Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
25 Novembre 2019
La messe du lundi 25 novembre 2019
La messe en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Pour suivre l'office avec les textes du jour, rendez-vous sur http://tv.fmnd.org .
Lecture du livre du prophète Daniel
La troisième année du règne de Joakim, roi de Juda,
Nabucodonosor, roi de Babylone,
arriva devant Jérusalem et l’assiégea.
Le Seigneur livra entre ses mains Joakim, roi de Juda,
ainsi qu’une partie des objets de la maison de Dieu.
Il les emporta au pays de Babylone,
et les déposa dans le trésor de ses dieux.
Le roi ordonna à Ashpénaz, chef de ses eunuques,
de faire venir quelques jeunes Israélites
de race royale ou de famille noble.
Ils devaient être sans défaut corporel, de belle figure,
exercés à la sagesse, instruits et intelligents, pleins de vigueur,
pour se tenir à la cour du roi
et apprendre l’écriture et la langue des Chaldéens.
Le roi leur assignait pour chaque jour
une portion des mets royaux
et du vin de sa table.
Ils devaient être formés pendant trois ans,
et ensuite ils entreraient au service du roi.
Parmi eux se trouvaient Daniel, Ananias, Misaël et Azarias,
qui étaient de la tribu de Juda.
Daniel eut à cœur de ne pas se souiller
avec les mets du roi et le vin de sa table,
il supplia le chef des eunuques
de lui épargner cette souillure.
Dieu permit à Daniel de trouver auprès de celui-ci
faveur et bienveillance.
Mais il répondit à Daniel :
« J’ai peur de mon Seigneur le roi,
qui a fixé votre nourriture et votre boisson ;
s’il vous voit le visage plus défait
qu’aux jeunes gens de votre âge,
c’est moi qui, à cause de vous,
risquerai ma tête devant le roi. »
Or, le chef des eunuques avait confié
Daniel, Ananias, Azarias et Misaël à un intendant.
Daniel lui dit :
« Fais donc pendant dix jours un essai avec tes serviteurs :
qu’on nous donne des légumes à manger et de l’eau à boire.
Tu pourras comparer notre mine
avec celle des jeunes gens qui mangent les mets du roi,
et tu agiras avec tes serviteurs
suivant ce que tu auras constaté. »
L’intendant consentit à leur demande,
et les mit à l’essai pendant dix jours.
Au bout de dix jours, ils avaient plus belle mine et meilleure santé
que tous les jeunes gens qui mangeaient des mets du roi.
L’intendant supprima définitivement
leurs mets et leur ration de vin,
et leur fit donner des légumes.
À ces quatre jeunes gens, Dieu accorda science et habileté
en matière d’écriture et de sagesse.
Daniel, en outre, savait interpréter les visions et les songes.
Au terme fixé par le roi Nabucodonosor
pour qu’on lui amenât tous les jeunes gens,
le chef des eunuques les conduisit devant lui.
Le roi s’entretint avec eux,
et pas un seul n’était comparable
à Daniel, Ananias, Misaël et Azarias.
Ils entrèrent donc au service du roi.
Sur toutes les questions demandant sagesse et intelligence
que le roi leur posait,
il les trouvait dix fois supérieurs
à tous les magiciens et mages de tout son royaume.
– Parole du Seigneur.
R/ À toi, louange et gloire éternellement ! (Dn 3, 52)
Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de nos pères : R/
Béni soit le nom très saint de ta gloire : R/
Béni sois-tu dans ton saint temple de gloire : R/
Béni sois-tu sur le trône de ton règne : R/
Béni sois-tu, toi qui sondes les abîmes : R/
Toi qui sièges au-dessus des Kéroubim : R/
Béni sois-tu au firmament, dans le ciel, R/
Alléluia. Alléluia.
Veillez, tenez-vous prêts :
c’est à l’heure où vous n’y pensez pas
que le Fils de l’homme viendra.
Alléluia. (Mt 24, 42a.44)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
comme Jésus enseignait dans le Temple,
levant les yeux, il vit les gens riches
qui mettaient leurs offrandes dans le Trésor.
Il vit aussi une veuve misérable
y mettre deux petites pièces de monnaie.
Alors il déclara :
« En vérité, je vous le dis :
cette pauvre veuve a mis plus que tous les autres.
Car tous ceux-là, pour faire leur offrande,
ont pris sur leur superflu
mais elle, elle a pris sur son indigence :
elle a mis tout ce qu’elle avait pour vivre. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Le regard de Jésus sur la veuve
Pour Jésus, l'argent a une valeur très relative. Les gros sous jetés dans le trésor par les riches ne représentent pas grand-chose à ses yeux, mais les deux maigres piécettes de la veuve, un quart d'as, sont lourdes de tout son amour.
Ceux-là, pour faire leur offrande, ont pris sur leur superflu mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu'elle avait pour vivre.
Méditation de l'évangile du lundi 25 novembre
“Ayant levé les yeux, Jésus vit”
Jésus sait voir. Il a noté les différentes attitudes des gens qui composent cette foule, venus offrir leur argent dans le Temple. Il a vu les riches en jeter beaucoup dans le trésor, mais de leur superflu. Il a vu la veuve jeter peu, mais de son indigence, et Il en a été bouleversé.
“Jésus, levant les yeux, vit des riches qui mettaient leurs offrandes dans le trésor. Il vit aussi une veuve misérable qui y mettait deux petites pièces. Alors Il dit : Vraiment, Je vous le dis, cette pauvre femme a mis plus que tous. Tous ceux-là ont donné de leur superflu en offrande à Dieu, mais celle-ci a pris sur son indigence tout ce qu'elle avait pour vivre”
Pour Jésus, l'argent a une valeur très relative. Les gros sous jetés dans le trésor par les riches ne représentent pas grand chose à ses yeux, mais les deux maigres piécettes de la veuve, un quart d'as, sont lourdes de tout son amour.
Pour Lui, c'est le coeur, l'intention qui importe. La veuve qui n'a versé qu'un quart d'as, quelques centimes, a versé davantage que les riches, aux yeux de Dieu.
Il nous apporte donc vraiment l'espérance d'un monde tout autre que celui où le seule référence reste l'argent.
Père Gabriel