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12 Février 2019
Humbeline ou Hombeline
Alors que son père et ses six frères se sont consacrés à Dieu à l'abbaye de Cîteaux, en Bourgogne, Hombeline épouse un seigneur et mène une vie particulièrement dissipée et mondaine.
Saint Bernard provoque en elle le choc décisif qui entraîne sa conversion en refusant de la recevoir un jour où elle vient lui rendre visite au monastère en grand équipage.
Après ces quelques années de vie frivole, elle suit donc l'exemple de ses frères et embrasse la vie monastique.
Moniale cistercienne à Jully-les-Nonnains, Bourgogne, Hombeline meurt dans la paix de Dieu.
"Hombeline (ou Ombeline), sœur de St Bernard, naquit en 1092 à Fontaine les Dijon. Mariée au frère de la duchesse de Lorraine, et jouissant d'une grande fortune, elle menait grande vie. Son frère, saint Bernard, lui en fit le reproche et elle changea de conduite. Elle entra (avec l'accord de son mari) chez les bénédictines de Jully, près de Ravières. Elle devint prieure de ce monastère qui fut vite trop petit pour accueillir les nouvelles sœurs: aussi fonda-t-elle un nouveau monastère à Crisenon (paroisse de Prégilbert). Elle mourut en 1141 et fut enterrée à Jully."
Hombeline - diocèse de Sens-Auxerre
- Illustration: Ombeline, tableau du peintre salinois Adrien Richard. C'est une des rares sinon l'unique représentation de cette sainte. Elle se trouve dans l'église d'Orgelet, dans le Jura.
(Culte confirmé en 1703, sa commémoration initialement prévue au 21 août a été fixée au martyrologe romain au 12 février.)
L'Ordre de Cîteaux la mentionne en son calendrier le 12 février.
Au monastère de Juilly dans le diocèse de Troyes, vers 1136, la bienheureuse Ombeline, prieure de ce couvent, que son frère saint Bernard, abbé de Clairvaux, avait heureusement détournée des plaisirs du monde, et qui s'était donnée, avec le consentement de son époux, à la vie monastique.
Martyrologe romain
Le 15 août 1633, sept nobles Florentins, célébrant pieusement la grande fête de l'Assomption, eurent chacun une vision de la Très Sainte Vierge, les invitant à une vie plus parfaite. Leurs noms étaient Bonfils Monaldi, Buonagiunta Manetti, Manetto de l'Antella, Amédée des Amidei, Uguccione des Uguccioni, Sostène des Sostegni et Alexis Falconieri.
S'étant convertis, ils renoncèrent à leurs richesses, se couvrirent de vêtements pauvres et se retirèrent, le 8 septembre suivant, dans une humble maison, pour célébrer ensemble la Nativité de Marie. Leur commun dessein de vie religieuse reçut la sanction d'un miracle.
Pendant qu'ils mendiaient leur pain de porte en porte, tout à coup, en les voyant, un petit enfant de cinq mois à peine les acclama sous le nom de Serviteurs de Marie. Ils gardèrent ce nom, évidemment venu du Ciel, et commencèrent, sur une montagne voisine, une vie toute céleste, reposant sur une grande pauvreté, une austère mortification, la méditation de la Passion de Jésus-Christ et de la douloureuse Compassion de la Sainte Mère de Dieu.
Cet institut nouveau fut approuvé par le Pape Innocent IV, et se développa rapidement en Italie, en France, en Allemagne et en Pologne. Les Sept Fondateurs, après un laborieux apostolat, fécondé par de nombreux miracles, moururent entourés de la vénération des peuples et furent ensevelis à leur tour dans le même tombeau, en sorte que la mort ne sépara pas ceux que la vertu avait unis dans un tendre amour pour Jésus et Marie. Honorés depuis longtemps comme Bienheureux, ils furent canonisés par le Pape Léon XIII pendant les fêtes du Cinquantenaire de son sacerdoce.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
Échanson de Charlemagne, ce Wisigoth né en Languedoc deviendra moine à Sainte-Seine l'Abbaye en Bourgogne avant de retourner dans son pays natal pour y fonder une abbaye sur les bords de l'Aniane. Au moment du concile d'Aix la Chapelle en 817, il préside une réunion de tous les Pères abbés bénédictins de l'empire carolingien pour la concordance des Règles bénédictines.
Dès la deuxième moitié du VIIIe siècle, les monastères souffrent beaucoup des guerres qui opposent Pépin le Bref au duc Waïffre. Une réforme monastique est nécessaire et elle est réalisée dans la première moitié du IXe siècle par Saint Benoît d'Aniane qui impose la règle bénédictine. (Les origines monastiques - diocèse de Limoges)
Au monastère Saint-Corneille d'Inden en Germanie, l'an 821, le trépas de saint Benoît d'Aniane, qui propagea la Règle de saint Benoît, donna aux moines les coutumes à observer et travailla beaucoup à restaurer la liturgie romaine.
Martyrologe romain
Une fillette de douze ans, la plus populaire des martyres espagnoles, qui avait peine des souffrances qu'elle voyait infligées aux chrétiens. Elle n'hésita pas à le dire en face du gouverneur qui la fit arrêter et, sur le champ, mettre sur un bûcher et brûlée vive. La nouvelle de ce crime se répandit très vite en Occident. La légende embellit son histoire tellement elle était touchante.
Au Ve siècle, on la retrouve dans presque tous les sermonnaires et le plus ancien poème en langue d'oïl, la "cantilène de sainte Eulalie", disait d'elle "Bel avret corps, bellezour anima, voldrent la veintre li Deo inimi." Elle avait un beau corps, mais une âme plus belle encore. Voulurent la vaincre les ennemis de Dieu, mais point n'y parvinrent.
Un internaute nous indique que "le manuscrit de la cantilène est précieusement conservé dans la bibliothèque de Valenciennes"
Elle est peut-être à identifier avec Eulalie de Mérida.
À Barcelone en Espagne, commémoraison de sainte Eulalie, vierge et martyre.
Martyrologe romain