Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
Découvrir l’humilité
Contre vents et marais j’avance
Je suis déterminée d’avancer
Sur ce chemin il y a la confiance,
La paix vient grâce aux alliances !
Pas de parapluie pour ces faits
L’avance est malgré tout surfait
Le bulldozer attend insatisfait
Les tourments sont dû au Préfet !
L’enjeu est assez important
L’opposition avance d’autant
Que gérant et rivaux combattants
Ils sont différents et déconcertants !
Leurs jeux sans complexité divisent
Contre vents et marées ils s’attisent
Jouxtent en bon larrons ils devisent
Pugnace et agressif sont leurs analyses.
Enfin l’éclaircie se fait au grand jour
Le soleil éclaircit les données du séjour
Néanmoins l’orage s’annonce aux discours
Le bateau tangue en écoutant le troubadour.
Cependant l’inconscient ne voit pas le danger,
Ils avancent insensibles comme des étrangers
L’urgence de la situation est d’interchanger
Le contexte les oblige à accepter de changer.
Le temps oblige à prendre ce fameux parapluie
Il se retourne entraine et pousse sur le circuit
La tempête impose le retour d’un exode gratuit
Contre vents et marais ils sont sans saufconduits.
Ensemble ils se réchauffent autour d’un feu
Crépitant, pétillante, dansant, ils sont joyeux
Se réchauffent autour d’un simple pot-au-feu
Ils découvrent l’humilité ce n’est pas fastidieux.
Que vais-je faire ?
Elle a déployé ses ailes dissimulées
Devant mon étonnement
Majestueusement elle s’esquive
Mes pensées lacunaires
Divaguent dans les méandres
D’un nuage gris matelassé.
Où est cette étrange créature ?
Et maintenant, que vais- je faire ?
Que me vaut cette étrange apparition
En un temps j’eusse su
Seulement il n’en est rien
Je dus surseoir à la vérité
Craintive je m’interroge
Que m’adviendra-t-il
Si j’ouvre les yeux ?
Assurément rien c’est un elfe !
Et maintenant, que vais-je faire ?
En baillant je pense à l’inutile !
Le bal des hypocrites
Ce jour c’est la journée de la femme
Qui a pondu cette belle hypocrisie
Qui est le plus hypocrite
L’homme ou la femme ?
Celui qui donne ou bien celui qui reçoit ?
Celui qui est contre cette journée,
Ou celui qui se réjouit de beaux discours qu’ils font.
Oui ce jour c’est la fête des hypocrites.
Pour être In il faut fêter ce jour.
Pour un combat légitime
Il n’est nul besoin de ce jour
Un jour, un petit jour
On reconnait la femme !
Et les TROIS CENT SOIXANTE QUATRE JOURS
Les femmes sont sans intérêt,
Esclaves de certains maris
Des collègues masculins méprisants
Ils ne les reconnaissent que pour réparer
Les âneries qu’ils font ou qu’ils disent.
L’homme n’est pas bavard on a coutume de dire
Ne me faites pas rire
Devant la machine à café ils sont les pires
Les concierges ne font pas mieux.
Ou pire envoyer la femme devant si danger
Et passe devant elle au moment de recevoir les lauriers.
Il y a cette sourde hypocrisie la plus courante
Elles sont minimes et pourtant elles font mal
Elles sont rarement visibles de l’extérieur
Elles sont dans les maisons :
La famille, les communautés les groupements
Plusieurs proverbes, citations
Faites ce que je vous dis, ne faites pas ce que je fais
Tu vois la paille dans l’œil du voisin mais pas la poutre qui est dans le tien.
Mon voisin exagère, il fait croire à son épouse qu’il est avec son copain
Mais ce copain est son semblable
Seulement dans ma vie j’ai eu des surprises hilarantes.
Le fameux copain jouait vite fait au tiercé, et…il s’envoyait en l’air avec une copine
Le fameux copain qui lui fournissait son alibi, était l’amant de son épouse ! C’était une partie au carré, sans le savoir. Sans leur hypocrisie, ceci n’aurait pu existait.
Ma dame Tentacule
Elle étend ses tentacules
Inexorablement elle avance
Doucement elle pose ses ventouses
Elle s’incruste sans vergogne
Elle ronge tranquillement
S’étale comme une flaque
En un seul mouvement
La fièvre monte
Les frissons arrivent
Quelquefois des spasmes
La douleur arrache un cri
C’est le combat héroïque
Cette dame hideuse se nourrit
S’abreuve des cellules saines
Elle dévore tout sur sa route.
Un jour la finale arrive
Plus rien, le calme complet
La grande faucheuse est passée.