Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
Quand les ballons s’envolent
Petit texte pour rire et aider à commencer la semaine dans la bonne humeur malgré nos soucis
Donnez-moi un ballon de Vouvray
Avant que je monte dans ce foutu ballon.
Dans l’atmosphère j’envoie le ballon du départ.
Dans mes manches ballon l’air s’y engouffre
Je vais faire un ballon d’essai dans le paysage
Et découvrir le ballon d’emprunt des créditeurs.
Dans l’hémicycle quelques-uns tirent des ballons en ronflant
Les médias s’en font les choux-gras les déposent dans leurs ballons
Quant aux politicards ils s’envoient des ballons d’injures mensonger.
Le ballon d’envoie tente les joueurs
Que ce soit pour le ballon ovale d’essai
Ou ce ballon rond du foot qui marque.
La bulle s’envole en ballon libertaire
Les gamins eux s’envoient le ballon
Pour ne pas emménager au ballon.
Aux paniers le ballon marque les points
À la fête les ballons sont multicolores.
Dans la joie les ballons s’envolent et éclatent.
L’eau chaude coule du ballon de la chaudière
Les scientifiques sondent leur ballon-sonde
Dans les bois nous respirons un ballon d’oxygène.
Enfin de compte les ballons quel qu’ils soient s’envole
Le ballon de Vouvray les prix s’envolent
Comme tous les ballons s’envolent dans la folie humaine.
12 février 2018
Alumacom
Rêve doux et fabuleux
Allongée sur le sable
Les yeux mi-clos
La licorne s’envole
La fleur de jasmin aux oreilles
Hennissant joyeusement.
Les oiseaux s’envolent
Formant une farandole
À l’image du firmament
C’est la nuit des illuminations
Innombrables étoiles s’égarent.
Elles peuplent le ciel
Tels les divins anges
Se baignant dans la fontaine
L’eau rieuse qu’elle en miroite
Sa volupté heureuse découvre l’inconnu.
Je suis bercée tendrement
Les nuages blancs naviguent
Sous ce vent léger souffle doucement
Un imaginaire constructif dans l’affection
De ce voir aux côtés de cette splendeur.
Cette aquarelle venue…
Du fond de mes songes
M’émerveille, je voudrais la garder
Cette image m’unit loin du monde
Me laissant dans un monde de paix
Ce rêve n’est qu’un souvenir
Malheureusement éphémère
Un soupir de bien-être m’échappe
Puisque la réalité est tout autre
Le réveil est une véritable douche froide
J’entrouvre mes yeux en hésitant
Ce monde magique silencieux
M’inspire la tendresse de Notre Mère
Je me blottis comme un enfant enroulé
La couverture est la douceur maternelle.
Monique Macalou
13 février 2018
Rêves fantastiques
Sève miraculeuse qui s'abreuve d’espoir.
Du fond de ma souffrance et du désespoir.
Naît ce bonheur guérisseur de cette nuit noire.
Elle ondoie la fleur de rêve la cajoleuse,
Elle tournoie comme la pie voleuse,
De sa volonté enivrante et mystérieuse.
Mon âme roule sur ce doux délice.
Elle s’enrobe d’une tendre malice,
De cette délicieuse fontaine où glisse
Tous ces rêves qui la tapissent.
L’aurore enflamme le ciel
Demain sera fait de miel
Car il n’y a pas son pareil
Dans ce rêve des merveilles.
Tombe, tombe la pluie,
Où souvenir se mêle dans le temps.
Se cachant sous le parapluie
Il eut pu sembler être celui-ci
Des souvenirs mourant d’ennui.
Bien qu’il ne fasse pas nuit,
La belle de nuit s'épanouit
Ainsi va la vie de l’inouïe.
Cette pensée m'amène
Ah ce printemps sans gêne
Me promène dans cet été à Jérusalem
Il a ce feu d’automne pour diadème
L’hiver sous la neige son emblème.
Je rêve, oui je rêve d’une crème
Celle de la crête de Thélème
Que je savoure sans problème.
Les nymphes jouent avec le jour.
Pour que ce soit plus court
La fleur du ciel parcourt
La destinée sans discours.
La nuit je flirte avec la lune
Le nez en l’air humant la brume.
Le maréchal ferrant frappe l’enclume.
Le pêcheur enlève l’écume.
Les étoiles filent et fument
Les souvenirs s’exhument.
C’est de cet amour que je hume
La galaxie des poètes rêvant aux nues
Je l'arpente sans retenue
Pour voir son contenu
Sans y être vue.
Dans ce songe la sève de deux corps
Prends un tournant brûlant d’effort
Où ils y trouvent le réconfort,
Dans cet immense Océan d'or.
Quand je m'abandonne au soleil,
Sur la plage des merveilles
Les yeux fermés s’émerveillent.
Puis à l'aube enfin je m'éveille
Le feu des caresses s’enraye
Les songes sombrent vers le sommeil
Ils disparaissent au réveil.
Au cœur de vagues rêveuses imprégnées
Du guide de cette destinée ensoleillée,
De cet amour unissant l’effeuillé
Au divin plaisir de l’estampillé
Du large infini du fruit de la veillée.
Souvenirs des nuits de l’atelier
Où il en a été l’élu, le domicilié.
Pour ce moment estampillé
D’un court instant chevalier
Copyright" © Monique Isope Macalou 2011
-Tous droits réservés pour tous pays
« Pourquoi ne veux tu pas me répondre ? »
Que l’ombre passe sur nos tombes
La voix vient d’outre-tombe
La pluie vient en trombe
En glissant sous l’ombre
Son esprit s’efface et sombre.
L’ami à genoux devant la tombe
Attends la voix des catacombes.
Celle qu’il attend dans l’ombre
Au pied de la stèle d’Osmonde
Son âme nage comme le strombe.
« Pourquoi ne veux-tu pas me répondre ? »
Des feuillages frémissent pour confondre.
Dans l’air glacial de la nuit.
L’Antéchrist est là, à minuit
Prônant le message qui désunit
À l’apparence d’une belle de nuit
Émergeant de la crypte de l’ennui.
Le chant nuptial de l’Apocalypse
Pointe son doigt sur l’ellipse
L’ombre fluorescente s’éclipse
Les disciples sans cynisme
Agitent le drapeau du dogmatisme.
La nuit quitte cet inconnu
Le jour enfin est revenu
La vérité en est le menu
La lumière des nues est venue
Le soleil éclaire en continu.
Monique Macalou
Les temps de la vie
Tome 2
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