Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
Ah, si tu savais, je te dirais
Ne pars pas
Reviens mon cœur
Comme d’habitude tu ne m’écoute pas
J’ai crié, crié, à en perdre l’haleine
Seulement tu n’as pas entendu
Tu étais déjà loin, loin, de mon émoi
Loin de mes préoccupations
Tu m’as laissé seule avec mes larmes
Ah si tu savais, je te dirais
Ne pars pas
Reviens mon cœur
Je rêve de tes bras doux et vigoureux
De ta bouche gourmande
De tes caresses affectueuses
Ce n’est qu’un rêve, tu n’es plus ici
Seulement tu t’es éloigné
Dans un mépris blessant.
Ah si tu savais, je te dirais
Ne pars pas
Reviens mon cœur
Maintenant tout est fini
Nous ne sommes plus,
Main dans la main
Pourtant je continue
De t’aimer comme hier
Mon cœur brisé te bénis
Ah si tu savais, je te dirais
Ne pars pas
Reviens mon cœur
La fête des cœurs
L’oiseau déploie ses ailes
Il n’est pas un ange
Ni un cerf-volant
Son chant qu’il soit rossignol
Ou mésange bleue
Est une fête matinale
A l’aube le soleil se lève
Sa lumière rosée ravie
Le regard mal réveillé
Qu’il pleuve, qu’il gèle
Ses couleurs enchanteresses
Sont une fête pour les cœurs
Les cœurs battent à l’unisson
Sous le soleil rieur
Sur le sable blanc
Ils chantent, dansent
Fusionnent tendrement
Au soir ils s’aiment toujours
La fête chez madame la lune
Dans sa voûte céleste
Scintille joyeusement
Les étoiles danseuses
Même si nuages il y a
Même si orage il y a
C’est toujours la fête.
Madame la lune souriante
Fait des clins d’œil
Langoureux à pendant.
Monsieur Soleil laisse sa place
Le soir il rougit le ciel
Pour cacher l’arrivée de son amie.
Madame la lune prend sa place
C’est l’heure des rêves pour nous
Elle oublie l’avenir de la terre.
Des nuages cachent sa nudité
La brise les pouce doucement
La voûte céleste est en fête.
4 septembre 2018
Avenir que me réserves-tu
Avenir, dit-moi que me réserves-tu ?
Je m’interroge toujours
Anxiété crainte ennui,
Enfin, rêve d’espoir enfin exaucé.
Toi, le mystérieux et l’inquiétant avenir
Qui est-tu pour me faire languir ?
L'avenir c’est ce mystère toujours
Angoissant quelquefois incertain
Parfois l’ardeur, l’envoûtement
L’avenir est à eux pensent-ils.
Point d’interrogation pour ceux-là
Est-ce cela le secret du bonheur ?
Pourtant l’avenir reste une interrogation
Chaque jour s’ajoute au précédent
À construire ou reconstruire avec application
Il n’y a pas d’austérité, ni damnation
L’amour de ce qui vit est l’avenir des lumières
L’avenir est le résultat de notre conduite
Pourquoi s’inquiété d’un futur
Que de toute façon nous ne connaitrons
Qu’à notre dernier souffle
C’est donner un jeu aux voyants
Avec divers supports pour asseoir
Leurs avenirs avec notre argent.
Donne-moi la main
Tu me tournes la tête,
Mon manège à moi, c’est toi
Edith Piaf l’a chanté si souvent
Pour moi la vie va commencer
Avait répondu Johnny
Puis ce fut donne-moi la main
À ce jour toi mon cœur
Tu me tournes la tête
Tes intrigues amoureuses,
Tes mots de circonstances
Tes promesses non tenues
Me bouleversent toujours
Ta maladie me tourmente
Tu oublies ce que tu veux
Est-ce volontaire ou pas
La comédie orchestrée
C’est ton manège à toi
Donne-moi la main
Ma candeur était
Ma candeur fut,
Ma candeur ne sera plus