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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes frères et mes sœurs, bon mardi et prions ensemble

Bonjour mes frères et mes sœurs, bon mardi et prions ensemble
Bonjour mes frères et mes sœurs, bon mardi et prions ensemble

Ô Marie, il n'est rien le faible son de ma lyre pour célébrer Ta louange

Ô Marie, à côté des hymnes angéliques, il n'est rien, je le sais, il n'est rien le faible son de ma lyre pour célébrer Ta louange ; mon amour, toutefois, excusera ma hardiesse. 

Que Ta gloire immortelle descende des Cieux, environnée d'éclat, comme Elle l'est dans le chœur suprême; qu'Elle déploie Son vol immense et rapide, et que, sur des ailes d'or, portant les paroles de cet hymne, Elle fasse le tour du globe terrestre comme le fait le soleil. 

Ainsi soit-il. 

Pape Urbain VIII (1568-1644), né Maffeo Barberini, 235ème Pape pendant 21 ans de 1623 à 1644 qui fut également un poète en vers latins d’Hymnes et d’Odes sur les Fêtes de Notre-Seigneur, de la Sainte Vierge et de plusieurs Saints.

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Je n'ai qu'un seul regret, c'est d'avoir vécu si longtemps sans Vous aimer

Je n'ai qu'un seul regret, ô mon Sauveur, c'est d'avoir vécu si longtemps sans Vous aimer.

Si Vous êtes pour moi, ô mon Dieu, qui sera contre moi ? Si Vous Vous êtes donné à moi avec cette Charité sans bornes, comment ne me donnerez-Vous pas toutes choses avec Vous ?

En Vous aimant, je suis fort, je suis patient, je suis doux, je crois tout, j'espère tout, je suis tout, j'attends tous les biens, et j'évite tous les maux ; car, en Vous aimant, je Vous possède ; et en Vous possédant, rien ne me manque.

 En Vous aimant, je suis homme, je suis ange, je suis bienheureux, je suis mort au péché, et je ne vis que pour Vous ; sans votre Amour, quel bien puis-je avoir, et quel mal n'ai-je pas ? Je n'ai qu'un seul regret, ô mon Sauveur, c'est d'avoir vécu si longtemps sans Vous aimer. Mais, après tout, cette douleur est d'un homme vivant ; car quand je ne la sens point, je suis comme un homme mort. Faites, ô divin Jésus, que je sois brisé de douleur de ne Vous avoir point aimé, afin que je sois embrasé d'amour quand je commencerai à Vous aimer ; éclairez mes yeux, afin que je voie votre Douceur, votre Bonté, votre Charité ; et que, charmé de votre Beauté infinie, je devienne insensible à tout le reste. C'est ce que Vous espérez de moi ; c'est pour cela que Vous me supportez et que Vous m'attendez. Vienne donc, Seigneur, cet heureux moment où je commencerai à Vous aimer pour toujours.  

Ainsi soit-il. 

 

Thomas de Jésus (1529-1582), Religieux Portugais de l’Ordre des Ermites de Saint Augustin (o. s. a.) réformateur et écrivain mystique auteur des « Souffrances de Notre-Seigneur Jésus-Christ » qui fit son noviciat au Couvent de Notre-Dame de Grâce de Lisbonne, y fit Profession le 27 mai 1548 et y fut Prieur. 

Titré de « Les Souffrances de Notre-Seigneur Jésus-Christ pendant sa Passion », ''Tome II, Entretien avec Jésus-Christ sur les pièges que Lui tendirent ses ennemis, pages 11-12, III, Lefort imprimeur-libraire (1859)

 

Bon et si pieux Saint Yves Hélory priez pour nous

Bon et si pieux Saint Yves Hélory, voici devant vous une âme désemparée, qui, ayant besoin d’aide, a recours à vous avec la douce espérance d’être exaucée (énoncer maintenant ce que l’on désire). 

À cause de mon indignité et de mes manquements passés, je n’ose point espérer que mes prières arrivent à forcer le cœur de Dieu, et c’est pour cela que je sens le besoin d’un médiateur qui a Son écoute ; aussi c’est vous que j’ai choisi Saint Yves car votre vie exemplaire, votre abnégation, votre altruisme et votre foi immense forcent le respect et font de vous le parfait intercesseur à ma cause. 

Cher Saint Yves, vous qui avez tant aimé vos contemporains au point d’offrir tous vos biens aux pauvres et de défendre au tribunal les cas réputés indéfendables, prenez à cœur ma cause, je vous en prie, acceptez d’intervenir auprès de Dieu pour obtenir la grâce qu’ardemment je désire(redire clairement ce que l’on désire). 

Si en moi quelque chose empêche que j’obtienne cette grâce, aidez-moi à me débarrasser de cet obstacle. Couvrez ma prière de vos précieux mérites et présentez-la au Christ en union à la vôtre. Ainsi purifiée par vous, serviteur dévoué parmi les plus dévoués, vous qui, tant de fois, par vos magnifiques plaidoiries, et votre admirable charité envers les pauvres, avez ainsi répondu aux souhaits de sainteté du Seigneur, comment pourrait-Il la rejeter ? Ou ne pas l’exaucer ? Mon espoir est donc en vous, et par votre intermédiaire j’attends le cœur battant l’accomplissement de mon souhait.

Ô cher Saint Yves, que la confiance et l’espoir mis en vous ne soient pas déçus ; faites que ma requête ne demeure pas vaine; obtenez pour moi de Dieu ce que je demande. Alors, je ferai connaître à tous la bonté du Seigneur et l’efficacité de votre intercession. Ô Bon Seigneur Jésus-Christ au Cœur si compatissant, Vous qui Vous êtes montré toujours si sensible aux plus petites misères de l’humanité, laissez-Vous émouvoir; et, sans regarder ma faiblesse et mon indignité, daignez m’accorder cette grâce qui me tient tant à cœur, et que je Vous demande pour moi Votre fidèle serviteur, Saint Yves. Pour la fidélité avec laquelle Saint Yves a toujours répondu à la Divine Grâce, pour tous ces dons dont Vous avez voulu combler son âme, pour tout ce qu’il a enduré en sa vie de serviteur dévoué aux plus démunis; et, enfin, pour l’extraordinaire pouvoir d’intercession et de guérison, et les nombreux miracles par lesquels Vous avez voulu récompenser sa fidélité, concédez-moi je Vous en supplie cette grâce à laquelle je tiens tant. 

Ô Vierge Marie, notre bonne Mère du Ciel, Co-Rédemptrice du monde, dépositaire des Divins Trésors et dispensatrice de toutes les grâces, appuyez, je Vous en prie humblement, de Votre puissante intercession, celle de Votre grand dévot Saint Yves, pour m’obtenir de Dieu et de Votre Fils la grâce désirée. Amen.

 

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