Il étais une fois dans la forêt,
Au temps du moyen-âge,
Une" sorcière "habitait une masure,
Elle se nommait Agathe
Sa beauté et sa bonté sont légendes,
Sa connaissance des plantes,
Lui a donné sa célébrité.
Les petites gens venaient,
Ses potions guérissaient.
Des loups vivaient en bande,
Sa petite maison étaiet au centre de leur domaine,
Ils cohabitaient en harmonie.
Un brave bûcheron remarque cette belle jeune femme.
Les bois étant leur domaine commun,
Ils furent au début de leurs rencontres des collaborateurs.
La bonté de ce bel homme costaud,
Charma la Agathe, elle lui offrit un nectar.
L'année suivante ils se marièrent.
Ils vivaient heureux, bien que chichement.
La médecine d'Agathe est souvent gratuite,
Car elle soignait les pauvres des alentours,
En contre-partie elle recevait des cadeaux fortuits.
Leurs enfants s'ébattaient dans le sous-bois.
Toute la famille avaient trouvé le bonheur.
Une dizaine d'année plus tard,
Un curé tomba dans le coma au bout du chemin,
Face à la porte de la maison d'Agathe.
Elle le soigna avec ses plantes naturelles.
Monsieur le curé, voulut la payer,
Seulement elle refusa poliment le sachant bon,
Elle lui demande seulement de prier pour elle.
Hélas, trois mois plus tard,
Le drame impromptu s'annonça.
Les loups hurlèrent pour prévenir,
Qu'un danger imminent s'annonçait.
Le curé du village en savait trop
Sur les prélats du Seigneur de la provine
De leur vie dissolue et sans retenue.
Ce curé était un Saint homme,
Il connaissait le coeur de chaque villageois,
Et aussi ceux des pauvres serfs.
Il avait la confiance de tous,
Excepté de certains prélats puissants.
Un jour de rencontre dominicale
Chez le Seigneur leur vassal
Ils camouflèrent le poison dans le vin.
Il se diffusa lentement dans les veines du curé.
Le vin des prélats amenés chez le Seigneur,
Avait un goût fort délicat,
Il trompa ce brave curé.
Le poison coula doucement dans les veines
Ne permettant pas la mort immédiate
Seulement la nuit pendant son sommeil.
C'était ce qu'avait prévu l'un des prélat.
Dans le malheur, avant de rentré chez lui,
Il passa rendre une petite visite à Agathe.
Lorsqu'il atteignit la porte d'Agathe,
Il frappa à la porte et entra en ami.
Agathe, en l'observant ne dit rien,
Lui offrit une potion aux herbes,
Elle le sauva une seconde fois.
Au grand d'âme de ses prélats incestueux.
Dans le village cela fit grand bruit,
La joie des villageois était trop visible.
Le fameux prélat en fut averti.
La peur envahit tous les habitants aux alentours,
Les prélats jaloux du succés d'Agathe la "sorcière",
Firent envoyer les archers du roi.
Ils arrêtèrent celle qu'ils appelaient" la sorcière."
Avec également pour faire trembler les villageois
Le curé, le bûcheron, et...les enfants!
A genoux sur les pierres fumantes,
Agathe fût soumise, au supplice de la question.
La crainte envahissait les victimes,
Il furent accusés d'alliance avec le diable.
Par ce moyen, les prèlats eurent beau jeu,
D'accuser cette famille de pacte avec le démon.
Tous furent condamnés au buchet!
Un immense buchet fut monté par les soldats.
Les habitants de la contrée n'avait pas confiance
Ils pensaient à juste titre que c'était "de la supercherie,"
Les soldat se retrouvait à faire ce "sale travail"
Les trois adultes y montèrent dignement,
Les enfants suivirent à l'exemple des adultes.
Les flammes immense léchèrent les corps.
Tous périr dans les flammes!
Les prélats, pensaient qu'il n'y avait plus de témoin
Le jugement n'ayant pas eu lieu en public.
Il n'y avait eu que les juges avec les accusateurs,
Les bourreaux et les soldats pour témoins.
Ils ne pouvaient imaginer que ce jugement,
Resterait impopulaire dans la mémoire de la région.
Qu'un soldat marié avec une villageoise
S'est confié en larme à son épouse,
C'est devenu la légende secrète de toute la région.
Quel est le jugement de D.ieu dans cette affaire?
Si ces prélats avaient eu un grain de foi,
Agathe n'aurait pas était condamnée comme sorcière.
Ils auraient fait confiance au témoignage du curé.
Ils auraient conclus,
Que les connaissances des plantes permettaient la guérison.
Qu'Agathe n'a fait que sauver des humains et des animaux
Et qu'en plus Monsieur le curé lui apprenait
L'Evangile et les prières de l'Eglise!
Les religieux et la Bible:
Un religieux a la connaissance du Bien et du Mal. Il représente La Trinité au yeux de D. ieu et aux yeux de l'humanité.
Un religieux n'est qu'un homme, s'il se confesse pour des péchès ordinaire à son supérieur confesseur, il sera pardonné comme tous les humains croyant en D. ieu et le servant avec son coeur.
Voir: Luc 11: 14-19 - Marc 3 : 30 et Matthieu 12:32
Par contre pour ce que D. ieu juge dans les péchés ignominieux, c'est un autre domaine (Lévitique 21) ,
Ce qui peut être pardonné sous certaine condition à un simple croyant, qui se repent, ne peut l'être pour un religieux ayant été consacré devant D. ieu à son service.
Ceci est considéré être pécheur contre l'Esprit Saint, et ce péché là, n'aura jamais de rémission.
Péché, ou rejeté sciemment l'Esprit-Saint c'est couper le câble qui relie l'homme à D. ieu. Un religieux Judéo-Chrétien en a pleine connaissance. Pour cette raison, D. ieu ne réparera jamais ce lien, car ils ont péché contre lui en connaissance de cause.
Dans cette petite fable, ces prélats ne peuvent recevoir le pardon ni les honneurs du Père Eternel. Ils ont déjà reçus les honneurs, des dirigeants de leurs pays sur la planète Terre!
Monique Emounah