Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
16 Avril 2019
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Ce n'est pas Paris brûle-t-il, mais Paris en larme et en prière. Car Notre Dame de Paris est en flamme et en partie détruite. Le titre du Parisien, a bien défini, ce que les parisiens ressentent, moi comprise.
Je n'appelle pas à la prière, car chacun l'a fait spontanément. Car nous , nous ne pouvons que prier et donner une participation pour la reconstruction de Notre Dame. Si chacun donne, même une petite somme, cela fera plaisir au Seigneur. Ce qui compte, ce n'est pas la somme donnée, mais ce que le cœur a exprimé dans ce don. N'est pas ce que Jésus à dit pour Marie-Madeleine, pour son parfum coûteux en lui lavant les pieds, ou cette veuve qui a donné le peu qu"elle avait pour le Seigneur? Pour le Seigneur prions et donnons.
Si vous voulez, il y a la possibilité de créer des enveloppes de solidarité, en donnant chacun ce qu'il peut même 2 € , ainsi les sommes cotisées seront plus importante, et le responsable de la quête la portera à sa paroisse. Ainsi, tous auront participé, et ne se sentiront pas, des laisser pour compte".
Voici ce que dit le Parisien.
«Mon cœur va exploser» : les larmes des Parisiens devant Notre-Dame en feu
« Mon Dieu, mon Dieu ! Notre-Dame brûle, Notre-Dame est en feu ! hurle une femme » en rebroussant chemin. Une autre se penche vers le sol, recueille l’une des lucioles qui vient de s’éteindre, miette calcinée de toiture. Dans le creux de sa main, elle en compte déjà une dizaine. « Pourquoi les ramassez-vous ? -Je les garderai toute ma vie. Ce qui se passe est très grave », répond-elle dans un souffle. « N’allez pas plus loin, madame ! C’est pour vous que je dis ça ! » lui intime un policier perdant patience.
À l’angle de la petite rue Xavier Privas qui donne sur le quai de Seine, aux lisières du cœur du quartier Saint-Michel, les policiers à peine arrivés, appuyés par une patrouille Vigipirate, ont du mal à contenir les badauds qui affluent pour photographier le panache de fumée qui brunit le ciel et surtout les flammes qui ne cessent de grossir à l’arrière du corps de Notre-Dame de Paris. Une curieuse pluie commence à s’abattre sur les têtes, emportée par le souffle du vent qui s’est brusquement levé.
Paris : la cathédrale Notre-Dame en feu
Un incendie a éclaté à Notre-Dame-de-Paris, ce lundi, peu avant 19 heures. Les origines du sinistre étaient inconnues dans l'immédiat. Il intervient néanmoins à un moment où des travaux d'e...
L’incendie s’est déclaré depuis une vingtaine de minutes et dans ce secteur si touristique, les rabatteurs des restaurants commencent à n’en plus mener large en jetant par-dessus les toits des regards inquiets. Le flot des promeneurs s’est accéléré dans les deux sens. Ceux qui courent voir et ceux, en famille, qui rebroussent chemin d’un bon pas en poussant leurs enfants. « Les gens bloquent tout, s’écrie un homme. Les pompiers ne peuvent plus travailler ! » Des sirènes résonnent de toutes parts.
Marie, vingt ans, de Valence, dans la Drôme, se rendait justement à la cathédrale. Elle ouvre des yeux hallucinés, déjà rouges de larmes retenues, devant le spectacle qu’elle ne peut plus apercevoir qu’en se tassant dans un angle. Elle a du mal à croire ce qu’elle voit. « C’est impossible, c’est impossible ce qui se passe », répète-t-elle en boucle. L’averse de flammèches semble redoubler. Elles atterrissent sur les vêtements comme des cendres du diable.
Plus qu’une ville, c’est une planète qui souffre devant Notre-Dame en flammes. Place Saint-Michel, Parisiens et touristes assistent incrédules au désastre. La chute de la flèche, à 19h53, provoque un cri de stupeur dans la foule tandis que les policiers s’efforcent tant bien que mal de dresser un périmètre de sécurité. Il faut laisser passer les véhicules de secours mais pas seulement : les cendres incandescentes continuent à tomber du ciel.
Notre-Dame de Paris en feu : le moment où la flèche s'écroule
Des images impressionnantes. Un incendie a éclaté à Notre-Dame de Paris, ce lundi, peu avant 19 heures. Une heure plus tard, la partie supérieure de la pointe de l'édifice est tombée sur le c...
Des Canadair pour éteindre le feu de Notre-Dame de Paris ? Peu de temps après le début de l’incendie qui frappe le monument parisien ce lundi soir, le président des Etats-Unis Donald Trump a suggéré sur Twitter d’utiliser ces avions bombardiers d’eau pour stopper les flammes qui ravagent l’une des figures du patrimoine français.
Pertinent ? Oui dans le cas d’un feu de forêt, mais pas dans le cadre d’une intervention des pompiers en ville, a répondu la Direction Générale de la Sécurité Civile et de la Gestion des Crises française.
« Le largage d’eau par avion sur ce type d’édifice pourrait en effet entraîner l’effondrement de l’intégralité de la structure », répond l’organisme sur Twitter, qui précise être « aux côtés des sapeurs-pompiers qui font le maximum pour sauver Notre-Dame ».
« Hélicoptère ou avion, le poids de l’eau et l’intensité du largage à basse altitude pourraient en effet fragiliser la structure de Notre-Dame et entraîner des dommages collatéraux sur les immeubles aux alentours », poursuit la Sécurité Civile.
Un avis partagé par le vice-président de Dassault Aviation, Stéphane Fort, sur Twitter. « Cela pourrait entraîner l’effondrement de la clé de voûte et de l’intégralité de la structure », affirme-t-il.
L’intervention de Donald Trump a provoqué la colère des internautes. Il « s’exprime sans rien comprendre de la situation en disant une ânerie aussi grosse que sa perruque », juge un internaute.