La renommée de Newman croît après sa mort, aussi bien dans le domaine théologique que littéraire. Dans une lettre du 25 mai 1907, Paul Claudel oriente Jacques Rivière dans le choix de ses lectures religieuses en ces termes : « Livres à lire : avant tout Pascal [...] Tout ce que vous pourrez trouver de Newman ». James Joyce considère qu'« aucun prosateur n'est comparable à Newman ». Et G. K. Chesterton lui consacre plusieurs essais entre 1904 et 1933, en indiquant dans l'avant-propos de son ouvrage Orthodoxie qu'il prend modèle sur l'Apologia.