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12 Octobre 2019
Deux enfants et leurs grands-parents ont été tués à cause de leur foi en Ouganda.
Ali Nakabale est le père de Yakubu et Afsa. Il pleure la mort de ses enfants et de ses parents. Ils ont péri dans l’incendie criminel de leur maison, à Nakaseke en Ouganda. La femme d’Ali et d’autres musulmans n’avaient pas supporté leur conversion au christianisme. Au milieu de la nuit, ils ont mis le feu à la maison où dormaient les enfants et leurs grands-parents.
Ali, 36 ans, et sa mère Nankya Hamidah, 56 ans, étaient devenus chrétiens lors d’une réunion d’évangélisation en plein-air. Ils ont alors commencé à se rendre à l’église. Un jour, le petit Yakubu a voulu raconter la réunion à sa mère. Elle est alors entrée dans une grande colère et a battu son fils. Puis elle a quitté la maison familiale. Ali raconte qu’ensuite, plus aucun musulman n’est venu lui rendre visite.
Le père était chez sa tante quand le drame a eu lieu. Il témoigne à Morning Star News.
« En arrivant chez moi, j’ai trouvé la maison détruite par un incendie qui a brûlé les quatre membres de ma famille, y compris mes deux enfants. En arrivant à la morgue, j’ai trouvé leurs corps brûlés. On ne pouvait plus les reconnaître. »
C’est un voisin qui a raconté les faits, qui se sont déroulés le 20 août à 1 heure du matin, à proximité de la capitale Kampala.
« Nous avons vu le feu sortir de la maison de Hamidah avec des chants de musulmans disant : ‘Allah Akbar’. En arrivant sur les lieux de l’incident, nous avons constaté que la maison avait été rasée, tuant les quatre membres de la famille. »
Une source qui a souhaité rester anonyme explique qu’Ali Nakabale, désormais gardé dans un lieu secret, est « déprimé » et craint pour sa vie.
« Nakabale est déprimé et interroge Dieu sur la mort brutale de ses deux petits enfants. Il a besoin de conseils et de prières en ce moment difficile. »
La liberté religieuse est pourtant garantie par la Constitution ougandaise, qui stipule également qu’il n’y a pas de religion d’État. Les chrétiens y sont majoritaires, les musulmans représentent 13,7% de la population.
M.C.
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L’Église Protestante d’Algérie a rédigé un communiqué pour « informer l’opinion publique », de permettre la « levée des scellés sur ses lieux de culte », de faire arrêter les « intimidations contre ses communautés et ses membres » et demander l’abrogation de la « la loi liberticide de 2006 ».
ÀBejaia, de nombreux responsables d’églises se sont réunis. Chacun d’entre eux affiche le nom et la localisation de leur église. Sous les banderoles et les chants, ils souhaitent interpeller l’opinion publique : certains lieux de cultes restent fermés par les autorités. Ils réclament donc simplement la réouverture de leurs églises, comme la Constitution algérienne l’autorise.
L’Église Protestante d’Algérie a publié hier un communiqué, afin d’ « informer l’opinion publique », de permettre la « levée des scellés sur ses lieux de culte », de faire arrêter les « intimidations contre ses communautés et ses membres » et demander l’abrogation de la « la loi liberticide de 2006 ». Nous vous le partageons dans son intégralité.
« L’Église Protestante d’Algérie (EPA) tient à informer l’opinion publique que cinq lieux de culte appartenant à ses églises dûment affiliées, dans la wilaya de Bejaia, demeurent malheureusement fermés, malgré ses appels incessants à la levée de scellés qui y ont été apposés.
Ces lieux de culte, qui se trouvent respectivement à Aït Melikèche (Tazmalt), Akbou, Ighram, Riquet et Ighzer Amokrane, ont été arbitrairement fermés par les autorités locales depuis plus d’une année, pour certains d’entre eux, empêchant ainsi des centaines de fidèles de rendre librement leur culte à Dieu, et ce, au mépris évident de la Constitution algérienne et des Droits de l’Homme.
Par ailleurs, l’EPA informe l’opinion publique qu’elle a épuisé toutes les voies administratives pour faire valoir ses droits, mais en vain. Les portes du dialogue lui ont été, malheureusement, fermées par les autorités. l’EPA déplore particulièrement le refus incompréhensible et injustifié du wali de Bejaia de lui accorder une audience pour évoquer la question de la fermeture de ses lieux de culte. Une demande qu’elle a formulée en novembre 2018 via un courrier officiel, appuyé par le P/APW de Bejaia et un sénateur de la région.
Ce refus a mis l’EPA devant le fait accompli, d’où sa décision de recourir à ce sit-il pour se faire entendre des pouvoirs publics et réitérer son appel à la réouverture de ses lieux de culte.
À travers cette action pacifique, l’EPA exige la levée des scellés sur ses lieux de culte, l’arrêt des intimidations contre ses communautés et ses membres, l’abrogation de la loi liberticide de 2006, qui ne constitue, ni plus ni moins, qu’un outil de persécution entre les mains des autorités, dirigé contre les chrétiens algériens. »
Prions pour nos frères et soeurs persécutés en Algérie.
M.C.
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