la force qui nous sauve
dans la maison de David, son serviteur,
comme il l’avait dit par la bouche des saints,
par ses prophètes, depuis les temps anciens :
salut qui nous arrache à l’ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
amour qu’il montre envers nos pères,
mémoire de son alliance sainte ;
serment juré à notre père Abraham
de nous rendre sans crainte,
afin que, délivrés de la main des ennemis,
nous le servions dans la justice et la sainteté,
en sa présence, tout au long de nos jours.
Toi aussi, petit enfant, tu seras appelé
prophète du Très-Haut ;
tu marcheras devant, à la face du Seigneur,
et tu prépareras ses chemins,
pour donner à son peuple de connaître le salut
par la rémission de ses péchés,
grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu,
quand nous visite l’astre d’en haut,
pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres
et l’ombre de la mort,
pour conduire nos pas
au chemin de la paix. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
V/ Dieu, viens à mon aide,
R/ Seigneur, à notre secours.
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
au Dieu qui est, qui était et qui vient,
pour les siècles des siècles.
Amen. (Alléluia.)
Cl. Bernard — CNPL
Vienne le juste comme rosée,Où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.
1 Vraiment, Dieu est bon pour Israël,
pour les hommes au cœur pur.
2 Un rien, et je perdais pied,
un peu plus, et je faisais un faux pas ;
3 car j’étais jaloux des superbes,
je voyais le succès des impies.
4 Jusqu’à leur mort, ils ne manquent de rien,
ils jouissent d’une santé parfaite ;
5 ils échappent aux souffrances des hommes,
aux coups qui frappent les mortels.
6 Ainsi, l’orgueil est leur collier,
la violence, l’habit qui les couvre ;
7 leurs yeux qui brillent de bien-être
trahissent les envies de leur cœur.
8 Ils ricanent, ils prônent le mal,
de très haut, ils prônent la force ;
9 leur bouche accapare le ciel,
et leur langue parcourt la terre.
10 Ainsi, le peuple se détourne
vers la source d’une telle abondance.
11 Ils disent : « Comment Dieu saurait-il ?
le Très-Haut, que peut-il savoir ? »
12 Voyez comme sont les impies :
tranquilles, ils amassent des fortunes.
13 Vraiment, c’est en vain que j’ai gardé mon cœur pur,
lavé mes mains en signe d’innocence !
14 Me voici frappé chaque jour,
châtié dès le matin.
15 Si j’avais dit : « Je vais parler comme eux »,
j’aurais trahi la race de tes fils.
16 Longtemps, j’ai cherché à savoir,
je me suis donné de la peine.
17 Mais quand j’entrai dans la demeure de Dieu,
je compris quel serait leur avenir.
18 Vraiment, tu les as mis sur la pente :
déjà tu les entraînes vers la ruine.
19 Comment vont-ils soudain au désastre,
anéantis, achevés par la terreur ?
20 À ton réveil, Seigneur, tu chasses leur image,
comme un songe au sortir du sommeil.
V/ Montre-nous, Seigneur, ta bonté,
donne-nous enfin le Sauveur.
51.17 Réveille-toi, réveille-toi, debout, Jérusalem ! Tu as bu de la main du Seigneur la coupe de sa fureur, tu as bu jusqu’à la lie la coupe du vertige !
51.18 Personne qui la guide, parmi les fils qu’elle a enfantés ; pas un qui lui prenne la main, de tous les fils qu’elle a élevés !
51.19 Ce double malheur t’a frappée, – qui t’en plaindra ? Le ravage et la ruine, la famine et l’épée, – qui t’en consolera ?
51.20 Tes fils, épuisés, gisent à tous les coins de rue, comme l’antilope prise au piège, submergés par la fureur du Seigneur, la menace de ton Dieu.
51.21 Écoute alors ceci, malheureuse, ivre, mais pas de vin :
51.22 Ainsi parle ton Maître, le Seigneur, ton Dieu, qui défend la cause de son peuple : Voici que je retire de ta main la coupe du vertige ; à la coupe de ma fureur, désormais tu ne boiras plus.
51.23 Je la mettrai dans la main de ceux qui t’affligeaient et te disaient : « Courbe-toi, que nous passions ! » Et tu faisais de ton dos comme un sol, comme une rue pour les passants !
52.02 Secoue ta poussière ! Debout, Jérusalem, ô captive ! Dénoue les liens de ton cou, ô captive, fille de Sion !
52.07 Comme ils sont beaux sur les montagnes, les pas du messager, celui qui annonce la paix, qui porte la bonne nouvelle, qui annonce le salut, et vient dire à Sion : « Il règne, ton Dieu ! »
52.08 Écoutez la voix des guetteurs : ils élèvent la voix, tous ensemble ils crient de joie car, de leurs propres yeux, ils voient le Seigneur qui revient à Sion.
52.09 Éclatez en cris de joie, vous, ruines de Jérusalem, car le Seigneur console son peuple, il rachète Jérusalem !
52.10 Le Seigneur a montré la sainteté de son bras aux yeux de toutes les nations. Tous les lointains de la terre ont vu le salut de notre Dieu.
R/ Purifions-nous
car demain le Seigneur viendra !
Éclatez en cris de joie,
le Seigneur console son peuple,
il rachète Jérusalem !
Le Seigneur manifeste sa puissance.
Toutes les extrémités de la terre
verront le salut de notre Dieu.
Éveille-toi
Homme, éveille-toi : pour toi, Dieu s’est fait homme. Réveille-toi, ô toi qui dors, relève-toi d’entre les morts, et le Christ t’illuminera. Pour toi, je le répète, Dieu s’est fait homme.
Tu serais mort pour l’éternité, s’il n’était né dans le temps. Tu n’aurais jamais été libéré de la chair du péché, s’il n’avait pris la ressemblance du péché. Tu serais victime d’une misère sans fin, s’il ne t’avait fait cette miséricorde. Tu n’aurais pas retrouvé la vie, s’il n’avait pas rejoint ta mort. Tu aurais succombé, s’il n’était allé à ton secours. Tu aurais péri, s’il n’était pas venu.
Célébrons dans la joie l’avènement de notre salut et de notre rédemption. Célébrons le jour de fête où, venant du grand jour de l’éternité, un grand jour éternel s’introduit dans notre jour temporel et si bref.
C’est lui qui est devenu pour nous justice, sanctification, rédemption. Ainsi, comme il est écrit : Celui qui veut se glorifier, qu’il mette sa gloire dans le Seigneur. ~ Donc, la Vérité a germé de la terre : le Christ, qui a dit : Moi, je suis la Vérité, est né de la Vierge. Et du ciel s’est penchée la justice, parce que, lorsque l’homme croit en celui qui vient de naître, il reçoit la justice, non pas de lui-même, mais de Dieu.
La Vérité a germé de la terre, parce que le Verbe s’est fait chair. Et du ciel s’est penchée la justice, parce que les présents les meilleurs, les dons parfaits, proviennent tous d’en haut.
La Vérité a germé de la terre : la chair est née de Marie. Et du ciel s’est penchée la justice, parce qu’un homme ne peut rien s’attribuer, sinon ce qui lui est donné du Ciel.~
Nous qui sommes devenus justes par la foi, nous voici en paix avec Dieu parce que justice et paix se sont embrassées. Par notre Seigneur Jésus Christ : car la Vérité a germé de la terre. C’est lui qui nous a donné, par la foi, l’accès à cette grâce dans laquelle nous sommes établis ; et nous mettons notre fierté dans l’espérance d’avoir part à la gloire de Dieu. Paul ne dit pas : « à notre gloire » ; mais à la gloire de Dieu parce que la justice n’est pas sortie de nous mais s’est penchée du ciel. Donc, celui qui cherche la gloire, qu’il mette sa gloire non en lui, mais dans le Seigneur.
De là vient que la louange angélique pour le Seigneur né de la Vierge a été : Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes comblés de sa bienveillance.
En effet, d’où vient la paix sur la terre, sinon de ce que la Vérité a germé de la terre, autrement dit, que le Christ est né de la chair ? Et c’est lui qui est notre paix : des deux, il a fait une seule réalité, pour que nous soyons des hommes pleins de bienveillance, tendrement attachés les uns aux autres par le lien de l’unité.
En ce jour de grâce, réjouissons-nous, pour trouver notre gloire dans le témoignage de notre conscience ; alors, ce n’est pas en nous, mais en Dieu que nous mettrons notre gloire. C’est pour cela qu’il est dit : Ma gloire, tu tiens haute ma tête. Dieu pouvait-il faire briller sur nous une grâce plus grande que celle-ci : son Fils unique, il en fait un fils d’homme et, en retour, il transforme des fils d’hommes en fils de Dieu ?
Cherche où est le mérite, où est le motif, où est la justice, et vois si tu découvres autre chose que la grâce.
R/ Notre âme attend le Seigneur,
en lui la joie de notre cœur.
Proche est son salut pour qui le craint
et sa gloire habitera notre terre.
Amour et vérité se rencontre ;
justice et paix s’embrassent.
Vérité germera de la terre
et des cieux se penchera la justice.
Seigneur Jésus, hâte-toi, ne tarde plus : que ta venue réconforte et révèle ceux qui ont foi dans ton amour. Toi qui règnes.