Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
4 Septembre 2019
Les laudes du mercredi 4 septembre 2019
Les laudes en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Accédez aux retransmissions en direct depuis la page : http://tv.fmnd.org .
Terre entière, acclame Dieu, chante le Seigneur.
1 Venez, crions de joie pour le Seigneur,
acclamons notre Rocher, notre salut !
2 Allons jusqu'à lui en rendant grâce,
par nos hymnes de fête acclamons-le !
3 Oui, le grand Dieu, c'est le Seigneur,
le grand roi au-dessus de tous les dieux :
4 il tient en main les profondeurs de la terre,
et les sommets des montagnes sont à lui ;
5 à lui la mer, c'est lui qui l'a faite,
et les terres, car ses mains les ont pétries.
6 Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous,
adorons le Seigneur qui nous a faits.
7 Oui, il est notre Dieu ; +
nous sommes le peuple qu'il conduit,
le troupeau guidé par sa main.
Aujourd'hui écouterez-vous sa parole ? +
8 « Ne fermez pas votre cœur comme au désert,
comme au jour de tentation et de défi,
9 où vos pères m'ont tenté et provoqué,
et pourtant ils avaient vu mon exploit.
10 « Quarante ans leur génération m'a déçu, +
et j'ai dit : Ce peuple a le cœur égaré,
il n'a pas connu mes chemins.
11 Dans ma colère, j'en ai fait le serment :
Jamais ils n'entreront dans mon repos. »
Dieu, la sainteté est ton chemin ! Quel Dieu est grand comme toi ?
2 Vers Dieu, je crie mon appel !
Je crie vers Dieu : qu’il m’entende !
3 Au jour de la détresse, je cherche le Seigneur ; +
la nuit, je tends les mains sans relâche,
mon âme refuse le réconfort.
4 Je me souviens de Dieu, je me plains ;
je médite et mon esprit défaille.
5 Tu refuses à mes yeux le sommeil ;
je me trouble, incapable de parler.
6 Je pense aux jours d’autrefois,
aux années de jadis ;
7 la nuit, je me souviens de mon chant,
je médite en mon cœur, et mon esprit s’interroge.
8 Le Seigneur ne fera-t-il que rejeter,
ne sera-t-il jamais plus favorable ?
9 Son amour a-t-il donc disparu ?
S’est-elle éteinte, d’âge en âge, la parole ?
10 Dieu oublierait-il d’avoir pitié,
dans sa colère a-t-il fermé ses entrailles ?
11 J’ai dit : « Une chose me fait mal,
la droite du Très-Haut a changé. »
12 Je me souviens des exploits du Seigneur,
je rappelle ta merveille de jadis ;
13 je me redis tous tes hauts faits,
sur tes exploits je médite.
14 Dieu, la sainteté est ton chemin !
Quel Dieu est grand comme Dieu ?
15 Tu es le Dieu qui accomplis la merveille,
qui fais connaître chez les peuples ta force :
16 tu rachetas ton peuple avec puissance,
les descendants de Jacob et de Joseph.
17 Les eaux, en te voyant, Seigneur, +
les eaux, en te voyant, tremblèrent,
l’abîme lui-même a frémi.
18 Les nuages déversèrent leurs eaux, +
les nuées donnèrent de la voix,
la foudre frappait de toute part.
19 Au roulement de ta voix qui tonnait, +
tes éclairs illuminèrent le monde,
la terre s’agita et frémit.
20 Par la mer passait ton chemin, +
tes sentiers, par les eaux profondes ;
et nul n’en connaît la trace.
21 Tu as conduit comme un troupeau ton peuple
par la main de Moïse et d’Aaron.
Béni soit Dieu qui rabaisse les puissants et relève le faible !
1 Mon cœur exulte à cause du Seigneur ;
mon front s'est relevé grâce à mon Dieu !
Face à mes ennemis, s'ouvre ma bouche :
oui, je me réjouis de ta victoire !
2 Il n'est pas de Saint pareil au Seigneur. +
– Pas d'autre Dieu que toi ! – *
Pas de Rocher pareil à notre Dieu !
3 Assez de paroles hautaines,
pas d'insolence à la bouche
Le Seigneur est le Dieu qui sait,
qui pèse nos actes.
4 L'arc des forts sera brisé,
mais le faible se revêt de vigueur.
5 Les plus comblés s'embauchent pour du pain,
et les affamés se reposent.
Quand la stérile enfante sept fois,
la femme aux fils nombreux dépérit.
6 Le Seigneur fait mourir et vivre ;
il fait descendre à l'abîme et en ramène.
7 Le Seigneur rend pauvre et riche ;
il abaisse et il élève.
8 De la poussière il relève le faible,
il retire le pauvre de la cendre
pour qu'il siège parmi les princes
et reçoive un trône de gloire.
Au Seigneur, les colonnes de la terre :
sur elles, il a posé le monde !
9 Il veille sur les pas de ses fidèles,
et les méchants périront dans les ténèbres.
La force ne rend pas l'homme vainqueur :
10 les adversaires du Seigneur seront brisés.
Le Très-Haut tonnera dans les cieux ;
le Seigneur jugera la terre entière.
Il donnera la puissance à son roi,
il relèvera le front de son messie.
Tu es, Seigneur, le Très-Haut sur toute la terre !
1 Le Seigneur est roi ! Exulte la terre !
Joie pour les îles sans nombre !
2 Ténèbre et nuée l'entourent,
justice et droit sont l'appui de son trône.
3 Devant lui s'avance un feu
qui consume alentour ses ennemis.
4 Quand ses éclairs illuminèrent le monde,
la terre le vit et s'affola ;
5 les montagnes fondaient comme cire devant le Seigneur,
devant le Maître de toute la terre.
6 Les cieux ont proclamé sa justice,
et tous les peuples ont vu sa gloire.
7 Honte aux serviteurs d'idoles qui se vantent de vanités !
À genoux devant lui, tous les dieux !
8 Pour Sion qui entend, grande joie ! *
Les villes de Juda exultent
devant tes jugements, Seigneur !
9 Tu es, Seigneur, le Très-Haut
sur toute la terre : *
tu domines de haut tous les dieux.
10 Haïssez le mal, vous qui aimez le Seigneur, +
car il garde la vie de ses fidèles *
et les arrache aux mains des impies.
11 Une lumière est semée pour le juste,
et pour le cœur simple, une joie.
12 Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes ;
rendez grâce en rappelant son nom très saint
R/ Je peux tout en celui qui me fortifie,
V/ Dans l’angoisse, dans les épreuves. R/
V/ Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort. R/
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit. R/
Servons le Seigneur dans la justice et la sainteté véritables.
68 Béni soit le Seigneur, le Dieu d'Israël,
qui visite et rachète son peuple.
69 Il a fait surgir la force qui nous sauve
dans la maison de David, son serviteur,
70 comme il l'avait dit par la bouche des saints,
par ses prophètes, depuis les temps anciens :
71 salut qui nous arrache à l'ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
72 amour qu'il montre envers nos pères,
mémoire de son alliance sainte,
73 serment juré à notre père Abraham
de nous rendre sans crainte,
74 afin que, délivrés de la main des ennemis, +
75 nous le servions dans la justice et la sainteté,
en sa présence, tout au long de nos jours.
76 Et toi, petit enfant, tu seras appelé
prophète du Très-Haut : *
tu marcheras devant, à la face du Seigneur,
et tu prépareras ses chemins
77 pour donner à son peuple de connaître le salut
par la rémission de ses péchés,
78 grâce à la tendresse, à l'amour de notre Dieu,
quand nous visite l'astre d'en haut,
79 pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres
et l'ombre de la mort, *
pour conduire nos pas
au chemin de la paix.
Dans la paix de l’Esprit Saint, prions le Seigneur Dieu :
Kyrie eleison.
Pour que l’Église grandisse
et que les chrétiens demeurent dans l’unité,
Pour la famille de Dieu,
ici rassemblée au nom du Christ,
Pour le peuple chrétien et pour ses pasteurs,
le pape, les évêques et les prêtres,
Pour que le travail de ce jour nous rapproche de Dieu
et nous procure le pain quotidien,
Pour nos frères qui souffrent
dans leur âme ou dans leur corps.
Tu as voulu, Seigneur, que la puissance de l’Évangile travaille le monde à la manière d’un ferment ; veille sur tous ceux qui ont à répondre à leur vocation chrétienne au milieu des occupations de ce monde : qu’ils cherchent toujours l’Esprit du Christ, pour qu’en accomplissant leurs tâches d’hommes, ils travaillent à l’avènement de ton Règne.
La messe du mercredi 4 septembre 2019
La messe en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Accédez aux retransmissions en direct depuis la page : http://tv.fmnd.org .
Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Colossiens
Paul, apôtre du Christ Jésus
par la volonté de Dieu,
et Timothée notre frère,
aux frères sanctifiés par la foi dans le Christ
qui habitent Colosses.
À vous, la grâce et la paix
de la part de Dieu notre Père.
Nous rendons grâce à Dieu,
le Père de notre Seigneur Jésus Christ,
en priant pour vous à tout moment.
Nous avons entendu parler de votre foi dans le Christ Jésus
et de l’amour que vous avez pour tous les fidèles
dans l’espérance de ce qui vous est réservé au ciel ;
vous en avez déjà reçu l’annonce par la parole de vérité,
l’Évangile qui est parvenu jusqu’à vous.
Lui qui porte du fruit et progresse dans le monde entier,
il fait de même chez vous,
depuis le jour où vous avez reçu
l’annonce et la pleine connaissance de la grâce de Dieu dans la vérité.
Cet enseignement vous a été donné par Épaphras,
notre cher compagnon de service,
qui est pour vous un ministre du Christ digne de foi ;
il nous a fait savoir de quel amour l’Esprit vous anime.
– Parole du Seigneur.
R/ Je compte sur la fidélité de mon Dieu,
sans fin, à jamais ! (Ps 51, 10b)
Pour moi, comme un bel olivier
dans la maison de Dieu,
je compte sur la fidélité de mon Dieu,
sans fin, à jamais !
Sans fin, je veux te rendre grâce,
car tu as agi.
J’espère en ton nom devant ceux qui t’aiment :
oui, il est bon !
Alléluia. Alléluia.
Le Seigneur m’a envoyé
porter la Bonne Nouvelle aux pauvres,
annoncer aux captifs leur libération.
Alléluia. (Lc 4, 18cd)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
Jésus quitta la synagogue de Capharnaüm
et entra dans la maison de Simon.
Or, la belle-mère de Simon
était oppressée par une forte fièvre,
et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle.
Il se pencha sur elle,
menaça la fièvre, et la fièvre la quitta.
À l’instant même, la femme se leva
et elle les servait.
Au coucher du soleil,
tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités
les lui amenèrent.
Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux,
les guérissait.
Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant :
« C’est toi le Fils de Dieu ! »
Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler
parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.
Quand il fit jour, Jésus sortit
et s’en alla dans un endroit désert.
Les foules le cherchaient ;
elles arrivèrent jusqu’à lui,
et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter.
Mais il leur dit :
« Aux autres villes aussi,
il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu,
car c’est pour cela que j’ai été envoyé. »
Et il proclamait l’Évangile
dans les synagogues du pays des Juifs.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Guérison de la belle-mère de Pierre
“Et Jésus lui toucha la main et la fièvre la quitta…” Ses gestes, ses mains, son regard, toute sa personne trahissent son amitié devant cette femme malade. Sa puissance est au service de sa bonté. “Il commanda à la fièvre, qui la quitta; et s’étant levée aussitôt, elle les servait.”
Méditation de l’Evangile du mercredi 4 septembre
Une courte méditation sur les attitudes de Jésus, face à un malade qu’il rencontre, au hasard de ses courses.
Dans l’incident de la guérison de la belle-mère de Pierre, les trois évangélistes ont noté, chacun à leur manière, les gestes qui trahissent cette divine et impatiente bonté devant la maladie et le malheur.
“Or la belle-mère de Simon était au lit avec de la fièvre. Sans plus attendre on parle à Jésus de la malade.”
On connaît sa bonté et on lui parle de la malade. Matthieu, lui, souligne que cette maladie ne lui avait pas échappé car il savait voir. Son regard n’est jamais indifférent devant la maladie. Il voit et ses gestes trahissent le désarroi de son cœur. Il a vu la belle-mère de Pierre, couchée, il a vu son abattement et sa fièvre brûlante.
“Jésus étant venu dans la maison de Pierre, vit sa belle-mère couchée et avec de la fièvre.”
Le malheur des autres ne le laisse donc pas indifférent, et chacun des évangélistes traduit à sa manière cette amicale attention :
“Et se penchant au-dessus d’elle…”
(Lc)
“Et s’approchant Il la fit lever, en lui prenant la main…”
(Mc)
“Et Il lui toucha la main et la fièvre la quitta…”
(Mt)
Ses gestes, ses mains, son regard, toute sa personne trahissent son amitié devant cette femme malade. Sa puissance est au service de sa bonté.
“Il commanda à la fièvre, qui la quitta; et s’étant levée aussitôt, elle les servait.”
Il n’y a pas que les paroles qui guérissent.
Père Gabriel