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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête ! Carmel Carmela, Carmelle, Carmelo Carmen Carmin et aux Saintes âmes du 16 juillet-

Mardi 16 juillet 2019

Bonne Fête !
 
Carmel
CarmelaCarmelleCarmelo
Carmen
Carmin
 
Dictons
Mieux vaut chèvre que vache à lait, Quand la bonne Dame de Carmel est arrivée.
Notre-Dame du Mont-Carmel

Notre-Dame du Mont-Carmel

et le Saint Scapulaire

Notre-Dame du Mont-Carmel
Notre-Dame du Mont-CarmelO.D.M. pinxit

L'Ordre du Carmel se donne une origine aussi ancienne que glorieuse; on croit, non sans raisons sérieuses, que cet Ordre n'est que la continuation de l'école des prophètes établie au mont Carmel par le prophète Élie. Les disciples de cette école furent au premier rang parmi les convertis au christianisme naissant, et le Carmel devint le berceau de la vie monastique depuis Jésus-Christ.

Après la dispersion des Apôtres, l'an 38, ils bâtirent une chapelle en l'honneur de Marie et se vouèrent tout spécialement à célébrer Ses louanges. Plus tard, ils eurent beaucoup à souffrir des Sarrasins et des Musulmans, lorsque la France, de concert avec l'Europe entière, entreprit ces magnifiques, mais désastreuses Croisades qui avaient pour but d'arracher les Lieux Saints aux infidèles.

C'est à l'occasion de ces épreuves subies par l'Ordre du Carmel que les Carmes vinrent en France avec le roi saint Louis. Ils y établirent plusieurs maisons et allèrent même s'implanter en Angleterre, où ils eurent le bonheur de voir saint Simon Stock embrasser leur Institut. Ce grand Saint devint, en 1245, supérieur général des Carmes, et n'oublia rien pour rallumer la dévotion à Marie dans son Ordre.

La fête de Notre-Dame du Mont-Carmel a pour but de rappeler une grâce insigne accordée par Marie à l'Ordre du Carmel et par lui à toute l'Église. Dans la nuit du 16 juillet, Simon Stock demandait, avec une ferveur toute spéciale, la protection de la Sainte Vierge sur son Institut. Au lever de l'aurore, Marie lui apparut, accompagnée d'une multitude d'anges, environnée de lumière et vêtue de l'habit du Carmel. Son visage était souriant; dans Ses mains Elle tenait le scapulaire de l'Ordre. Devant le Saint Elle S'en revêtit Elle-même, en disant:

"Ceci est un privilège pour toi et pour tous les Carmes. Quiconque mourra en portant cet habit ne souffrira pas le feu éternel."

Le Saint fit des miracles pour confirmer la réalité de cette vision.

Ce fut l'origine de la Confrérie de Notre-Dame du Mont-Carmel, pour les chrétiens qui, ne pouvant embrasser

la Règle, veulent attirer sur eux les bénédictions promises au scapulaire. Le privilège le plus considérable accordé à la confrérie du Mont-Carmel après celui que Marie fit connaître à saint Simon Stock, est celui qui fut révélé au Pape Jean XXII: la délivrance du purgatoire, le samedi après leur mort, des confrères du Mont-Carmel qui auront été fidèles à l'esprit et aux règles de la Confrérie. Outre ces deux privilèges, il y a de nombreuses indulgences attachées au scapulaire.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Pourquoi porter le scapulaire du Carmel ?

CHRONIQUE | La foi et ses gestes | 05/07/2011 | Par Élisabeth de Baudoüin

Aujourd’hui, des millions d’hommes et de femmes portent le « scapulaire de la bienheureuse Vierge Marie du mont Carmel ». La fête de Notre-Dame du Carmel, le 16 juillet prochain, donne l’occasion de se pencher sur le sens d’une telle pratique, véritable signe d’appartenance au Christ, par Marie.
 

« On ne porte pas le scapulaire du Carmel comme on porte une simple médaille, même la médaille miraculeuse. Encore moins comme un porte-bonheur aux quelconques pouvoirs magiques », explique le Frère Jean Alexandre, religieux carme de la province de Paris. « C’est un vêtement, que l’on reçoit à travers un rituel de bénédiction et d’imposition, et qui marque un engagement ».

Membres d’une même famille

Qui porte cette humble pièce d’étoffe brune, faite de deux morceaux de tissu reliés entre eux par deux cordons ? 
Des hommes et des femmes de tous âges et de tous milieux, laïcs ou religieux, qui partagent un point commun : l’attachement à la famille carmélitaine, à sa spiritualité, et à la Vierge. Recevoir le « scapulaire brun », c’est s’agréger (pas forcément de façon formelle) à la grande famille du Carmel et à celle de Marie. Deux familles dont tous les membres sont frères, et qui n’en font qu’une.

Car qui dit Carmel, dit Marie : « Totus marianus est carmelis » –€“ tout le Carmel est marial –, précise un vieil adage. Il rappelle que l’ordre du Carmel, appelé aussi  « ordre de la Vierge », est placé, depuis toujours, sous la protection de la Mère de Dieu, et consacré à son service.

C’est justement le sens profond du port du scapulaire. Ainsi, Marie Azélie, 12 ans, se prépare à le recevoir pour « être protégée par Marie, lui rendre des services et mieux aimer Jésus ».

 « Quiconque mourra avec ceci sera sauvé »

Mais au départ, l’affaire, qui remonte au XIIIe siècle, ne semble pas aussi entendue. Alors que saint Simon Stock, prieur général de l’ordre du Carmel, invoque la Vierge à propos de l’avenir incertain de son ordre, la Vierge répond « à côté » : tenant en main un scapulaire, elle lui dit : « Quiconque mourra avec ceci sera sauvé ». Quelques temps plus tard, lors d’une seconde apparition, au futur pape Jean XXII († 1334), elle promet de délivrer du purgatoire les dévots du scapulaire le samedi suivant leur mort. Ces deux promesses vaudront par la suite au scapulaire bien des sceptiques : « Le salut peut-il s’acheter à si bon compte ?... La Vierge n’a pu se prêter à un tel marché… ».

Il semble que Marie ait plutôt voulu faire passer un message théologique fort : « Aux carmes lui demandant de les aider dans leurs difficultés institutionnelles, la Vierge répond par une promesse portant sur la seule chose qui compte vraiment : le salut éternel », explique le Frère carme déchaussé Philippe de Jésus-Marie dans Le secret du Carmel, le scapulaire et la vie mariale, aux éditions du Carmel. Elle complète ensuite cette réponse par une catéchèse sur les fins dernières, venant ainsi appuyer ce qu’enseigne l’Église.

Se laisser « revêtir du Christ », par Marie

Pour des raisons pratiques, on peut remplacer la pièce d’étoffe par une médaille. Mais le scapulaire n’en reste pas moins un habit : la réduction de celui des carmes. « Habit marial et vêtement de grâce, à travers lequel la Vierge nous revêt du Christ. Ce qui suppose une attitude de simplicité et de foi, celle du petit enfant qui se laisse habiller par sa mère », explique le Frère Philippe de Jésus-Marie.

« Imite-la et vis dans son intimité »

Plus encore, le scapulaire est le signe d’une véritable consécration à Jésus par Marie, reposant sur la confiance et l’imitation, comme le soulignait Jean-Paul II, dont il était lui-même revêtu : « Les [porteurs du scapulaire] expriment leur volonté de modeler leur existence sur l’exemple de Marie, la mère, la patronne, la sœur, la Vierge très pure, accueillant avec un cœur purifié la parole de Dieu et se dédiant avec zèle au service de ses frères ». Revêtir le scapulaire, c’est prendre Marie comme modèle à imiter, maîtresse à servir, et mère à aimer. « Imite-la et vis dans son intimité », dicte le Nouveau rituel du scapulaire, approuvé par la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, en 1996. Une intimité simple et affectueuse, propre aux enfants du Carmel. À commencer par les plus grands, telle sainte Thérèse de Lisieux, qui déclarait : « La Sainte Vierge… Elle est plus mère que reine… Elle a eu bien moins de chance que nous, car elle n’a pas eu de Sainte Vierge à aimer ; et c’est une telle douceur de plus pour nous, et une telle douceur de moins pour elle ».

Isidore Bakanja, jeune martyr du scapulaire
Né au Zaïre vers 1885, baptisé le 6 mai 1906 et revêtu ce même jour du scapulaire du Carmel, Isidore Bakanja se distingue très tôt par sa piété et sa foi exemplaire. Embauché comme maçon dans une entreprise de travaux publics, il est vite en butte à l’hostilité du gérant, ennemi fanatique du catholicisme. Alors que celui-ci lui ordonne d’ôter son scapulaire, le jeune homme lui répond calmement : « Maître, tu exiges que j’enlève l’habit de la Sainte Vierge. Je ne le ferai pas. En tant que chrétien, j’ai le droit de le porter ». Le maître ordonne alors de le faire fouetter. Plus tard, il le lui arrache et le jette à son chien, et le fait à nouveau fouetter puis jeter en prison, à demi-mort. Isidore décède de ses blessures le 15 août 1906, non sans avoir pardonné à son bourreau et assuré qu’il prierait beaucoup pour lui au Ciel. Il a été proclamé bienheureux par Jean-Paul II, en 1994. 
Bienheureux Nicolas Savouret et Claude Béguignot
prêtres et martyrs à Rochefort (✝ 1794)

Béatifiés le 1er octobre 1995 par Jean-Paul II.
Les bienheureux martyrs des pontons de Rochefort (diocèse de Sens-Auxerre)
Depuis 1910, chaque deuxième quinzaine d'août, a lieu un pèlerinage en souvenir des prêtres déportés (diocèse de La Rochelle)
Dans la baie devant le port de Rochefort, en 1794, les bienheureux Nicolas Savouret et Claude Béguignot, prêtres et martyrs. Le premier, cordelier à Moulins, le second, chartreux près de Rouen, ils furent arrêtés sous la Révolution française, en raison de leur sacerdoce, déportés dans des conditions inhumaines sur un bateau négrier et y moururent de maladie.

Martyrologe romain

Sainte Marie-Madeleine Postel, Fondatrice des Soeurs des Ecoles Chrétiennes (+ 1846). Fête le 16 Juillet.

Mardi 16 Juillet 2019 : Fête de Sainte Marie-Madeleine Postel,

Fondatrice des Sœurs des Écoles Chrétiennes (+ 1846).


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Sainte Marie-Madeleine Postel

Fondatrice des Sœurs des Écoles Chrétiennes (✝ 1846)

Elle naquit en 1756 à Barfleur en Normandie. Après ses études chez les Bénédictines de Valognes, elle ouvre une école en 1774.
Les élèves affluent dans son pensionnat. Pendant la Révolution, elle aide les Prêtres et organise des messes clandestinement. Elle-même se voit autorisée à distribuer la Communion aux malades.
Fondatrice en 1807, de la Congrégation des Sœurs des Écoles Chrétiennes, elle ouvrit un pensionnat à Cherbourg pour l'éducation des jeunes filles. Celui-ci devint le premier de nombreux autres qui furent à l'origine de générations de jeunes filles Chrétiennes convaincues et militantes.

Fille de cordier du village de la Bretonne, à Barfleur, Julie Postel naquit en 1756. Elle résolut très jeune de se Consacrer à Dieu.
Après des années de pension chez les Bénédictines de Valognes, elle fonda une école de filles à Barfleur, et quand survint la Révolution, soutint les Prêtres réfractaires, fit le catéchisme, distribua clandestinement la Communion.

Elle devint institutrice à Cherbourg. Mais son désir de devenir Religieuse restait intact. Avec trois jeunes filles, elle obtint l'autorisation de fonder une petite Congrégation de Religieuses, ayant vocation à enseigner: le 8 Septembre 1807, jour de la Fête de Notre Dame de la Miséricorde, qui donna son nom à la nouvelle Congrégation, Mère Marie-Madeleine et ses trois premières filles prononcèrent leurs vœux perpétuels dans la chapelle de l'hospice de Cherbourg.

De là, les Sœurs allèrent d'étape en étape par Octeville l'Avenel, Tamerville, Valognes, Tamerville de nouveau.
Le périple se termina dans les ruines de l'ancienne Abbaye Bénédictine de Saint-Sauveur-le-Vicomte, qu'elle acheta en 1832.

L'Institut des Sœurs de la Miséricorde prit vite son essor et se développa dans l'Ouest de la France tout d'abord, puis en Allemagne et aux Pays-Bas.
La Mère Marie-Madeleine veillait à la formation de ses Sœurs et à l'extension de sa Congrégation, insistant sur "l'Obéissance jusqu'à la mort", la Charité et la vie de Prière.

Bien avant sa mort, en 1846, elle était considérée comme une Sainte. Elle fut Canonisée en 1925.
Source: Liturgie des heures du diocèse de Coutances et Avranches 1993 où elle est fêtée le 17 Juillet.

À Saint-Sauveur-le-Vicomte en Normandie, l’an 1846, Sainte Marie-Madeleine Postel, vierge.
Sous la Révolution Française, alors que les Prêtres étaient exilés ou pourchassés, elle apporta toute son aide aux malades et aux fidèles et, quand la paix fut rendue à l’Église, elle fonda et dirigea, dans une pauvreté extrême, le Congrégation des Filles de la Miséricorde, pour l’éducation Chrétienne des jeunes filles pauvres.

Martyrologe romain

"Quand Dieu est en nous, pouvons-nous rester sans le donner à tous? Quand nous nous sentons tellement aimés de Lui, comment pouvons-nous les laisser ainsi dans l'ignorance de cet amour?" (Lectionnaire Emmaüs)


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Marie-Madeleine Postel
Religieuse, Fondatrice, Sainte
1756-1846

Le 28 Novembre 1756, au foyer de Jean Postel, cordier à Barfleur, naît une petite fille Julie. Dès son jeune âge, elle fait preuve d'une grande dévotion. A 12 ans, grâce à la générosité d'une paroissienne, elle part chez les Bénédictines de Valognes.

Jusqu'à 18 ans, elle y reçoit une solide culture générale et religieuse et le sens de la beauté pour Dieu.

Elle n'oublie pas ses origines modestes et revient à Barfleur et ouvre la Bretonne, une école pour les fillettes pauvres.

Elle a 33 ans quand éclate la Révolution. Elle découvre les exigences de sa vocation Chrétienne. Elle veille sur les Prêtres traqués et les aide à gagner l'Angleterre. Elle porte la Communion aux malades, elle console, elle secourt.

" Vous formerez une Communauté à travers de grandes tribulations", lui avait prédit en 1804, une petite fillette sur son lit de mort.

En 1805, Julie part à Cherbourg, elle souhaite fonder une Communauté au service de la jeunesse abandonnée et des pauvres.
Elle la place sous le patronage de la "Mère de Miséricorde". Les premières compagnes arrivent et le 8 Juillet 1807, Julie prononce avec trois de ses compagnes ses vœux perpétuels. Désormais elle sera Mère Marie-Madeleine.

En 1811, elle est pendant six mois à Octeville-l'Avenel. Elle écrit à l'abbé Cabart de Cherbourg: " Je laisse et abandonne toutes mes affaires temporelles et spirituelles entre les mains de Dieu et dans les vôtres. Je me plonge dans la volonté de Dieu comme le poisson dans l'eau".

De septembre 1811 à 1832, "les pauvres filles de la Miséricorde" s'installent à Tamerville excepté un passage à Valognes en 1813/1814.

C'est au cours de cette période qu'elle pense à la formation de "ses filles". Elle rédige les premières constitutions. Pendant 16 ans les Sœurs font la classe, le catéchisme, vont secourir les pauvres. La Congrégation s'épanouit.

De nouvelles recrues se présentent. Il faut chercher un autre asile. A 76 ans, elle le trouve: les ruines d'une Abbaye Bénédictine à Saint-Sauveur-le-Vicomte. " Dieu ne nous a pas appelées pour pleurer sur les ruines de son temple, mais pour le réédifier dans sa première splendeur. Si nous sommes fidèles, tout sera réparé".

"J'irai jusqu'au bout du monde pour gagner une âme à Dieu" . La bâtisseuse d'église, en ses Chrétiens surtout, Marie-Madeleine Postel a légué à ses filles le goût de travailler à l'édification de l'Église d'aujourd'hui.

Elle remet son âme à Dieu à Saint-Sauveur-le-Vicomte, le 16 Juillet 1846, elle avait 90 ans, après avoir témoigné toute sa vie de l'Amour sans limite d'un Dieu trop fort souvent dépeint sous les traits d'un juge impitoyable.

Elle est Béatifiée en 1908 et Canonisée le 24 Mai 1925, on la Fête le 16 Juillet.

 

Notre Fondatrice : Sainte Marie-Madeleine POSTEL

Julie Postel est née à Barfleur le 28 novembre 1756. Très tôt, elle est fascinée par la Piéta de l’église paroissiale, un Dieu fait homme, le corps reposant dans les bras de sa mère…
Tout au long de sa vie, elle prie la Vierge Marie et l’invoque sous le beau titre de Notre – Dame de la Miséricorde.

Envoyée à l’Abbaye royale des Bénédictines de Valognes, elle y reçoit une solide culture générale et religieuse… Quand elle retourne à Barfleur, c’est pour ouvrir une école pour les petites filles pauvres.

Durant la Révolution Française, elle aide les Prêtres traqués à partir en Angleterre. Elle protège le Saint Sacrement dans une cache, sous un escalier, elle porte la Communion aux malades, elle console, elle secourt, elle apprend son métier de « bâtisseuse d’Église ».

Le 8 Septembre 1807, à Cherbourg, jour de la Fête de Notre – Dame de la Miséricorde, Julie Postel devient Mère Marie-Madeleine et fonde sa Congrégation dans le but d’ « instruire la jeunesse, lui inspirer l’Amour de Dieu et l’amour du travail ; se sacrifier pour secourir les pauvres et alléger autant que possible toute infortune » sans avoir d’autres ressources que « la Providence et la pauvreté personnelle ».

Plus tard, elle dira à ses Sœurs : « j’aimerais des Religieuses qui n’auraient d’autres rentes que leurs doigts et qu’une pauvreté réelle contraignît au travail ».

Mère Marie-Madeleine et ses premières Sœurs resteront six années à Cherbourg. Très vite, la place manque, il faut trouver un autre asile ; c’est le début d’une longue itinérance de village en village.
Enfin, le 15 Octobre 1832, à l’âge de soixante seize ans, elle achète, pour s’y installer, les ruines de l’Abbaye de Saint Sauveur-le-Vicomte qu’elle entreprend de restaurer.

Le 16 Juillet 1846, Sainte Marie-Madeleine Postel remet son âme au Dieu de Miséricorde qu’elle avait déjà appris à aimer, en contemplant la Piéta de Barfleur.


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