Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
19 Janvier 2020
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
Parole du Vatican
Sts Marius, Marthe, Audifax, Abacum
Martyrs
(† 270)
Marius était un notable persan qui s'était converti avec son épouse Marthe et ses deux enfants Audifax et Abacum, au christianisme.
Venus avec sa femme et leurs deux fils en pèlerinage à Rome sous le règne de Claude-le-Gothique (268-270), ils se dévouèrent à soulager les victimes de la persécution, à visiter les prisonniers et à ensevelir dignement les chrétiens exécutés.
Quand ils furent reconnus comme chrétiens, ils furent arrêtés et, refusant toute proposition d'idolâtrie, condamnés : les trois hommes furent décapités et Marthe périt noyée.
Sainte Faustine et Sainte Libérate sont sœurs, nées à Côme, en Lombardie, elles vécurent toutes deux au monastère de Sainte-Marguerite, couvent fondé par Faustine.
Leurs reliques se trouvent encore dans la cathédrale de cette ville.
Le peintre Michele Clericetti (vers 1635-16 octobre 1682 à Côme) les a représentées en 1666. Son œuvre est dans l'église paroissiale de Sagno (Italie).
À Como en Lombardie, vers 580, les saintes Libérate et Faustine, sœurs et vierges, à l'origine du monastère de Sainte-Marguerite.
Martyrologe romain
martyrs africains de Numidie des premiers siècles (IIe ou IVe suivant les sources?), on ne connaît pas de détails sur leur vie.
Jeune disciple de S. Polycarpe, il est l’un des 11 chrétiens de Philadelphie, dans la Turquie actuelle, donnés en nourriture aux bêtes fauves pendant les persécutions au IIème siècle. Invité à renier sa foi il exhorte avec d’avantage de force ses compagnons à donner leur vie pour Jésus.
Alors que tout le pays est ravagé par la guerre contre les Lombard, à Ravenne c’est Jean, un saint évêque, qui s’occupe remarquablement des nécessités de son peuple et de son Eglise. Le Pape Grégoire le Grand lui envoie le livre de la Règle pastorale. Il meurt en 595.
Bx Marcelo Spinola y Maestre
Archevêque et cardinal
M |
arcelo Spínola y Maestre naît le 14 janvier 1835 à San Fernando, dans la province de Cadix (Espagne).
Il fit de brillantes études et, le 29 juin 1856, il obtient la licence en droit à l'université de Séville et commence une carrière d'avocat, plaidant gratuitement pour les pauvres.
Puis, sur le conseil de son directeur spirituel, il s’oriente vers le sacerdoce et il est ordonné prêtre à Séville en 1864 à l’âge de 29 ans.
Tout son ministère se déroulera en différents lieux d’Andalousie : à Huelva, puis dans une paroisse de Sanlúcar de Barramela comme chapelain, puis curé à San Lorenzo de Séville et enfin chanoine de la cathédrale.
Il prodigue son zèle en plusieurs domaines, spécialement dans le sacrement de la pénitence, car sa réputation lui attire de nombreux pénitents de toutes classes sociales. Il y consacre la majeure partie de son temps. Il est gai et doux de caractère, simple et grand travailleur.
Le 16 décembre 1880, il est nommé, évêque auxiliaire de Séville et consacré le 6 février 1881. Sa devise épiscopale est : « Je peux tout en Lui » (Ph. 4,13). S’appuyant sur cette confiance, il mène une vie austère pour lui-même et charitable pour les autres, attentif aux plus humbles et héroïque dans l'accomplissement de ses devoirs épiscopaux.
En 1884, il est nommé évêque de Coria. Il est le premier évêque à visiter la zone la plus déprimée d’Espagne, Las Hurdes, située dans son diocèse.
Devant la montée des troubles sociaux et de l’anticléricalisme, dus en partie aux conditions de pauvreté, il s’attache à l’éducation populaire et fonde, en 1886, la congrégation féminine des “Esclaves du Divin Cœur” pour l’apostolat de la jeunesse.
De 1886 à 1896, il est évêque de Malaga. C’est là que les gens commencent à l’appeler ‘le saint’. Puis, il est nommé archevêque de Séville en 1896. Toujours préoccupé des pauvres, il cherche des moyens pour les aider et on l’appelle ‘l’archevêque mendiant’. Il est mêlé à tous les mouvements de son temps, mais son indépendance ecclésiale le situe au-dessus des divisions et des partis, ce qui le rend « porteur de paix et de compréhension, en même temps que défenseur de la liberté de l’Église dans l’accomplissement de sa mission sacrée. Tout cela, nourri par un amour enflammé envers Jésus-Christ et marqué d’une profonde humilité personnelle » (Jean-Paul II).
Tombé malade, il reçoit au lit sa nomination de cardinal, promulguée par Saint Pie X (Giuseppe Melchiorre Sarto, 1903-1914) le 11 décembre 1905 et signifiée par une lettre de son secrétaire d’État, le cardinal Merry del Val. La barrette lui est imposée par le roi Alphonse XIII le 31 décembre suivant.
Il meurt peu après, le 19 janvier 1906, à 71 ans.
Marcelo Spinola y Maestre a été béatifié à Rome le 19 mars 1987 par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).
Saint Canut, roi de Danemark, alliait toutes les qualités de l'âme à celles du corps. Élevé dans la religion chrétienne, encore peu répandue en ce pays, il l'embrassa de coeur et y conforma généreusement sa conduite, chose rare, parmi les jeunes seigneurs de son entourage. Aux vertus du citoyen et du chrétien, il joignit les qualités qui font les grands rois.
Comprenant qu'il est du devoir d'un prince de défendre ses sujets, il aimait à s'exercer au métier des armes et devint bientôt maître dans l'art militaire. A la bataille, il était le premier et ne reculait jamais; placé, jeune encore, à la tête des armées danoises, chacun de ses combats fut une victoire. Mais ce fut sur le trône qu'éclatèrent complètement ses qualités et ses vertus.
Canut comprenait que l'obéissance au Roi éternel est la seule et véritable grandeur; il estimait peu sa couronne passagère, en comparaison de celle que la pratique de l'Évangile lui mériterait dans le Ciel. La frugalité de sa table, la simplicité de ses vêtements, faisaient un contraste frappant avec le luxe de sa cour. Cependant il savait, à l'occasion, faire respecter sa dignité et imposer à tous par sa majesté et par la crainte de sa juste autorité. En voici un exemple:
Un chef danois, pour faire face à ses folles dépenses, ne rougit pas d'exercer le criminel métier de pirate et de brigand; un jour le roi de Danemark apprend que son vassal avait pillé un vaisseau norvégien et massacré l'équipage. Il fait saisir le coupable, le convainc du crime par son propre aveu et le condamne à mort sans craindre la vengeance de sa puissante famille.
Ce roi juste était le plus loyal des hommes, et sa bonté d'âme égalait sa fermeté. Austère et pieux, comme un moine, il jeûnait souvent, passait les nuits en oraison et n'avait qu'un soin, celui d'étendre la foi dans son royaume, comprenant bien qu'elle est la vraie source de tout progrès et de toute civilisation.
L'enfer suscitait dans l'ombre des ennemis à ce saint roi; pendant qu'il priait dans une église, il fut entouré par des assassins, et, plutôt que de fuir, il continua sa prière et se laissa poignarder à genoux sur les marches de l'autel. Dieu vengea sa mort en affligeant le Danemark de plusieurs calamités, et des guérisons miraculeuses s'opérèrent à son tombeau.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
Contest ou Contestus.
Evêque de Bayeux après de longues années de solitude.
Il fut persécuté en raison de son zèle apostolique et, pour cette raison, il dut se retirer de sa ville épiscopale durant quelques années. Il nous est connu surtout par le propre des saints de ce diocèse qui dit de lui: "Il remplit le rôle d'un excellent prélat."
- Saint-Contest fait partie de la paroisse Saint-Jean-Baptiste-de-la-plaine du diocèse de Bayeux-Lisieux