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Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux : Carine et aux très Saintes âmes du 7 novembre

Jeudi 7 novembre 2019

Saints, Saintes et Fêtes du Jour
Bonne Fête aux : Carine et aux très Saintes âmes du 7 novembreBonne Fête aux : Carine et aux très Saintes âmes du 7 novembre
Bonne Fête aux : Carine et aux très Saintes âmes du 7 novembre

Saints Karine, Mélassippe et Antoine

Martyrs à Ankara (IVe siècle)

Karine, Mélassippe et Antoine, D.R.Sainte Karine et saint Mélassippe son époux, ainsi que saint Antoine leur fils.
Les deux époux subirent le martyre durant la persécution de l'empereur Julien l'Apostat, mutilés et attachés encore vivants au pilori devant leur fils qui ne renia pas Jésus-Christ malgré le spectacle de la souffrance de ses parents.
Antoine mourut décapité à son tour.

 

 

Saint Willibrord

Evêque d'Utrecht (✝ 739)

Originaire de l'Est de l'Angleterre, il fut confié par sa famille au monastère de Ripon dirigé alors par saint Wilfrid d'York. A vingt ans, il gagne en Irlande le monastère de 'l'île des saints'. En 690, on l'envoie évangéliser la Frise avec onze moines anglo-saxons. Il acquiert l'amitié du père de l'empereur Charlemagne, Pépin le Bref qu'il convertit et qui, à partir de ce jour, le soutiendra sans faillir. Fidèle à l'obéissance de l'Eglise, Willibrord se rend à Rome demander au Pape Serge 1er un mandat officiel pour prêcher l'Evangile.Saint Willibrord, miniature du Maître du Registrum Gregorii
Nommé évêque d'Utrecht, il fonde l'abbaye d'Echternach au Luxembourg et c'est à partir de là qu'il accomplit des missions en Frise et au Danemark. Il revient à Echternach où il est enterré et vénéré par un pèlerinage dont la danse et la procession sont célèbres depuis le XIVe siècle et encore de nos jours.
A lire aussi: Biographie de Saint Willibrord sur le site de 'L’œuvre Saint-Willibrord' au Luxembourg.
Illustration: miniature du Maître du Registrum Gregorii.
Né en Angleterre, ordonné par le pape saint Serge Ier évêque d'Utrecht, il annonça l'Évangile en Frise et en Danie, fonda des sièges épiscopaux et des monastères et, accablé de travaux et usé par l'âge, il s'endormit dans le Seigneur dans le monastère qu'il avait fondé.

Martyrologe romain

Patron:
Luxembourg
Pays Bas
Saint Willibrord

Évêque
(658-738)

Saint Willibrord
Saint Willibrord

Saint Willibrord fut annoncé à sa pieuse mère par une éclatante lumière qui lui apparut en songe. Dès sa plus tendre enfance il fut placé, pour son éducation, dans un monastère de l'Angleterre, son pays. Après de brillantes études, ordonné prêtre à trente-trois ans, il sentit le feu du zèle dévorer son âme et résolut de porter l'Évangile aux barbares du Nord. Il s'embarqua donc avec douze compagnons et aborda sur les rivages du Rhin, au pays des Frisons. La conversion de ces peuples farouches, commandés par des chefs cruels, présentait des difficultés incroyables; aussi le zèle de l'ardent missionnaire ne fut-il ni toujours ni partout couronné de succès. Plusieurs fois, Willibrord s'exposa au martyre en combattant de front les superstitions des pays où il passait; mais son heure n'était pas venue; Dieu le destinait à de plus longs travaux.

Il reçut la consécration épiscopale des mains du Pape Sergius Ier, et revint travailler avec une nouvelle ardeur à la conquête des âmes. Poussant ses missions plus avant vers le nord, il eut le bonheur de gagner à Jésus-Christ la plus grande partie des contrées connues depuis sous le nom de Zélande et de Hollande. Le don des miracles ne contribua pas peu à ses succès. Dans une course apostolique, le saint évêque et ses compagnons entrèrent, harassés de fatigue, dans la maison d'un habitant du pays, qui fut très honoré de les recevoir, mais n'avait pas une goutte de vin à leur offrir. Les missionnaires en avaient un peu: leur chef le bénit, et quarante personnes purent satisfaire leur soif.

Une autre fois un païen, lui voyant traverser sa propriété, lui adressa des injures; le lendemain, il fut frappé d'une manière foudroyante par la main de Dieu. Tout pauvre qu'il était, le Saint donnait toujours. Douze mendiants vinrent un jour lui tendre la main; il n'avait qu'un petit flacon de vin, il les fit boire, et le flacon se trouva plein comme auparavant. Ainsi Dieu favorisait l'oeuvre de Son serviteur. Souvent, par l'eau bénite et le signe de la Croix, l'apôtre mettait en fuite l'ennemi des âmes. Dieu lui donna un puissant auxiliaire en son compatriote Winfrid, devenu saint Boniface. A sa mort, son tombeau, trop petit, s'allongea pour le recevoir, et son corps exhala un délicieux parfum.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Amaranthe

martyr dans le Tarn (IIIe siècle)

ou Amarand.
Martyr dont on ne connaît que la mort non loin du village de Vieux dans le Tarn, à quelques distances d'Albi. Très tôt son tombeau fut un lieu de pèlerinage très fréquenté.
"Le martyr Amarand, enseveli près de la ville d'Albi, après avoir consommé son combat pour la foi, est vivant dans la gloire... Sa tombe a été longtemps négligée, se recouvrant de buissons et de ronces, mais, sur l'ordre du Seigneur, elle a été révélée aux peuples chrétiens et la crypte dans laquelle il reposait a été mise au jour avec éclat. Ainsi s'exprime Grégoire de Tours, se référant à un récit de sa Passion qui est perdu et qui a donc été écrit, au plus tard, au début du VIe siècle. Amarand a-t-il été victime des persécutions du temps de saint Saturnin? En tout cas, la tradition a gardé le souvenir de l'emplacement de sa sépulture, à trois kilomètres environ à l'est d'Albi, où une église dédiée à sa mémoire est signalée au XIIIe siècle, plusieurs fois ruinée et restaurée par la suite et où des ermites ont vécu, au moins de manière intermittente, jusqu'aux approches de la Révolution française. Et pourtant, la tombe était vide, depuis au moins le IXe siècle. Le corps du martyr avait été transféré à Vieux, où s'était fondée une communauté de chanoines, qui voulaient sans doute enrichir leur église de précieuses reliques. C'est là que les fidèles sont venus nombreux en pèlerinage, pour vénérer le martyr albigeois, jusqu'en 1494, date à laquelle l'évêque d'Albi, Louis d'Amboise, recueillit ses restes dans sa cathédrale.
Aucune église aujourd'hui dans le diocèse n'est sous le vocable de saint Amarand; la dernière était celle d'une paroisse, maintenant disparue, aux environs de Cadalen. Mais c'est à lui qu'a été dédié l'autel, consacré en 1969, de la nouvelle chapelle Saint-Martin, non loin du lieu de sa sépulture."
Extrait de: Les saints de chez nous du père Robert Cabié (source: Saint Amarand - diocèse d'Albi
)
À Vieux sur le territoire d'Albi, saint Amarand, vénéré comme martyr.

Martyrologe romain

St Vincent Grossi

prêtre et fondateur († 1917)

Fête le 7 Novembre

St Vincent (Vincenzo) Grossi

Prêtre et fondateur des :

'Filles de l'Oratoire'

 

Né le 9 mars 1845, à Pizzighettone, il était l’avant dernier d’une fratrie de sept enfants ; il fut baptisé le jour même de sa naissance.

 

Éduqué très chrétiennement par sa mère, qui fut sa première catéchiste, il manifesta, dès l'enfance, un zèle et une joie toute spéciale à aider sa paroisse. De son père il hérita le sérieux et l’amour du travail bien fait.

 

Ayant manifesté son désir de devenir prêtre, il fut freiné par son père, non seulement pour des raisons familiales, mais aussi pour tester la vocation de son fils. Ce ne fut qu’à l’âge de 19 ans que Vincent put réaliser son désir de se consacrer tout entier à Dieu.

 

En 1866 il entra au Séminaire de Crémone et après des études sérieuses, couronnées de succès, il fut ordonné prêtre du diocèse de Lodi à 24 ans : il célébra sa première messe dans la cathédrale de Crémone le 22 mai 1869.

 

La messe sera toujours au centre de sa vie : il y puisera la lumière et la force pour lui-même et pour son apostolat. Il dira même aux Sœurs de son Institut : « le prêtre doit exprimer [pendant la messe], vivre et faire vivre la vie admirable de Jésus dans le ciel et continuer ici-bas la vie qu’Il aurait menée pour accomplir la volonté du Père ».

 

Après son ordination, il fut tout d’abord nommé vicaire auxiliaire dans une paroisse du diocèse et puis, en 1873, curé de Ragona. Ses dons de pasteur excellèrent pour l'éducation des enfants et des adolescents.

 

Après avoir perdu son époux, sa mère s’installa dans la cure et aida, par ses aumônes secrètes, à payer les dettes de la paroisse de son fils.

 

Plus tard, le 28 décembre 1882, sous les instances de son évêque il prit en charge la paroisse de Vicobellignani, où il resta 34 ans. Cette paroisse était en déclin, à cause de l’action des protestants qui avaient mené là un apostolat très actif.

 

Pour le convaincre, son évêque, Mgr Bonomelli, lui écrivit pour lui dire que « cette paroisse et en général toute la région, avait besoin de pasteurs pleins de zèle, désintéressés, exemplaires, d’une grande charité, d’une grande prudence et instruits : ces dons je les décèle en vous et je suis certain de ne pas me tromper… J’espère qu’en une dizaine d’années vous ressusciterez cette paroisse et ferez disparaître l’erreur ».

 

L’évêque se révéla être un prophète, car, avec la prière intense et un généreux dévouement, le père Vincent transforma le pays en une véritable communauté spirituelle. Il était un pasteur zélé, le leader de son troupeau par la parole et l'exemple.

 

Don Vincenzo n'était pas un homme à livres, mais plutôt un homme qui approfondissait tout avec sagesse et méthode, néanmoins il devait souvent lire et écrire. En effet il préparait avec grand soin ses sermons, que tous pouvaient comprendre, et plus tard il rédigea aussi les leçons pour ses religieuses. Sa prédication était le fruit de la prière et de la méditation régulière.

 

Sa messe quotidienne était précédée d’une longue préparation. La célébration était simple,  ordonnée, profondément exemplaire dans les paroles et les gestes. Son âme était alors toute tournée vers le Seigneur.

 

En 1885, il fonda la première communauté des ‘Filles de l'Oratoire pour aider les jeunes filles. Il écrivit les règles à genoux devant le tabernacle. À ses religieuses il demanda de ne vivre que dans la sainteté et dans la joie. Il leur choisit saint Philippe Néri comme patron.

Il meurt le 7 novembre 1917 en disant : « la voie est ouverte, il me faut y aller ». Ses reliques reposent dans la Maison-Mère, à Lodi.
Le 1er novembre 1975, saint Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) l'éleva à la gloire des autels, à Rome, et le donna aux prêtres comme un exemple à suivre.

Vincenzo Grossi a été proclamé Saint le dimanche 18 octobre 2015, à Rome, par le Pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013) ; avec lui ont été canonisés : María Isabel Salvat Romero, une religieuse espagnole morte en 1998 et le couple Louis et Zélie Martin, les parents de sainte Thérèse de Lisieux, un geste symbolique en plein synode sur la famille.

Saint Engelbert

Archevêque de Cologne (✝ 1225)

Excommunié dans sa jeunesse en raison de ses actes de violence, il fit pénitence et, pour cela, partit à la croisade contre les Albigeois. Il fut archevêque de Cologne, mais sa manière vigoureuse à l'égard des puissants de ce monde, et son empressement pastoral à défendre les faibles lui attirèrent l'inimitié de plusieurs seigneurs qui l'assassinèrent.
Pour avoir pris la défense de la liberté de l'Église, il fut entouré sur la route par des agresseurs et tomba frappé de multiples blessures.

Martyrologe romain

Saint Ernest

Abbé de Zwiefalten (✝ 1147)

Moine puis abbé de l'abbaye de Zwiefalten sur les bords du lac de Constance, il démissionna pour partir à la croisade conduite par l'empereur germanique Conrad III. Il part en disant à ses frères : " Peu importe la mort qui m'est réservée si elle me permet de souffrir pour l'amour du Christ. " L'on ne sut jamais ni quand ni où ni comme il est mort.

Saint Herculan

Evêque de Pérouse (✝ 547)

Evêque et martyr à Pérouse en Italie, décapité sur les remparts de la ville par ordre de Totila, roi des Goths qui avait mis le siège devant la ville.

Martyrologe romain

Saint Baud

Evêque de Tours (VIe siècle)

Bauld ou Baudin.
Evêque de Tours et référendaire du roi Clotaire. Sa charité pour les pauvres fut très grande à l'instar de saint Martin. Ses reliques se trouvent à Loches dans le Val de Loire. Une localité s'est placée sous son patronage: Saint-Bauld-37310.
Saint Baud évêque 546-552. (historique - diocèse de Tours)
Un internaute nous signale qu'au château de Loches, une chapelle est dédiée à Saint Sallebœuf et qu'il serait 
Saint Baudin d'après certaines sources.
À Tours, au VIe siècle, saint Baud, évêque, qui distribua en aumônes aux pauvres l'or que son prédécesseur lui avait laissé.

Martyrologe romain

 

St Vincent Lê Quang Liêm

prêtre o.p. martyr († 1773)

Fête le 7 Novembre

Martyrologe Romain : À Ket Cho au Tonkin, en 1773, les saints Hyacinthe Castañeda et Vincent Lê Quang Liêm, prêtres dominicains et martyrs, qui, sous le gouvernement de Trinh Sam, achevèrent leurs travaux apostoliques par l’effusion de leur sang.

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