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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Samson et Nazaire et Aux Saintes âmes du jour

Dimanche 28 juillet 2019

Bonne Fête aux:

Samson

Nazaire

Dictons
A la Saint-Samson Le temps est bon.
Temps rouge au couchant annonce pour demain du vent. (Vosges)

Saint Samson

Evêque de Dol (✝ 565)

Saint SamsonGallois qui s'en fut en Irlande pour s'initier aux méthodes missionnaires de saint Patrick puis vint en Bretagne armoricaine. Il évangélisa les populations jusque sur les bords de la Seine. D'ailleurs il est mentionné au concile de Paris en 557. Il fonda les monastères de Pental et de Dol-de-Bretagne. Seize communes portent son nom.
Gallois, il devint disciple de saint Iltutdans le Glamorgan. Ensuite il se fit moine puis devint abbé dans l'île de Caldey; après un séjour en Irlande il se fixe en Cornouilles où il est sacré évêque par saint Dubrice; il se rend alors en Armorique pour évangéliser la Bretagne où il établit sa résidence dans un monastère, à Dol, bien des siècles avant qu'il y eût un siège officiel; il est toujours vénéré en Bretagne et dans le pays de Galles. (Diocèse de Beauvais)
"Saint Samson est l'un des évêques fondateurs de l'Église de Bretagne. Dol sera plus tard l'une des étapes du pèlerinage des Sept-Saints, le Tro-Breiz." (diocèse de Quimper et Léon - Saint Samson)
À Dol de Bretagne, vers 565, saint Samson, abbé et évêque. Il propagea dans la Domnonée l'Évangile et la discipline monastique que l'abbé saint Iltud lui avait enseignés au pays de Galles.

Martyrologe romain

"Mes frères bien-aimés et chers enfants, je vous donne avis que je meurs et quitte volontiers cette vallée de misère pour aller jouir de Dieu dans le ciel... Lorsque je serai devant Dieu, je prierai pour vous…"

Saints Procore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas

diacres (Ier siècle.)

Au martyrologe romain, le 28 juillet, commémoraison des saints Procore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas, prosélyte originaire d'Antioche. Avec Étienne et Philippe, ils formèrent le groupe des Sept, estimés de tous, remplis d'Esprit Saint et de sagesse, que l'assemblée des disciples choisit et présenta aux Apôtres, et à qui ceux-ci imposèrent les mains pour qu'ils s'appliquent à la tâche de servir les pauvres.
Les Douze convoquèrent alors l'assemblée des disciples et ils leur dirent: «Il n'est pas normal que nous délaissions la parole de Dieu pour le service des repas. 
Cherchez plutôt, frères, sept d'entre vous, qui soient des hommes estimés de tous, remplis d'Esprit Saint et de sagesse, et nous leur confierons cette tâche. 
Pour notre part, nous resterons fidèles à la prière et au service de la Parole.» 
La proposition plut à tout le monde, et l'on choisit : Étienne, homme rempli de foi et d'Esprit Saint, Philippe, Procore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas, un païen originaire d'Antioche converti au judaïsme. 
On les présenta aux Apôtres, et ceux-ci, après avoir prié, leur imposèrent les mains. 
(Actes des apôtres, chap. 6)

Martyrologe romain

28 Juillet
  
Saint Nazaire et saint Celse

Martyrs
(Ier siècle)

Saint Nazaire et saint Celse
Saint Nazaire et saint Celse

Nazaire naquit à Rome, d'un père païen, nommé Africanus, et d'une pieuse mère nommée Perpétue, qui avait été baptisée par saint Pierre. L'enfant répondit admirablement aux leçons maternelles et brilla par ses vertus précoces et son innocence.

Parvenu à sa neuvième année, Nazaire fut sollicité par son père d'abandonner le christianisme; mais il préféra la vérité au mensonge, fut baptisé par saint Lin et devint un des plus fervents chrétiens de Rome. Son père, irrité, employa la violence pour vaincre sa fermeté; mais, enfin, plein d'admiration pour ce fils, il lui fournit lui-même les moyens d'accomplir le projet hardi qu'il avait formé d'aller prêcher la foi.

Nazaire parcourut l'Italie, semant l'Évangile parmi les populations païennes et les édifiant par ses vertus. A Milan, son premier soin fut d'aller visiter les martyrs Gervais et Protais dans leur prison et de les fortifier dans la lutte par ses paroles. Saisi lui-même comme chrétien, il est cruellement flagellé et chassé de la ville. Près de Nice, il s'attache comme disciple un enfant nommé Celse, après l'avoir instruit et baptisé. Nazaire et Celse ne se séparent plus. Les conversions se multiplient d'une manière étonnante; Nazaire est de nouveau soumis à de cruelles tortures, puis rendu à la liberté, à la condition de ne plus reparaître dans ce pays.

Les deux saints jeunes gens remontent alors les Alpes, traversant sans se décourager d'immenses et solitaires forêts, des rochers inaccessibles, de rares villages où vivaient de pauvres idolâtres, et arrivent à Embrun, où leur zèle opère des prodiges de conversions. Vienne, Genève, Trèves entendent tour à tour leur voix, rendue éloquente par l'amour de Jésus-Christ. Les contradictions et la persécution donnent à leur prédication une fécondité nouvelle.

Condamnés à être noyés, ils marchent sur les ondes comme sur une terre ferme. Après cet éclatant miracle, Nazaire et Celse reprennent la route de Milan, où ils sont bientôt arrêtés comme chrétiens et zélateurs de la foi.
A la lecture de la sentence de mort, ils se jettent, joyeux, dans les bras l'un de l'autre: "Quel bonheur pour nous, s'écrie Nazaire, de recevoir aujourd'hui la palme du martyre!
– Je Vous rends grâces, ô mon Dieu, dit Celse, de ce que Vous voulez bien me recevoir, si jeune encore, dans Votre gloire."
Ils sont alors conduits sur une place publique de Rome, où ils ont la tête tranchée, vers l'an 56 de l'ère chrétienne.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Sainte Alphonsine de l'Immaculée

clarisse indienne (✝ 1946)

Alphonsine de l'Immaculée, de son nom de famille indienne Anne Muttathupandathu, (1910-1946), fut religieuse professe de la congrégation des Clarisses du tiers ordre de saint François. Cette religieuse originaire de la région du Kérala avait été béatifiée par Jean-Paul II le 8 février 1986.
Anna Muttathupadathu naît à Kudamaloor, dans le Kérala, au sud-est de l'Inde. Encore enfant, elle est impressionnée par la vie de sainte Thérèse de Lisieux et prend la résolution de devenir sainte elle aussi au moyen de la prière et de la pénitence. Désormais, pour elle, le chemin vers la sainteté sera "le chemin de la Croix, le chemin de la maladie et de la souffrance" (Jean-Paul II). Pour ne pas être mariée de force par ses parents, elle décide de s'enlaidir et se brûle le pied.
Devenue clarisse à Bharananganam, elle garde constamment, malgré de grandes souffrances, un sourire candide aux lèvres, elle est gaie comme un enfant. « Elle sait trouver son bonheur dans les choses simples et ordinaires. (...) Elle ne cesse de rendre grâces à Dieu pour la joie et le privilège de sa vocation religieuse, pour la grâce de ses voeux de chasteté, de pauvreté et d'obéissance. (...) Elle en vient à aimer la souffrance, parce qu'elle aime le Christ souffrant, et la Croix à travers son amour pour le Christ crucifié. » (Jean-Paul II) 
Aux souffrances physiques et aux convulsions qui la secouent chaque vendredi, s'ajoutent celles causées par la jalousie, l'incompréhension et les faux jugements à son égard. Dans une lettre écrite en février 1946, peu avant sa mort, elle dit: «Je me suis complètement donnée à Jésus. Qu'il fasse de moi comme il l'entend. Mon seul désir en ce monde est de souffrir pour l'amour de Dieu et de me réjouir en le faisant.» (source : Service de presse du Vatican)
Canonisée le 12 octobre 2008 par Benoît XVI
À Bharananganam au Kérala, en Inde, l'an 1946, sainte Alphonse de l'Immaculée Conception (Anne Muttathupadathu), vierge. Pour fuir le mariage qu'on voulait lui imposer, elle mit son pied dans le feu et, admise parmi les Clarisses de Malabar, elle offrit à Dieu une vie presque toujours souffrante.

Martyrologe romain

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