Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
QU’EST-CE LE DEVOIR ?
Le devoir n’est pas un sentiment
Pourtant il vient d’un sentiment
D’être fait pour un devoir
Celui d’une conscience tranquille.
Le devoir c’est le devoir,
De prévoir un avoir,
Pour ne pas être l’avoir,
De sa famille à revoir.
L’écolier doit faire ses devoirs,
Il a le devoir de respecter ses parents,
Comme il est de son devoir de revoir,
La question qu’est-ce le devoir.
De même les parents ont des devoirs
Leur exemple est un devoir de chaque instant
Aimer ses enfants et le reste de la famille,
C’est le devoir fondamental de l’éducation.
Enfin le devoir celui que tous concevoir,
Être l’adepte du devoir électorale,
Notre devoir, réfléchir au bien de tous,
Le devoir s’appelle aussi générosité.
Servir son pays revêtit de nombreuses formes,
La guerre c’est l’échec des parlementaires,
C’est être responsable en toute chose.
Le devoir c’est aimer de ce fait être solidaire.
Lorsque notre pays est agressé
Notre devoir c’est d’être :
Non seulement UNI avec notre pays
Mais également réfléchir et actif.
RECEVOIR LA CLEMENCE
Se souvenir de bons moments.
Oublier les mauvais garnements.
Nos dilettantes amateurismes.
On se croyait de grands altruismes.
Méditer sur certains de nos actes.
Sans chercher à se voiler la face.
Ne pas occulter, la page préface.
En se fixant en coquin un pacte.
Pour se donner bonne conscience.
Nous échafaudions des satyres.
Sur un pauvre un gamin martyr.
Puisque, il est de parfaites différences.
L’inoubliable partage dut regretter,
Passé simplement sous le silence,
Pour ne pas voir notre insolence,
Cacher, les intrigues à le maltraiter.
Qu’elle soit digne d’un amour éternel.
Ou d’un bonheur craintif immatériel.
Notre mémoire influence le souvenir.
Entretien confirme, notre devenir.
Quelquefois, elle revient à la charge.
Apporter l’eau pour le partage.
Se chargeant de nos sentiments.
Souvent fébrile à chaque moment.
Ce souvenir de notre enfance,
Nos frasques de l’adolescence,
Nos aventures sentimentales,
Ramènent à cet âge fatal.
Oublier la plupart de nos souvenirs.
Ne changera en rien notre avenir.
Se souvenir de nos bons gestes,
Oblige à demeurer bon, modeste.
La culpabilité permet la défense,
De ne plus être ce qui fut l’offense.
Notre pardon empêche la démence.
Ainsi, l’esprit reçoit enfin la clémence.
JE ME CROYAIS….
Ce matin-là, à l’aube,
Le ciel est sombre
Le parapluie à l’épaule
La petite valise roule.
De mon pas cadencé,
Rapide presque paniquée
J’arrive à l’arrêt du bus
C’est le dernier bus nocturne !
Bien sûr trop en avance
Enfin ! Il arrive,
Moi qui me croyais en retard !
A la gare d’Austerlitz soulagement
Mon train m’attend
Disons que je suis en avance
Je me croyais en retard
Je trouve ma place, Ouf je m’assois
Déception ma place côté vitre
Ce n’est pas sur le paysage
Mais sur le couloir, à la place senior !
Je sors mon bloc note de mon sac
Seule dans la cabine
Je croyais avoir l’inspiration !
Page blanche, tête vide
Je me suis endormie
Premier arrêt la cabine se remplie
Plus de sommeil, pas plus de pensées
Pas même pour mon oncle qui nous a quittés
Tout est vide, triste, sans larme.
Enfin une prière monte dans ma tête
Je descends mon cousin m’accueille
Je croyais écrire seule cette page vierge
Je dû refouler mon désarroi
30 juillet 2011
L’AMOUR EST UN JOYAUX
L’amour est un joyau
Il nous extirpe le noyau
De la cerise juteuse sur le paillot
De ma fenêtre mon arbre est là
Imperturbable tel un prélat
Il me fait face c’est son apostolat
Il m’évite tant de chagrins
Je n’y vois qu’un grain
Pour chantonner son refrain
Pourtant j’avoue que quelquefois
Ou plutôt bien des fois
Je remets en cause ma foi
Mes joyaux sont une multitude de couleur
Parfois je les prends pour des leurres
Leurs éclats me font pâleurs
Maudits soient ces sentiments
Tant de fois et fabuleusement
Semblable à un enfantement
L’important c’est d’aimer
Ton affection est finalement
Le don d’un amour absolu
Nous fêterons notre amour
Ce jour avec un certain humour
Marchant sur le tapis rouge
Après tout l’amour n’a pas de mesure
Même si à l’usure il rapetisse
Il reste toujours un éclat dans le cœur
A la Saint Valentin la recherche d’un joyau
Sonne les cloches de sentiments loyaux
D’une union dont le futur ne peut-être vieillot
Alumacom
13 février 2018