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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Pape François et l'angélus

Le Pape François rappelle l’importance des Conventions de Genève
Dans une brève allocution prononcée à la suite de la prière de l’Angélus, le Saint-Père a mentionné les Conventions de Genève, adoptées par la communauté internationale le 12 août 1949. L’occasion pour François d’exhorter les États au respect du «droit international humanitaire» et à la protection des civils.
 

Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican

Depuis la fenêtre du Palais apostolique, le Pape François a souligné que ces «importants instruments juridiques internationaux» ratifiés il y a 70 ans «imposent des limites à l’usage de la force et sont voués à la protection des civils et des prisonniers en temps de guerre». Le Saint-Père a souhaité que cet anniversaire puisse «rendre les États toujours plus conscients de la nécessité imprescriptible de protéger la vie et la dignité des victimes de conflits armés». Des États qui doivent par ailleurs respecter «les limites imposées par le droit international humanitaire, en protégeant les populations sans défenses et les structures civiles, en particulier les hôpitaux, écoles, lieux de culte et camps de réfugiés».

Le Pape a enfin demandé de ne pas oublier que «la guerre et le terrorisme sont toujours une grave perte pour l’humanité toute entière», les qualifiant de «grande défaite humaine».

En savoir plus sur les Conventions de Genève

Les quatre Conventions de Genève et leurs Protocoles additionnels, adoptés à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, contiennent les règles essentielles du droit international humanitaire, qui fixe des limites à la barbarie de la guerre. Ces traités protègent les personnes qui ne participent pas ou plus aux hostilités. Elles concernent la protection des malades et blessés des forces armées en campagne (1ère Convention), la protection des malades et blessés et naufragés dans les forces armées sur mer (2e Convention), le traitement des prisonniers de guerre (3e Convention), et la protection des populations civiles (4e Convention). Signées le 12 août 1949, les Conventions de Genève sont entrées en vigueur le 21 octobre 1950. À l’exception d’un article, elles s’appliquent seulement lors d’un conflit armé international. 196 États les ont ratifiées à ce jour, ce qui les rend universellement applicables.

Tous les 4 ans, la conférence internationale de la Croix-Rouge réunit le CICR, les Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Fédération Internationale et l’ensemble des Etats signataires des Conventions de Genève pour faire évoluer le droit international humanitaire et l’aide aux victimes des conflits, des catastrophes naturelles et technologiques.

 

11 août 2019, 12:57
Angélus: la vigilance, ou 3 manières de se préparer à la rencontre avec Dieu
Rassemblés Place Saint-Pierre sous un chaud soleil, les pèlerins ont écouté ce dimanche le commentaire de l’Évangile proposé par le Pape François avant la prière de l’Angélus. Le Saint-Père s’est arrêté sur un thème central de l’extrait du jour, la vigilance, en expliquant ses modalités à la lumière des paroles de Jésus-Christ.
 

Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican

Dans l’Évangile de ce jour (Lc 12, 32-48), Jésus appelle ses disciples à la vigilance – qui permet de «saisir le passage de Dieu dans sa propre vie» -  en recourant à une parabole. «Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées» (v 35), leur demande-t-il. Dans ce verset figurent deux modalités analysées par le Souverain Pontife.

Pèlerin de la foi, dans la confiance

«Votre ceinture autour des reins»: François a d’abord expliqué qu’il s’agit «de ne pas s’enraciner dans des demeures commodes et rassurantes, mais de s’abandonner, d’être ouverts avec simplicité et confiance à la volonté, qui nous guide vers le but suivant». Le croyant est en cela semblable au pèlerin, qui «se dirige vers des étapes toujours nouvelles, que le Seigneur lui-même indique jour après jour». Comme un guide, a assuré le Saint-Père, Dieu «marche toujours avec nous et si souvent nous accompagne […] pour que nous ne nous trompions pas sur ce chemin si difficile».

Porter la lumière à son prochain

Les «lampes allumées» permettent «d’éclaircir l’obscurité de la nuit». Il faut y voir une référence à la foi. «La lampe de la foi demande d’être alimentée continuellement, par la rencontre cœur à cœur avec Jésus dans la prière et l’écoute de sa Parole», a rappelé le Pape, avant de redire l’importance d’avoir «toujours un petit Évangile dans sa poche, dans son sac, pour le lire». Mais ce n’est pas une raison pour «se retirer de manière intimiste dans la certitude de son propre salut, en se désintéressant des autres». Non, la lampe de la foi «nous est confiée pour le bien de tous». La foi authentique «ouvre le cœur au prochain et pousse vers une communion concrète avec ses frères», a insisté François.

Maintenir son regard vers l’horizon du ciel

Un troisième aspect est évoqué par Jésus un peu plus loin dans cette parabole des serviteurs attendant que leur maître revienne des noces. Le Seigneur déclare: «Heureux ces serviteurs-là que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller» (v 37). Cette invitation à être «prêts pour la rencontre ultime et définitive avec le Seigneur» nous rappelle que «la vie est un chemin vers l’éternité», a souligné le Saint-Père. Ainsi orientée, notre passage terrestre implique de faire «fructifier tous nos talents». «Chaque instant devient précieux», et nous devons «vivre et agir sur cette terre en ayant dans le cœur la nostalgie du ciel», a poursuivi le Pape. Un cœur nostalgie qui n’empêche pas d’avoir «les pieds sur terre», dans tous les domaines de la vie.

Une joie éternelle, stimulante promesse

François a enfin évoqué la promesse contenue dans l’Évangile, cette «joie suprême». Jésus nous en donne un avant-goût lorsqu’il dit «c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir» (v 37)… «La situation se renversera, ce ne seront plus les serviteurs, c’est-à-dire nous, qui servirons Dieu, mais Dieu lui-même se mettra à notre service», a précisé le Pape. Jésus le fait dès maintenant, a-t-il toutefois ajouté, puisqu’Il «nous regarde et prie le Père pour nous». Ainsi, «la pensée de la rencontre finale avec le Père, riche en miséricorde, nous remplit d’espérance et nous stimule dans l’engagement constant pour notre sanctification et pour construire un monde plus juste et fraternel», a conclu François.

 

11 août 2019, 12:47
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