Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
12 Décembre 2019
L'apparition de Notre Dame de Guadalupe, Mexico, 1531, par Arnaud Dumouch
Soutenez l'Institut Docteur Angélique sur Tipeee : https://www.tipeee.com/institut-docteur-angelique ou sur ce compte en France : Compte Crédit Mutuel : Titulaire: Institut Docteur Angélique Num...
Histoire des apparitions de la vierge de Guadalupe, un récit incroyable
Découvrez cette lecture tirée du Nican Mopohua livre écrit par l'écrivain Indien Antonio Valeriano autour de la moitié du XVIe siècle. Vous y apprendrez l'histoire de Juan Diego à qui la Vie...
'Je suis venu ici pour déposer aux pieds de la Vierge métisse du Tepeyac, Etoile du Nouveau Monde, l'Exhortation apostolique Ecclesia in America, qui rassemble les contributions et les suggestions pastorales de ce Synode, confiant à la Mère et Reine de ce continent, l'avenir de son évangélisation' (homélie du pape Jean-Paul II, le 23 janvier 1999, Basilique Notre-Dame de Guadalupe)
'J'ai déposé les fruits du premier Synode américain aux pieds de la Sainte Vierge Marie de Guadalupe, sous la protection maternelle de laquelle s'est développée l'évangélisation du Nouveau Continent. Elle est à juste titre invoquée aujourd'hui comme l'étoile de sa nouvelle évangélisation. C'est pourquoi j'ai établi que la fête ou la solennité liturgique qui lui est consacrée, le 12 décembre, soit proclamée comme fête sur tout le Continent américain.' (Jean-Paul II après son voyage au Mexique, le 10 février 1999)
Illustration: Notre Dame de Guadalupe à Fourvière
Message du pape François pour la fête de Notre Dame de Guadalupe du 12 décembre 2013, la patronne de l'Amérique: Lorsque la Vierge est apparue à saint Juan Diego, a-t-il dit en espagnol, 'son visage était celui d'une métisse et ses vêtements couverts de motifs indigènes. Comme Jésus, Marie se fait proche de ses enfants, qu'elle accompagne en mère
Saint Corentin
1er évêque de Quimper
Patron(ne):Diocèse de Quimper
Dictons
C |
orentin n’est pas venu d’Angleterre en Bretagne, comme la plupart des premiers Saints de cette province de Cornouailles. On met sa naissance au commencement du IVe siècle, époque où la Foi de Jésus-Christ, étant devenue maîtresse de l’empire romain, avait déjà pénétré dans les pays les plus barbares de l’Occident et du Nord.
Ayant été élevé dans la piété, il embrassa l’état ecclésiastique et fut promu aux Ordres Sacrés. Puis il se retira dans un ermitage, en la paroisse de Plouvodien, où Dieu fit de grands miracles pour sa nourriture. Il contracta une étroite amitié avec saint Primel, qui était aussi un solitaire d’une très grande piété ; et il fit sourdre une fontaine à son ermitage, pour l’exempter d’aller chercher de l’eau en un endroit fort éloigné.
Souvent il nourrit des hôtes, venus le voir, par des multiplications surnaturelles, trouvant même du poisson où il n’y en avait point auparavant. Entre autres, il fit un festin à un prince nommé Grallon et à des chasseurs de sa compagnie, avec un morceau de poisson qui n’aurait pas suffi pour rassasier un de ces hommes affamés. Ce prince, en reconnaissance, lui donna un grand espace de terre, où il fit bâtir un monastère qui fut bientôt rempli de très saints religieux. Les enfants nobles y étaient aussi reçus, pour être formés aux sciences humaines et à la piété : de sorte qu’il servit extrêmement à la bonne éducation de la jeune noblesse de Cornouailles et de toute la Bretagne.
Les seigneurs du pays, charmés de la prudence et de la sainteté de Corentin, prièrent le prince de procurer un nouvel évêché à Quimper-Odets et d’en faire nommer saint Corentin premier évêque. Grallon y consentit ; et, ayant fait venir ce saint Abbé, il l’envoya vers saint Martin, archevêque de Tours, dont la juridiction s’étendait sur toute la Bretagne, afin de recevoir de lui la consécration épiscopale.
Saint Corentin mena avec lui à Tours deux excellents religieux, Vennolé et Tudin, pour être bénis abbés de deux nouveaux monastères que le prince voulait fonder. Mais saint Martin, l’ayant sacré, lui dit que, pour la bénédiction des abbés de son diocèse, c’était à lui à la faire ; et il l’envoya ainsi gouverner le peuple que la divine Providence lui avait commis. On lui fit une entrée magnifique dans Quimper ; et on lui donna de quoi fonder un Chapitre de chanoines, pour sa nouvelle cathédrale.
Comme il n’oublia point dans l’Épiscopat qu’il était religieux, de même les exercices de la vie solitaire, qu’il continua toujours de pratiquer, ne lui firent point oublier qu’il était Évêque. Il visita tout son diocèse ; il ordonna de bons ecclésiastiques pour les distribuer dans les paroisses ; il corrigea les abus qui s’étaient glissés parmi les fidèles ; il combattit les restes du paganisme et il s’acquitta de toutes les autres obligations d’un bon pasteur. Enfin, Dieu le retira de ce monde pour lui donner la couronne de l’immortalité.
Son corps fut enseveli avec beaucoup d’honneur dans son église cathédrale, devant le grand autel ; et son convoi fut illustré par plusieurs miracles signalés. Il s’en est fait depuis quantité à son tombeau. Une femme avait promis de présenter de la cire à son église, en reconnaissance d’un insigne bienfait qu’elle avait reçu de son intercession. Elle en apporta en effet ; mais comme elle était prête à l’offrir, elle retira sa main par avarice et ne l’offrit point. Alors cette même main se ferma si fort, qu’il lui fut impossible de l’ouvrir, jusqu’à ce que le Saint, ayant égard à ses larmes, lui apparut par deux fois et la guérit de ce mal qu’elle s’était attiré par sa cupidité. Il apparut aussi à un pauvre homme, que des scélérats avaient enfermé dans un coffre pour le faire mourir de faim et le délivra de cette horrible prison en levant la serrure qui la tenait fermée.
Ses reliques sont maintenant au monastère de Marmoutier-lez-Tours, après avoir été à Saint-Martin de la même ville, où la crainte des Normands les avait fait transporter. La vie de notre Saint est dans Benoît Gonon et dans le P. Alexandre Legrand, de Morlaix. Sa ville épiscopale a pris son nom et ne s’appelle plus Quimper-Odets, mais Quimper-Corentin… jusqu’à ce que la révolution intervienne.
ou Cury, évêque de Quimper.
Il fait partie des "Sept-Saints" qui évangélisèrent la Bretagne et qui ont nom: saint Tugdual de Tréguier, saint Paterne de Vannes, saint Samson de Dol, saint Pol de Léon, saint Malo et saint Brieuc. Il est certain que saint Corentin a existé et qu'il a assuré l'implantation de l'Église de Cornouailles. Il participa au concile d'Angers en 453. Mais il est le seul des sept à ne pas avoir une localité pour conserver sa pieuse mémoire en Bretagne (On oublie souvent le vrai nom de Quimper: Quimper-Corentin). Par contre le village de Cury en Cornouailles britannique ne l'a pas oublié. Cependant de très nombreuses églises et chapelles se sont placées sous son vocable dans le Finistère et les Côtes d'Armor.
Illustration: Oriflamme de Saint Corentin, église paroissiale de Locronan.
"Patron principal du diocèse de Quimper. Né en Armorique, Corentin vécut pendant plusieurs années la vie érémitique, dans les bois qui couvraient le versant sud du Ménez-Hom, en Plomodiern. Réclamé comme évêque par le roi Gradlon et son peuple, il partagea dès lors son temps entre sa tâche épiscopale à Quimper et la vie érémitique à laquelle il restait fidèle. L'époque où il vécut ne peut être précisée; un manuscrit d'Angers, daté de 897, place un saint Corentin au calendrier le 1er mai. Les reliques du saint, dispersées lors des invasions normandes (Marmoutier - Abinbdon, Waltham et Glastonbury en G.-B.), furent partiellement restituées à la cathédrale de Quimper en 1623, où elles furent longtemps en honneur." (diocèse de Quimper et Léon)
Illustration: Saint Corentin - église Saint Germain à Pleyben (photo envoyée par un internaute)
Un internaute nous écrit: "Né en Armorique, il se retire dans la solitude dans la forêt de Nevet afin de servir Dieu, à l'exemple de nombreux ascètes. Se nourrissant de racines et de baies, un fontaine jaillit à sa prière, lui permettant d'avoir un peu d'eau. Chaque jour, le même poisson vient s'offir à lui en nourriture; Corentin en coupe un morceau et remet le poisson encore en vie dans l'eau et chaque jour, le poisson revient...
Le Roi Gradlon lui donne des terres afin d'y construire un monastère.
Les nombreux miracles qu'il accomplit et la sainteté de sa vie conduisent les chrétiens de Cornouailles à le choisir comme évêque. Le roi Gradlon lui offre son palais situé au confluent de l'Odet et du Frout: là où s'élève toujours la cathédrale de Quimper."
À Quimper en Bretagne, saint Corentin, honoré comme le premier évêque de la cité, qui joignait à l'épiscopat la rude vie d'ermite.
Martyrologe romain
Saint Jacques de Viterbe
Célèbre théologien, évêque de
Bénévent (1302) et de Naples (1303)
J |
acques (Giacomo) Capocci naît à Viterbe, en Italie, entre 1255 et 1256. Certains historiens du dix-huitième siècle l'ont considéré comme appartenant à la famille noble Capocci, mais il y a beaucoup de doutes à cet égard.
Il étudie certainement au couvent de la Ste Trinité de Viterbe, qui appartient aux Ermites de St Augustin, ordre dans lequel il entre vers 1272, dans ce même monastère.
Il est envoyé à l'université de Paris où il aurait eu pour maître St Thomas d'Aquin et pour condisciple, Gilles de Rome (théologien et philosophe italien, surnommé Docteur très fondé et Prince des théologiens).
De retour en Italie, il assume à plusieurs reprises entre 1281 et 1286 et sur les conseils de Gilles, les postes de conseiller et de visiteur dans la province romaine de son ordre.
Il retourne à Paris pour achever ses études, et obtient le premier degré du baccalauréat (1288), puis, en 1293, un doctorat en théologie. Au cours de ces années, il montre de grandes compétences littéraires et philosophiques, si bien qu'il en vient à succéder à Gilles de Rome, (qui avait entre-temps été élu prieur général de l'Ordre), à l'Université de Paris et il obtient le titre de “doctor speculativus” (docteur spéculatif).
En 1300, il reçoit la charge de Premier Lecteur (directeur de l'enseignement) à l'université fondée à Naples par les Augustins.
Il écrit son œuvre la plus connue, le traité “De regimine christiano” (Du Gouvernement chrétien), dans les années les plus graves de la confrontation entre le pape Boniface VIII (Benedetto Caetani, 1294-1303) et le roi de France Philippe IV le Bel (le roi de fer), entre 1296 et 1303. Ce travail réitère l'argument de la bulle papale “Unam Sanctam”, défendant l'idée hiérocratique (système politique basé sur le sacré), ou théocratique (mode de gouvernement dans lequel l'autorité est exercée par les prêtres), et le droit de la papauté d'exercer le pouvoir temporel.
Boniface VIII lui montre son estime en le nommant premier archevêque de Bénévent, le 3 septembre 1302, puis le 12 décembre de la même année, après seulement trois mois, archevêque du prestigieux siège de Naples. Là, grâce à l'appui du roi Charles II d'Anjou et de son fils Robert, avec qui il a d'excellentes relations, il donne une impulsion considérable aux travaux de la construction d'une nouvelle cathédrale.
Son rôle est également important lors de la canonisation du pape Célestin V (Pietro Angeleri) dont la cause lui est confiée par le pape Clément V (Bertrand de Gouth, 1305-1314) : pour enquêter, en 1306, il entend pas moins de trois cents témoins, venant de Campanie et des Abruzzes.
Il meurt vers 1308. On en ignore la date précise ainsi que le lieu de son inhumation.
Il est béatifié par saint Pie X (Giuseppe Melchiorre Sarto, 1903-1914) en 1911 ; son culte est confirmé ab immemorabili, le 14 juin 1914, par le même Pape.
ou Ælfred
Né en 849. Lors d'un voyage à Rome en 853, il est accepté comme filleul par le pape Léon IV. Il était un grand intellectuel traduisant de nombreux ouvrages classiques pour son peuple et semblait destiné à l'Église. Au contraire, il dut devenir roi et passer la plus grande partie de son règne en guerre contre les invasions danoises qui menaçaient l'Angleterre. Son action en faveur des arts, de la littérature et de l'Église en ont fait un personnage aimé en Angleterre.
"Il fut pour ce peuple encore à demi barbare ce qu'avait été Charlemagne un siècle auparavant pour les peuples francs et germains. Alfred lui-même disait qu'il y avait 'dans son royaume très peu d'hommes capables de comprendre leur office en anglais ou de traduire une lettre écrite en latin; je ne me rappelle pas, ajoute-t-il, en avoir trouvé un seul au sud de la Tamise quand j'ai commencé mon règne'. Aussi fit-il venir des savants étrangers, l'évêque de Reims Hincmar, l'abbé Grimbald, le fameux théologien Jean Scot dit 'Érigène'. Lui-même, comme Charlemagne, donna l'exemple de l'étude; il avait près de quarante ans quand il apprit le latin et il y fit de tels progrès, qu'il put traduire en langue saxonne les ouvrages qu'il crut le plus utile de faire connaître à ses sujets: l'Histoire ecclésiastique de l'Angleterre de Bède le Vénérable, les Histoires d'Orose auxquelles il joignit de curieuses notes géographiques, la Consolation philosophique de Boèce, quelques méditations de saint Augustin enfin le Pastoral ou livre des soins pastoraux écrit par le pape saint Grégoire à l'usage du clergé. Il ajouta à ce dernier livre une préface où on le voit se préoccupant avec une véritable ardeur des moyens de répandre l'instruction parmi son peuple: pour y contribuer, il envoya une copie de cette traduction à tous les évêques du royaume; trois de ces copies existent encore."
(source: institut national de recherche pédagogique)
Adélaïde, fille de Rodolphe II, roi de Bourgogne, naquit en 931. Dieu lui avait donne pour mère une femme de très grande piété, et à elle-même de très nombreuses dispositions à la vertu. Elle n'avait que seize ans, lorsque Hugues de Provence, devenu roi d'Italie, l'obtint pour son fils Lothaire.
Mais son bonheur conjugal fut de courte durée. Trois ans après, Bérenger, marquis d'Ivrée, se jetait sur les États de Lothaire, le faisait prisonnier avec Adélaïde et leur fille Emma. Menacé de l'intervention de l'empereur de Constantinople, Bérenger fit disparaître Lothaire. Il se proposait de faire d'Adélaïde sa bru ; mais celle-ci s'y refusa énergiquement. Il l'enferma alors dans une forteresse, d'où la courageuse princesse trouva le moyen de s'évader et de se réfugier à Canossa. Le roi de Germanie, Otton II saisit avec empressement cette occasion d'intervenir dans les affaires d'Italie : il mit en déroute les troupes de Bérenger et délivra Adélaïde, assiégée.
Otton conçut alors le projet d'épouser la jeune veuve. Celle-ci, encouragée par le pape Agapit, accepta de devenir reine de Germanie (951). Elle devint impératrice en 972. Oublieuse des graves torts de Bérenger à son égard, elle poussa la générosité jusqu'à obtenir que ses Etats lui fussent restitués.
Comme mère, Adélaïde s'efforça de faire de son fils Otton un prince vraiment chrétien; mais l'inconstance et l'inconduite de ce fils devaient être pour elle la cause de douloureux chagrins. — L'empereur Otton avait obtenu pour ce fils la main de Théophanie, fille de l'empereur de Constantinople. Ce mariage fit de la vie d'Adélaïde un véritable martyre. À la mort d'Otton, son fils lui succéda sous le nom d'Otton II. Lassé de la tutelle de sa sainte mère, il abandonna toute l'influence à son intrigante épouse. Sentant qu'elle était de trop dans cette cour, Adélaïde se retira dans une retraite au pays de Vaud. Mais la voix populaire ne tarda point à réclamer le retour de la sainte impératrice. Otton se rendit à ce désir et rappela sa mère. Peu après cette réconciliation, Otton mourut subitement à Rome (décembre 983), à l'âge de vingt-neuf ans.
Adélaïde ayant fait reconnaître son petit-fils, Otton III, par les princes allemands, reprit auprès de lui le rôle qu'elle avait rempli auprès de son père. De nouveau elle rencontra la jalouse opposition de sa bru, l'ambitieuse régente. «La main de Dieu me frappe, disait Adélaïde, pour me guérir de mes faiblesses, surtout de mon amour-propre et de la séduction du monde.» La mort la délivra de cette bru en 994.
Les seigneurs la prièrent alors d'assurer de nouveau la régence. Malgré ses répugnances, elle s'y résigna: par sa sagesse et son habileté le nouveau règne s'affermit. Mais dès qu'Otton III eut été déclaré majeur (996), Adélaïde se retira en Bourgogne, son pays natal, réconcilia ses deux neveux près d'en venir aux mains, et se fixa a Seltz en Alsace. Après avoir partagé aux pauvres et aux monastères le peu qui lui restait, elle exhala son âme dans le sein de Dieu, le 16 décembre 999, a l'âge de soixante-neuf ans.
J.M. Planchet, Nouvelle Vie des Saints
- L'Église a douze nouveaux Vénérables Serviteurs et Servantes de Dieu, Vatican news 21 mai 2018
- décret du 19 mai 2018 (en italien)
Père Pio Dellepiane (1904-1976), prêtre italien de l'Ordre des minimes, considéré comme religieux exemplaire au sein de sa congrégation.
Il était également un fervent dévot du
Padre Pio.
Né à Gènes le 4 janvier 1904 et mort à Rome le 12 décembre 1976
Il fonda 'Armata bianca' (l'Armée blanche), un mouvement dédié aux enfants pour promouvoir la spiritualité de Notre-Dame de Fátima.
"Ma bénédiction à tous les enfants du monde pour que, réunis dans les Nids de prière, ils forment l'Armée Blanche de la Vierge" (Père Pio Dellepiane)
- l'Armata Bianca
- Père Pio Dellepiane et l'Armata Bianca