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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Lesaints de ce jour

Saint Jean-Baptiste de la Salle

Fondateur des Frères des Écoles Chrétiennes
(1651-1719)

Saint Jean-Baptiste de la Salle
Saint Jean-Baptiste de la Salle

Au moment où Dieu est chassé des écoles publiques pour être plus sûrement chassé du coeur des enfants, il est plus opportun que jamais de publier les grands exemples des Saints qui se sont faits les éducateurs dévoués de l'enfance chrétienne. Parmi ces éducateurs, saint Jean-Baptiste de La Salle occupe le premier rang. Outre la fondation si admirable des Frères des Écoles chrétiennes, dont le mérite lui appartient, on peut dire qu'il a été l'inspirateur des fondateurs de l'avenir, et que les institutions plus récentes ont bourgeonné autour du tronc vigoureux qu'il a planté.

Jean-Baptiste, né le 30 avril 1651, appartenait à une noble maison de Reims. Il eût pu aussi bien que personne, grâce à ses talents et à sa situation, briller dans le monde; mais il préféra se cacher dans le sanctuaire, ignorant que là était pour lui la source d'une gloire infiniment supérieure à celle du monde, la gloire de la sainteté. Orphelin à dix-huit ans, après l'achèvement de ses études, il veilla si bien à l'éducation de ses frères et de ses soeurs, qu'il eut deux frères prêtres et une soeur religieuse: c'était le commencement de son apostolat.

Ordonné prêtre à l'âge de vingt-sept ans, il comprit, sous l'inspiration de Dieu, le plus grand besoin de son époque, et songea à combler une lacune regrettable dans les oeuvres si belles et si multiples de la sainte Église. Recruter des jeunes gens, les installer dans sa maison de chanoine de Reims, les former à l'enseignement de l'enfance, tel fut le commencement de son entreprise. Cette entreprise subit dès l'abord des épreuves terribles.

Peu de Saints ont eu à souffrir un plus entier crucifiement, que le bienheureux de La Salle; peu de Saints ont montré plus de désintéressement, plus de joie dans le sacrifice; il poussait l'amour divin jusqu'à joindre à tant de Croix d'effrayantes mortifications volontaires, soutenues par un esprit de prière tout angélique.

La bénédiction de Dieu ne pouvait manquer à son oeuvre, et, en peu d'années, l'Institut comptait seize écoles, où plus de quinze cents enfants recevaient les leçons de la vertu et de la science; mais chaque année les développements devenaient de plus en plus merveilleux, et quand le saint fondateur, affaibli par la maladie, força ses frères à accepter sa démission, en 1717, toute la France était couverte par les légions de son armée pacifique.

Jean-Baptiste de La Salle employa les deux dernières années de sa vie à sa propre sanctification: "La victime est prête à être immolée, disait-il; il faut travailler à la purifier."

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

St Hermann-Joseph

prêtre († entre 1241 et 1252)

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Fête le 7 Avril

Bienheureux Hermann-Joseph  
Prémontré
(† 1230)

Le bienheureux Hermann de Steinfeld, dit Hermann-Joseph, à cause de sa chasteté, eut pour patrie la ville de Cologne. 
 
Son enfance fut remarquable par une piété vraiment angélique ; il passait de longs moments chaque jour dans les églises, devant l'image de Marie, à laquelle il confiait, ainsi qu'à son divin enfant, avec une naïveté charmante, tous ses petits secrets, ses petits chagrins, ses désirs. Il disait souvent, en terminant sa visite : "Mon cher petit Jésus, je resterais bien avec Vous et avec votre Sainte Mère ; mais il faut que j'aille à l'école ; bénissez-moi et pensez à moi en attendant mon retour !"

Un jour, il présenta une pomme à la sainte Vierge, et la statue étendit sa main pour la recevoir. Tout enfant, il jouissait déjà de visions et de révélations célestes, et une fois il passa plusieurs heures dans un pieux entretien avec Jésus et Marie. 
 
Dès l'âge de douze ans, Hermann se présenta aux Prémontrés, qui l'acceptèrent dans leur Ordre. Après ses études, il remplit successivement avec régularité et charité les offices de réfectorier et de sacristain. 
 
Les grâces extraordinaires étaient pour lui quotidiennes ; il était sans cesse embaumé de parfums célestes ; Marie lui apparut et mit l'Enfant Jésus dans ses bras ; une autre fois elle lui fit savoir qu'elle était très heureuse qu'on lui donnât le surnom de Joseph, qu'il n'osait accepter par humilité. Cette humilité était si parfaite, qu'il se croyait digne de l'anathème éternel, qu'il s'appelait un zéro, une pomme pourrie, un poids inutile sur la terre ; il ne se plaisait qu'à porter des habits usés et des chaussures rapiécées. 
 
Dieu lui envoya des Croix si terribles et des souffrances si aiguës, qu'il devint comme une image vivante de Jésus crucifié. Jamais une plainte ne sortit de sa bouche ; il souffrit tout, le sourire sur son visage ; il ajoutait même à ces Croix des sacrifices volontaires et de terribles mortifications. Son historien, voulant donner une idée de sa charité, dit que son cœur était comme un hôpital général où tous les affligés et les misérables trouvaient place.

St Georges

évêque († 816)

Fête le 7 Avril

Martyrologe Romain : À Mytilène dans l’ïle de Lesbos, en 816, saint Georges, évêque, qui, sous l’empereur Léon l’Isaurien, pour la cause des saintes images, fut exilé en Crimée, où il mourut.

7 Avril
  
Bienheureux Hermann-Joseph

Prémontré
(† 1230)

Bienheureux Hermann-Joseph
Bienheureux Hermann-Joseph

Le bienheureux Hermann de Steinfeld, dit Hermann-Joseph, à cause de sa chasteté, eut pour patrie la ville de Cologne.

Son enfance fut remarquable par une piété vraiment angélique; il passait de longs moments chaque jour dans les églises, devant l'image de Marie, à laquelle il confiait, ainsi qu'à Son divin Enfant, avec une naïveté charmante, tous ses petits secrets, ses petits chagrins, ses désirs. Il disait souvent, en terminant sa visite:

"Mon cher petit Jésus, je resterais bien avec Vous et avec Votre Sainte Mère; mais il faut que j'aille à l'école; bénissez-moi et pensez à moi en attendant mon retour!" Un jour, il présenta une pomme à la Sainte Vierge, et la statue étendit sa main pour la recevoir. Tout enfant, il jouissait déjà de visions et de révélations célestes, et une fois il passa plusieurs heures dans un pieux entretien avec Jésus et Marie.

Dès l'âge de douze ans, Hermann se présenta aux Prémontrés, qui l'acceptèrent dans leur Ordre. Après ses études, il remplit successivement avec régularité et charité les offices de réfectorier et de sacristain.

Les grâces extraordinaires étaient pour lui quotidiennes; il était sans cesse embaumé de parfums célestes; Marie lui apparut et mit l'Enfant Jésus dans ses bras; une autre fois Elle lui fit savoir qu'Elle était très heureuse qu'on lui donnât le surnom de Joseph, qu'il n'osait accepter par humilité. Cette humilité était si parfaite, qu'il se croyait digne de l'anathème éternel, qu'il s'appelait un zéro, une pomme pourrie, un poids inutile sur la terre; il ne se plaisait qu'à porter des habits usés et des chaussures rapiécées.

Dieu lui envoya des Croix si terribles et des souffrances si aiguës, qu'il devint comme une image vivante de Jésus crucifié. Jamais une plainte ne sortit de sa bouche; il souffrit tout, le sourire sur son visage; il ajoutait même à ces Croix des sacrifices volontaires et de terribles mortifications. Son historien, voulant donner une idée de sa charité, dit que son coeur était comme un hôpital général où tous les affligés et les misérables trouvaient place.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Hégésippe

Ecrivain chrétien en Palestine (✝ 180)

Confesseur.
Venu à Rome à l'époque du Pape Anicet, il y demeura jusqu'au pontificat du pape Eleuthère. Pendant son séjour,

il composa une "Histoire de l'Église" depuis la Passion du Christ jusqu'à son temps.
Commémoraison de saint Hégésippe, qui vécut à Rome depuis le pape Anicet jusqu'à Éleuthère, vers 180, et

composa une histoire de l'Église depuis la Passion du Seigneur jusqu'à son temps, dans un style simple.

Martyrologe romain

 

 

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