Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
26 Avril 2019
Au Théâtre Ce soir : "L'école des contribuables" avec Robert Manuel, Michel Roux | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/InaAuThéâtreCeSoir 26/06/1972 Une pièce de Georges Berr et Louis Verneuil, Louis, mise en scène par Robert Manuel. Réalisé par Pierre Sabbagh avec michel Roux (Gast...
Ce regard si précieux
Ce regard toujours perçant
Bleu comme la méditerranée
Glacial sur son versant.
Les paupières subordonnées
À la frayeur de cette satanée
Jouissance du renversant
De l’étrange malicieux basané.
Ce regard est sur l’heure,
Si profond qu’il s’émerveille
À la beauté d’une fleur
Les pistils dans la corbeille
De la mariée sans le leurre
Où la cérémonie est le miel
Confondue dans le beurre.
L’amande en papillote
Les cils battent la mesure.
Ce doux regard chuchote
Si loin de la masure
Il porte sur la charlotte
Un regard venu d’azur.
Oui ce regard fiévreux
De quoi souffre-t-il ?
Des joyaux savoureux,
Souvenirs féconds des îles
Sortilège des jours heureux
Des profondeurs du Brésil
Avant ce malheur douloureux
D’un malotru aussi hostile.
Malheur à ce gaillard jovial
Il a endeuillé ce regard
Anciennement cordial
La colère ouvre le hangar
Expressions presque bestiales.
Il n’y eut pas de faire part
N’étant pas arrivé à l’abbatial.
Alumacom
14 avril 2016
Notre planète
Je me suis amusée à écrire
33 phrases commençant par L. Le sujet : La Planète et la nature en poésie
La planète terre, la nôtre, est née d’une fusion cosmique.
La mesure du temps et des saisons se partage en deux hémisphères inversées tranchées en fuseaux comme un agrume.
Les heures et les saisons battent la mesure.
La terre est un millefeuille de génoise, de choux glacés, de crème vanille, de sucres glaces, l’écume salée se couche sur les galets.
La louche moule les saisons, déverse les larmes, les glaces, les perles.
Le soleil caresse, réchauffe nos cœurs ou se cache derrière les nuages.
L’été la saison où soleil s’invente des jeux parfois brûlants, il se mire sur la mer suave, et quelquefois houleuse.
Les saisons traversent allègrement et joyeusement notre planète dans une course sans aucun arrêt, sans jamais avoir de fin.
Les saisons se suivent, se poursuivent, le printemps fleuri prépare l’été flamboyant, lui-même laisse sa place à l’automne en rouge et or remplacé par l‘hiver pervers avec sa blancheur signe de pureté.
Les oiseaux chantent, dansent les passereaux parcourent la planète au gré de leurs périples et leur périodicité.
La planète bleue, notre terre rêve de bonheur sans anicroche.
Les malfaisants hélas plantent les algues vertes pour remplacer le bleu azur ces eaux.
La sérénité revient par le bonheur de la faune sauvage et florale, avec les fragrances allant du musc des fraises jusqu’au jasmin.
Les merveilles de la nature chantent, les ruisseaux descendent de la montagne sautent de cailloux à l’autre jusqu’à la rivière.
Les mariages grandissent les familles de la poissonnaille ; hélas les usines les nourrissent, et empoisonnent toute la faune marine ; elle saute joyeusement, miroite pour enfin mourir dans nos estomacs au mieux, mais souvent finit sur les berges ou les plages le ventre à l’air.
Les montagnes enchantent nos regards et nos jambes.
Les fleurs endimanchent les prés, les berges et nos parcs.
Le toit de nos montagnes rêve dans sa splendeur vertigineuse.
L’horizon des montagnes barre protectrice, majestueuse et dangereuse, appelle, attire et enveloppe de toute sa puissance.
Les plaisirs de la planète me sont joies de la montagne à la mer.
Les animaux sauvages comme nos fidèles compagnons nous montrent l’amour et le respect de l’habitat et surtout la fidélité.
L’équateur révèle par son désert, son aridité, sa sévérité expose sa chaleur affective, ainsi que ses dangers entre les mirages et les cactus.
Le lion rugit dans la jungle, le cerf brame dans sa forêt.
La cigale chante tout l’été dans les prés et champs de nos campagnes.
Le fusil claque parfois sinistrement, les chasseurs détruisent le charme de nos campagnes, de nos forêts et jungles.
L’horreur, la concupiscence tombe dans certaines luxures humaine ou animale.
Les gloires perfides en font commerce au détriment de notre planète.
La planète se meurt de nos tristes actions irrévérencieuses.
Les larmes froides sont les perles de défense de notre planète.
L’enchantement devrait-être la source d’une vie respectueuse de la nature.
La chance est l’apprécier du vrai bonheur de vivre sur cette planète, avec tous ceux qui nous accompagnent tout au long de notre vie.
La vie est ce qu’il y a de plus remarquable et extraordinaire que nous apporte notre planète.
Le charme de la vie, se mesure que lorsque nous avons perdu ce que la nature nous avait donné.
Pauvre de nous
Alumacom
21 décembre 2016
Ce soir bonjour la vie
Bonjour la vie
Ce soir c’est l’envie
De voir la survie
Enfin, ce soir je vis.
J’attends l’arrivée
De quoi mon Dieu
Peut-être enivrée
Ce qui est un adieu
Ce soir j’écoute
Je crains l’ambiance
Cet air m’envoûte
L’heure de la confiance
La musique m’entraîne
M’accompagne sans doute
Loin de cette haine
Jalonnant les voûtes
La joie est l’espérance
La charité est tempérance
L’âge n’est pas l’errance
Il est la porte de l’assurance
Dans un monde nouveau
La plaine est au niveau
La cascade est au pied
Plus rien n’est dévié.
Il était dit sur un ton
Une histoire dit-on
Doucereuse sur le fronton
Car parler d’un thon
N’est pas explique-t-on
Une sinécure dans les tons
L’ovale bombée sur le bâton
Il miroite sur tous les tons
Sous les rayons du laiton
Le soleil darde ses pelotons
De rayons et œilletons.
Sur ce, qu’en-dit-on
Si ce n’est qu’un certain ton.
Où la musique des mots
Ne sont plus des maux
Mais leurs notes donnent le ton
Le temps d’un miroton
Pour retrouver ces animaux
Nos amis rhumatismaux.
20 décembre 2016
Alumacom
Ce samedi, c’est la cata… !
Le soleil joue à cache-cache
Une pluie froide s’invite
Le téléphone sonne
Mauvaise nouvelle
Les marchands font gris-mine
Le vide-greniers est au frigidaire
Ce samedi c’est la cata
Le haut de la rue des Pyrénées
Est envahi de marchands
Ils sont trempés et réfrigérés.
Il sonne à nouveau
Enfin la nouvelle est meilleure.
Soudain la vie s’arrête,
Ce samedi c’est la cata
Plus de bus pour le retour,
Plus de voiture sur la rue
Les cris des commerçants se taisent
Au loin la rue s’anime
Un cortège bruyant s’anime
Une « manif d’étranger »
Décidément tout est incongru
Ce samedi c’est la cata.
La rue est aux manifestants,
Les trottoirs aux marchands
De vieilles choses sorties des caves,
Des greniers, des placards archi pleins.
Plus de place pour les passants,
Beaucoup ne sont pas des clients,
Le froid, la pluie, marcher
Ce samedi c’est la cata…
Les revendications me font rire
Doucement il pourrait-être provocateur
Le slogan est si ridicule vu le contexte !
Ils crient justice pour tous
Cette revendication me fait tendre l’oreille
J’étais d’accord avec eux
Mais la suite a été d’un ridicule
Ce samedi c’est la cata…
Soudain mes cheveux se dressent
Ils accusent la police de violence !
Cela aurait peut-être pu être vrai,
Or ils sont encadrés de policiers stoïques.
Ils sont protégés devant
Ils sont protégés à l’arrière
De violences il n’y a eu !
Ce samedi c’est la cata…
Ces gauchos ne doutent de rien,
Même devant les preuves ils accusent
Toute le police violente ?
Allons donc, comme ils y vont.
C’était des émigrés de diverses confessions,
Mais surtout des militants gauchisants
Mettant femmes et enfants devant et à l’arrière
Ce samedi c’est la cata…
Il est parti, le reverrai-je
Il est parti, le reverrai-je ?
Des journées difficiles
Et pourtant pleins d’amours !
Dix jours de bonheur
Plus rien n’existait
En dehors de cet enfant
Adulte et pourtant un ado
Affectueux heureux d’aider
Hélas il ne peut que rarement
La joie est dans son cœur
Il exprime bruyamment
Son monde est à demi-silencieux.
Il est parti, le reverrai-je ?
Des journées difficiles
Et pourtant pleins d’amours !
Il a quitté une nouvelle fois la maison
Pourrai-je le recevoir à nouveau ?
Est-ce lui qui ne pourra revenir
Est-ce moi sa maman qui pourra le recevoir ?
Ou est-ce la dernière fois que je le vois,
L’embrasse, le serre dans mes bras
Pose son baiser du soir sur son front
Lui donne ses médicaments
Est-ce la dernière fois que je le touche.
Il est parti, le reverrai-je ?
Des journées difficiles
Et pourtant pleins d’amours.
J’ai tant d’amour à donner
Cet enfant aux tempes grisonnantes
Il me manque tellement
Ce qui est le plus important
C’est sa félicité et sa santé
Son rire est le soleil dans la maison
Au printemps il sera de retour
Si Dieu ne le rappelle
Ou si mon passage dans ce monde se termine
Je ne sais rien du futur et pourtant rien n’est pas définitif
La joie comme la peine ne sont jamais définitive
Philosopher dans la campagne sous un arbre
Béret et cache-nez cache l’âme gelée et fugitive.
Le rêve une sorte de vision souvent éphémère
Se prête volontiers à la philosophie de la poésie
Il n’y a rien qui ne soit éphémère dans les écrits.