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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes amis et amies, bon mercredi

Bonjour mes amis et amies, bon mercredi
Bonjour mes amis et amies, bon mercredi

Dis-moi, pourquoi tu restes ?

Pourquoi restes-tu accrochée
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?

Pourquoi restes-tu attachée
À tous ces gens du passé ?
Tu sembles ne plus les estimer,
Hier, tu paraissais les aimaient.

Tu ne regardes pas mon émoi.
Enfin qu’attends-tu de moi !
Une action, ma bénédiction ?
Ta défection, m’ait affliction.

Ma valise souvent tu la fustige
Néanmoins elle fut mon prestige
Également devenue mon vestige.
Souvent, elle t’a donné le vertige.

Pourquoi restes-tu accrochée,
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?

Que dis-tu de notre amour ?
Tant d’années de notre amour
Faut-il y renoncer pour toujours ?
Oserais-tu en faire de l’humour ?

Dans ce fatras de toutes ces choses,
Que suis-je pour toi, la chose?
Simple toit, ou saltimbanque !
Ne serai-je qu’une simple banque ?

Qu’attends-tu de moi en réalité ?
Où est réellement cette vérité.
La honte fait-elle partie de ton univers.
Je ne pense pas, ce serait trop pervers.

Pourquoi restes-tu accrochée
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?

 


PETIT JARDIN SECRET

On a tous au fond de notre cœur,
Un petit coin de paradis,
Où il fait bon de se retrouver,
Dans un petit jardin prospère,
Son parfum jasmin enivre
Le poète aux mille mots rendre.

Ce tout petit coin sans heures,
Le divertissement du bonheur,
La conscience est tempérée,
Sur un nuage imaginé.
Tous ces petits jardins du bonheur
S’enfouissent dans le fond du cœur.
 


Le jardin d’Ariette

Ce jardin de Peynet
Élaboré pour Ariette 
Décore l’assiette
Des amours de l’ainé

Comme une jeune fille,
Fabriquant des coquillettes,
Pour le collier d’Ariette,
Les poissons frétillent.

À l’heure de notre amour
Il ne me reste que l’humour
Pour évoquer le jardin,
Dans ce plat léger anodin.



SI TU M’AIMES VRAIMENT

Si tu m’aimes vraiment,
Saurais-tu m’accepter 
Tel que je suis ?

Mon cœur tellement blessé,
Saurais-tu l’accepter
Avec les erreurs passées ?

Si tu m’aimes vraiment
N’as-tu rien dans ta besace !
M’as-tu prévu une place ;
Dans ton cœur tourmenté.
Rester ma vie à tes côtés,
Est-ce vraiment la réalité ?

Si tu m’aimes vraiment,
Tes promesses seraient prouesses
L’unité pas virtuelle, bien réelle
Ce ne serait pas un bateau ivre
Dont le tangage se déverserait.
Saurons-nous, nous aimer
Dans un serment proclamer ?

Si tu m’aimes vraiment,
N’as-tu rien à te reprocher ?
As-tu su briser tes tabous
Comme une plante hiémale ?
Ce malheur ne cesse,
 Il t’opprime sans discontinuer
Met fin à ceux te laminent.

Si tu m’aimes vraiment,
Viens chanter avec moi,
 Laisse le bonheur nous visiter
Cherche l’amour enflammé
Près de moi mon bien aimé
Nous panserons nos plaies
Tendrement nous nous loverons



J’ESPERAIS UN MIRACLE II

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Vers le bonheur
Me faisant glaneur
Je prie en confiance
Sans défiance
La peur s’en alla
Perdue dans l’Au-delà

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Le chant monte
Le soleil remonte
Le ciel s’ouvre
L’âme se découvre
Devant la magie
Où je me réfugie

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

L’espoir n’est pas vain
Pour l’écrivain
Il a cet effroi
Qui lui fait froid
Le jugement du lecteur
Plus que de l’éditeur

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Comme l’artisan
Il est présent.
En se détournant
Caché par le paravent
De la rue des nues
Au bureau des ingénues

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Espoir de guérison
Sortir de sa prison
Vivre son amour
Sur le banc sans détour
Ce banc n’est pas accusé
Seulement un peu usé

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Le banc d’incertitude
Le doute une habitude
Le cœur en chamade
C’est la promenade
D’un amour en altitude
Des mots en multitude

J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle

Alumacom

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