Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
En ce dimanche…
Ce jour est l’un des dimanches ordinaires
Je vous souhaite un bon dimanche culinaire
Demain ce sera un jour sous luminaire.
Mais ce dimanche ci bien qu’ordinaire,
À sa particularité d’être simplement sur l’air,
D’une tradition aux rituelles cellulaires.
Le printemps, invite le pique-nique dans le pré.
La voiture roule sur la route de nos secrets,
Nous roulions joyeux fièrement juste après...
La messe à l’église de Saint-Germain-des-Prés.
Cheveux aux vents, la route longe les cyprés ,
Des joues comme toujours sont empourprées.
L’été, c’est la course matinale conformément,
À nos pratiques immuables et positivement,
Les bicyclettes sont accrochées lattérallement.
Dans la voiture les enfants feront étourdiment,
Les malices joyeuses de leurs âges en sont le piment,
Bain et châteaux de sable se succèdent inopinément.
L’automne, les diaprés de la nature sont l’ivresse,
Nos souvenirs dans les vignes loin de la sécheresse
Aux fragances diverses énivrantes et de tendresse,
Envahissent notre espace de citadin en maîtrresse.
Le vent et la pluie s’invitent chassant nos détresses,
De la cause, d’une presse qui n’a rien d’une compresse.
L’hiver s’invitr avec ses joies, ses plaisirs et ses plaintes
Nos dimanches sont réfrigérés avec ses complaintes,
La rue est notre cinéma notre univers notre Olympe,
Les vitines s’habillent de coton blancs et de jacinthes.
Les coutumes du dimanches sont les douces contraintes,
Dans les couloirs des rues de ce gigantesque labyrinte.
4 mars 2015
L’un dit je suis
L’un dit
- je suis
L’autre répond
Demande l’étranger
Répondent en cœur les deux compères.
Constate l’inconnu
Ils répondent en se tapant leurs épaules
L’un dit
- je suis lundi matin
L’autre continue
Conclu le nouveau venu.
Bonne journée pour ce lundi
Qui n’est pas comme l’un dit
Puisqu’en moi se réveille
L’angoisse du retour de mon émoi.
En ce début de semaine le réveil.
Sonne l’aventure qui se larmoie
Pour une semaine contraignante,
Aux heures multi-astreignantes.
4 mars 2015
Dans la mare, dis-moi…
Dans la mare, dis-moi…que fais-tu ?
Je cherche mon mardi,
J’ai oublié mon calendrier !
Dans la mare, dis-moi…que fais-tu ?
Vous avez dit mardi ?
Il se marre disant qu’il est sous l’eau !
Dans la mare, dis-moi…que fais-tu ?
Il y a une carpe qui me dit
Il est dans le ciel des mardis.
Dans la mare, dis-moi…que fais-tu ?
Le cercle du ciel des mardis
M’a renvoyé dans cette marre.
Mais dis-moi, pourquoi tu te marre ?
Réfléchis avant de chercher ce qui est évident.
Ton temps ne sera pas perdu inutilement.
Sur ce, bon mardi,
Sans question inutile
Ni croyances inféodées.
6 mars 2015
L’amer crédit
Cet amer crédit m’engourdi
Mon repos est discrédit
J’en suis abasourdi.
Je me démène dans la tragédie
Me figurant être alourdie
Sans connaître la comédie
Pas même une sorte de parodie
Comme toujours l’étourdie,
Vois dans son crédit,
Le douloureux et amer crédit
Qu’il ose qualifier de mélodie.
Pourtant la souffrance ne se dédit,
Elle s’aventure et la congédie,
Elle reste imperturbable ce mercredi.
4 mars 2015
Je dis si l’on…
Je dis si l’on aimait son prochain,
Comme nous même…
Le monde serait sans problème.
Je dis si l’on tournait sa langue,
Dans la bouche avant de parler
Le monde tournerait comme prévu.
Je dis si l’on réfléchit avant d’agir,
Les brutalités n’existeraient plus,
Le monde ne serait plus en danger.
Je dis si l’on respecté la nature,
L’humanité se porterait mieux,
Les jeux éducatifs seraient adéquats.
Les jeudis seraient respirables pour tous.
Si je dis les transports sont agréables,
A ceux qui respectent les corrélations.
La vie ne serait plus qu’un jeu dit amour
L’amitié serait redevenue un bon usage,
La paix tant espérée serait effective.
Hélas, les jeux sont souvent des enjeux
Je dis ce jour les larmes couleront
Le soleil rieur brule des mots indécents.
Le jeudi est un jeu dit est un jour de sursis
Demain ce sera vendredi pas un jeunisme
Puisque que c’est jour de jeûne et prière.
Ce jeu dit de mots n’est pas jauni par le temps
Pourtant Jeu discret est très presque millénaire
Il dispute la partie avec de nombreux partenaire.
4 juin 2015
Cocorico ! Songes d’un vendredi
Cocorico cri mon réveil il n’est plus temps de dormir !
En baillant je me souviens de ce songe à endormir,
Quel vendredi me dis-je ! Je dois m’arrêter de gémir !
En me rappelant mon entretient avec ce Casimir.
De l’au-delà, j’ai pu admirer le futur sous un cachemire.
Ce jour de la semaine est particulier
Christ nous a donné sa vie terrestre,
Il est l’agneau sacrifié du vendredi.
Il ne sera pas dit qu’aux mépris,
De la foi d’autrui il serait médit,
Sans nos prérogatives à notre crédit.
De toutes ces grandes affaires prédites
Les fausses importent et discréditent.
Les vraies espérances s’accréditent,
La Parole d’une objectivité inédite,
Elles sont peu dans la mémoire interdite.
Certains très hauts dignitaires habitent
Dans ces Ministères et les acquittent,
Ils mentent, volent, violent, décapitent.
Ce sont les profondeurs de l’Aphrodite,
Trompés leurs espérances seront déconfites.
Hier, quelques-uns étaient intouchables
Aujourd’hui ils deviennent vulnérables
Aucun d’entre eux n’a été charitable.
Ils s’imaginent être des gens louables,
Ils sont tous tellement semblables.
Qu’ils sont prévisibles ces abominables.
Tous ces gens venimeux sont corvéables !
Leurs bêtises les font d’irrémédiables,
Serviteurs de leurs propres déchets incurables.
Désormais ils ne pourront être improbables,
Puisque l’horreur en eux est condamnable.
En faussaire, ils ont professé la Faux,
Un vendredi de prière sur l’échafaud,
Ils perçoivent la réalité de leurs défauts.
Cet éclair leur sera salutaire, dieu sans faut,
Le pardon du vendredi est semblable au tuffeau.
9 mars 2015
Le jeûne du vendredi
Jour de jeûne
Jour de prière
Jour d’abstinence
Jour de méditation.
Ce jour c’est celui de la Bible.
Dans la foi rien n’est pénible
Les écrits sont à tous audibles
L’incendie du cœur est perceptible.
Jour de jeûne
Jour de prière
Jour d’abstinence
Jour de méditation
Les convoitises seront combattues,
Par la prière interne elles sont battues.
Aux nuées des désirs les situes
Des êtres dans le déni des obtus.
Jour de jeûne
Jour de prière
Jour d’abstinence
Jour de méditation
Il ne sera pas dit que le vendredi,
Ne mènera pas à la promesse,
Ceci est le salaire de la sagesse,
Le vendredi est l’un des jours pardi.
12 décembre 2014
Tout ça me dit
Rien de tout çà me dit
Qu’il faille de l’organdi
Pour charmer l’étourdi
A la main un verre de brandy
Ce présente en un dandy,
D’une jeune et belle Lady.
Bien que tout ça me dit
Que c’est dans un taudis
Qu’attendait sa chère Candy.
La boisson l’a étourdie.
Il y eut la maladie,
C’était un samedi.
Il se croyait dégourdi
Invulnérable à l’interdit
Or il n’est pas Verdi
Pas même une comédie
Une ordinaire petite mélodie.
Tout ça me dit c’est samedi
7 mars 2015
Quand ça me dit…
Quand ça me dit je vois mes chimères
Des nocturnes, telle des commères,
Dont la musique-s’active s’accélère
Les notes s’envolent vers le firmament
Au son du violon et de la lyre le serment,
S’illumine près des flammes du sarment.
Quand ça me dit sous la voûte étoilée
La balade s’inspire de tableaux ailés
Sur les berges du lacs les yachts voilés
Sous ’éclairage blafard des étoiles scintillantes
Ces grandes ombres glissent en dame galante
Fidèle à leur amant à l’âme haletante.
Quand ça me dit la nuit sur la Seine,
En bandoulière la guitare est reine
Sa clameur m’accompagne sereine,
Vers la lune les trémolos montent,
Cherchent son paradis et surmonte
La veillée du samedi qui me démonte.
Quand ça me dit c’est la recherche
Sur un plan un village appelé « Berche »
Pour le cabaret je m’appuie sur la perche.
Le spectacle des nymphes et des magiciens
Les humoristes s’ajoutent aux anciens
Dans les bulles dansantes des techniciens.
Quand ça me dit je cherche le bruit,
Je quitte mon antre dans la main un fruit
Désormais le silence c’est pour autrui
Mes jambes se dégourdissent avancent
Mon esprit se diverti avec l’espérance
Ce samedi soir c’est la régénérescence.
8 mars 2015
Le crédit s’endimanche
Dans le Journal Du Dimanche,
Il a fait sa « Une » sur cette affaire
Très curieusement endimanchée
Ce crédit est se dit manchette.
Mon Dieu quelle drôle d’affaire !
On s’affaire sur cette manche
Un souffle bavard s’y enferre
Il ne sera pas dit qu’un dimanche
Sans sa manche du savoir-faire,
Ne voit pas le jour en ce dimanche.
Puisqu’il a trouvé le sens du manche.
Ce n’est plus le marteau à refaire,
Pour marteler un crédit en avalanche,
Dont le monde se moque pour se faire.
C’est un crédit remis sur la branche
Malgré tout il faut-être un peu marteau
Pour imposer à tout pris sa revanche,
Dans les numéros du Dimanche
Qu’il porte allégrement aussitôt
En ce jour dit dimanche pour sa manche.
Le dimanche on ne parle pas d’impôt
Mais être entre amis devant un pot.
Se retrouver devant l’autel pour un temps
De recueillement pour notre repos.