Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
14 Septembre 2019
Huffpost:
À quoi va ressembler le premier centre de formation contre le harcèlement scolaire
2O Minutes:
La tempête Humberto arrive aux Bahamas, déjà dévastées par Dorian
Le métro ouvert la nuit à Paris, une expérimentation à « 600.000 euros » par week-end
HARCÈLEMENT SCOLAIRE - Ancienne victime de harcèlement scolaire, Hugo Martinez compte bien faire tout ce qui est en son pouvoir pour que le moins d’élèves subissent ce qu’il a vécu. Après avoir lancé une association pour venir en aide aux victimes, “L’association HUGO!”, le jeune homme va annoncer jeudi 12 septembre l’ouverture du premier Centre de Formation Français du Harcèlement Scolaire (CFHS).
L’idée derrière le lancement de ce centre est simple: “outiller toutes les personnes qui entourent les victimes de harcèlement scolaire pour qu’elles puissent agir au mieux à leurs côtés”, souligne Hugo Martinez, contacté par Le HuffPost.
Alors que l’Unesco estime que plus d’un jeune sur trois est victime de harcèlement scolaire, Hugo Martinez est convaincu que ce “phénomène social” se traite par l’inclusion et la mobilisation de tous les professionnels entourant les élèves.
Ce centre va s’adresser à plusieurs types de professionnels. Les premiers pouvant s’y inscrire étant les professionnels de la santé; médecins, psychologues, infirmiers, etc. Toutes les modalités de ce cycle à leur destination sont d’ailleurs d’ores-et-déjà accessibles sur le site du centre de formation.
CATASTROPHE NATURELLE Selon le Centre national des ouragans (NHC) américain, Humberto se transformera probablement en ouragan « d’ici deux ou trois jours »

Une tempête tropicale, baptisée Humberto, s’approche du nord de l’archipel des Bahamas déjà dévasté début septembre par l’ouragan Dorian. Selon le Centre national des ouragans (NHC) américain, Humberto se trouve ce samedi à 3 heures à l’est de l’île d’Abaco et se déplace lentement vers le nord-ouest. Un avis de tempête a été émis pour tout le nord-ouest des Bahamas, dont l’île de New Providence qui abrite la capitale Nassau, ainsi que les îles d’Abaco et de Grand Bahama déjà ravagées par Dorian.
Selon le NHC, Humberto se transformera probablement en ouragan « d’ici deux ou trois jours ». Il remontera ce week-end et en début de semaine prochaine vers le nord, en longeant la côte est de l’Etat américain de Floride. Le chef des services météorologiques des Bahamas, Trevor Basden, a évoqué des vents de 100 km/h et de fortes pluies, entre 5 et 15 cm d’eau, qui pourraient provoquer des inondations sur des sols déjà saturés après le passage de Dorian il y a une dizaine de jours.
La tempête pourrait également affecter la distribution de l’aide humanitaire à Abaco et Grand Bahama, où les dégâts sont énormes. Les aéroports de ces deux îles ont rouvert mais les vols commerciaux y sont limités.« Le mauvais temps va ralentir les opérations logistiques » alors qu’Abaco a « grand besoin d’essence et d’eau », a prévenu le porte-parole de l’Agence bahaméenne des situations d’urgence (Nema), Carl Smith.
Le Programme alimentaire mondial, qui participe à l’effort international, a suspendu ses vols vers Marsh Harbour, la ville principale d’Abaco, à cause de la tempête, a indiqué un porte-parole du PAM, Herve Verhoosel.
TRANSPORT Les commerces et établissements de nuits le demandaient depuis des années, Valérie Pécresse veut essayer de l’exaucer. Ce samedi 14 septembre, la région Ile-de-France va inaugurer l’ouverture des transports la nuit, une fois par mois jusqu’en mars 2020

A l’instar de New-York, Londres ou Barcelone, Paris se met au métro de nuit. Ce mardi, Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France, a présenté le projet intitulé « Nuits festives ». Annoncée en avril dernier, l’expérimentation qui débute ce samedi prévoit l’ouverture de six lignes de métro, trois lignes de tram et le renfort des lignes de Noctilien dans la capitale durant toute la nuit, une fois par mois de septembre à mars 2020.
A la demande des commerces et établissements touristiques, la présidente de la région a répondu par la positive dans le but de « redynamiser une capitale saccagée par les événements récents, et faire revenir les Franciliens à Paris la nuit », référence à peine voilée aux manifestations des « gilets jaunes ». Six dates ont été retenues pour le grand test, elles viennent s’ajouter à la Saint-Sylvestre et à la Fête de la musique qui bénéficient déjà de ce dispositif.
« Plus besoin de regarder sa montre de peur de rater le dernier métro », la communication diffusée sur Internet, dans les transports et commerces depuis le 10 septembre est claire, la région veut allonger les nuits parisiennes. Valérie Pécresse a insisté sur le côté expérimental de l’opération, qui doit trouver son public, un fonctionnement pérenne et faire face à des contraintes plus ou moins importantes.
Les six lignes de métro choisies – 1, 2, 5, 6, 9 et 14 – et les trams T2, T3a et T3b doivent permettre de quadriller la majeure partie de la capitale. La ligne 4, particulièrement empruntée par les Parisiens et traversant la ville du nord au sud ne fait pas partie du dispositif en raison de travaux. Les métros assureront un service continu avec une fréquence d’un train toutes les dix minutes sur une cinquantaine de stations. Les trams se succéderont toutes les vingt minutes.
Les lignes de Noctilien seront également renforcées, les N01 et N02 qui sillonnent les rocades parisiennes circuleront à un intervalle de cinq minutes, les N43, N44 et N45 auront un intervalle de 15 minutes, comme la ligne N42 rejoint le Bourget. Enfin toutes les lignes de la grande couronne verront leur fréquence augmenter à un bus toutes les 30 minutes au lieu de 60 en temps normal.
Le choix des stations desservies n’est pas anodin puisqu’il est dû à un compromis entre les connexions et la sécurité exigée. Les petites gares sont donc privilégiées, comme Oberkampf au lieu de République ou Vavin à la place de la gare Montparnasse « pour donner un sentiment de sécurité, plus facile dans une petite station que dans un gros hub ».
D’ailleurs, 50 des 700 agents mobilisés par la RATP pour les « Nuits festives » seront chargés d’assurer la sécurité en station. Les personnels sont choisis dans un premier temps sur la base du volontariat. La présidente de la région a tenu à insister sur le coût de l’opération, « 600.000 euros par nuit », qui est important mais pas rédhibitoire « s’il répond à une demande ».
Si les nuits d’ouvertures venaient à trouver le succès, la RATP précise que sa charte interne prévoit 18 mois de négociations pour mettre en place une offre généralisée qui devrait dépasser le cadre du volontariat et impliquerait des embauches en horaires décalées. Une réorganisation complète devrait être mise sur pied pour pouvoir continuer les 400 travaux de rénovation et d’entretien effectués toutes les nuits. Par ailleurs, des enquêtes réalisées auprès des riverains font craindre de possibles nuisances sonores pour ceux qui vivent à proximité de trams ou de métros aériens. Le dispositif qui démarre ce samedi a six mois pour convaincre la région, la RATP, les commerces et surtout les Parisiens.