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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

LES SAINTS DU JOUR

SAINT DU JOUR
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Date 09 février

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège

SAINTE APOLLINE, MARTYRE À ALEXANDRIE

 

Sainte Apolline ou Apollonia

Vierge et Martyre
(† 249)

 

Patron(ne):
Dentistes
Sainte Thaumaturge
Invoquée contre les maux de dents
Dictons
Jour de Sainte-Apolline renfrogné, c'est trois beaux mois d'été qu'elle nous a gardés.
Sainte Apolline ou Apollonie
Sainte Apolline ou Apollonie

Sainte Apolline ou Apollonie était d'Alexandrie; au milieu de la corruption générale, elle y passait pour un modèle de vertu et de modestie chrétienne. Cette héroïque jeune fille ne se contenta pas de consacrer au Seigneur ses premières années, sa jeunesse et son existence entière, elle voulut encore lui offrir le sacrifice de sa vie.

L'an 248, une persécution sanglante éclata dans la cité; la fureur des païens contre les chrétiens ne connut point de bornes. On pilla les maisons et on exerça contre les personnes les plus horribles violences. Apolline, déjà avancée en âge, loin de prendre la fuite, demeura toujours à Alexandrie, sans craindre la perte de ses biens ni de sa vie, heureuse, au contraire, d'attendre l'occasion de couronner ses vertus par un glorieux martyre.

Un jour, elle fut arrêtée; les bourreaux se jetèrent sur elle, la frappèrent si rudement avec des cailloux, qu'ils lui rompirent les mâchoires et lui brisèrent les dents; puis, l'ayant entraînée hors de la ville, ils allumèrent un grand feu, résolus de l'y jeter, si elle ne renonçait pas à Jésus-Christ. La Sainte demanda quelques moments comme pour réfléchir à ce qu'elle devait faire.

Les païens espérèrent un instant qu'elle allait reculer devant l'horrible supplice du feu. Mais Apolline, profitant de cet instant de liberté, s'échappa de leurs mains, et poussée par l'ardeur de l'amour divin qui embrasait son coeur, elle s'élança elle-même impétueusement dans le feu, au grand étonnement de ses bourreaux stupéfaits de voir une fille plus hardie et plus prompte à souffrir la mort qu'eux-mêmes à la lui faire endurer.

Son corps, comme un holocauste pur et sans tache, fut bientôt dévoré par les flammes, et son âme généreuse et pure s'envola dans les Cieux, l'an 249 de Notre-Seigneur, le 9 février. L'exemple étonnant de sainte Apolline serait répréhensible si elle avait obéi à la précipitation de la nature; mais l'Église, en l'admettant au nombre des martyrs, nous oblige à croire qu'elle obéit à l'impulsion de l'Esprit divin. Sainte Apolline a toujours été regardée par la dévotion populaire comme secourable contre le mal de dents, sans doute à cause du premier supplice qu'elle avait enduré.

Le courage de cette vierge, courant elle-même au-devant des supplices, n'est-il pas une éclatante condamnation de notre lâcheté au service de Dieu?

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Autres Fêtes du Jour
Saint Alton  Moine irlandais qui évangélisa la Bavière (VIIIe siècle)
Bienheureuse Anna Katharina Emmerick  mystique (✝ 1824)
Saint Ansbert  Bénédictin, évêque et confesseur (✝ 695)
Saint Aubert  évêque de Senlis (✝ v. 685)
Saint Braque  (✝ 576)
Saint Bravy  moine (✝ v. 590)
Saint Chamassy  (VIe siècle)
Bienheureux Giacomo Abbondo  prêtre italien (✝ 1788)
Vénérable Giuseppe Michele Ghezzi  Frère Mineur (✝ 1955)
Bienheureux Leopoldo de Alpandeire  frère capucin espagnol (✝ 1956)
Saint Maron Moine au Liban, père de l'Église maronite (✝ 410)
Saints martyrs à Alexandrie  (✝ v. 375)
Saint Miguel Cordero  frère des Écoles chrétiennes (✝ 1910)
Saint Nicéphore d'Antioch  Martyr (✝ 260)
Saint Pierre de Damas   (VIIIe siècle)
Saints Prime et Donat  martyrs (✝ 362)
Saint Raynald  moine puis évêque (✝ v. 1222)
Saint Sabin  Évêque (VIe siècle)
Saint Théliau  évêque gallois de Llandaff (✝ 560)

Bse Anna Katharina Emmerick

« Mystique du Land de Münster »

 

A

nna Katharina Emmerick naît le 8 septembre 1774, dans la communauté d'agriculteurs de Flamschen près de Coesfeld (Allemagne).

 

Elle grandit au sein d'une famille de neuf frères et sœurs. Dès sa plus tendre enfance elle dut aider aux travaux domestiques et agricoles. Elle ne fréquenta que quelques temps l'école, mais elle possédait une bonne instruction dans le domaine religieux. Très rapidement ses parents s'aperçurent de sa vocation à la prière et à la vie religieuse.

 

Elle travailla trois ans dans une grande ferme des environs, puis apprit la couture et retourna vivre chez ses parents. Elle demanda ensuite à être admise dans divers monastères, mais elle fut refusée car elle ne possédait pas de don particulier. Toutefois, les clarisses de Münster l'acceptèrent à la condition qu'elle apprenne à jouer de l'orgue. Ses parents l'autorisèrent alors à aller vivre dans la famille de l'organiste Söntgen de Coesfeld pour faire son apprentissage ; mais elle n'eut jamais la possibilité d'apprendre l'orgue, car la pauvreté de la famille la poussa à travailler afin de les aider à vivre.

 

En 1802, elle réussit finalement à entrer au monastère d'Agnetenberg, près de Dülmen, avec son amie Klara Söntgen. Elle prononça ses vœux l'année suivante, participant à la vie monastique avec ferveur, toujours prête à accomplir les travaux les plus durs que personne ne voulait faire. Mais, de 1802 à 1811, elle tomba fréquemment malade et dut supporter de grandes douleurs.

 

En 1811, le monastère d'Agnetenberg fut fermé, elle devint alors domestique chez l'abbé Lambert, un prêtre qui avait fui la Révolution française et qui vivait à Dülmen. Mais elle tomba à nouveau malade et ne quitta plus son lit. Elle fit alors venir sa plus jeune sœur qui, sous sa direction, s'occupait de la maison.

 

C'est au cours de cette période qu'elle reçut les stigmates. Ce fait ne pouvait pas rester caché ; le docteur Franz Wesener l'examina et en resta profondément impressionné, devenant son ami fidèle au cours des années qui suivirent.

 

Une caractéristique de sa personnalité était l'amour qu'elle éprouvait pour son prochain. Elle cherchait toujours à aider les autres, même sans pouvoir se lever de son lit, où elle cousait des vêtements pour les enfants pauvres. De nombreuses personnalités, qui participaient au mouvement de renouveau de l'Église au début du XIX siècle, cherchèrent à la rencontrer.

 

La rencontre avec Clemens Brentano (poète et écrivain allemand) fut particulièrement significative. A partir de 1818, il lui rendit visite chaque jour pendant cinq ans, dessinant ses visions qu'il publia ensuite. Au cours de l'été 1823, la santé d'Anna Katharina déclina et, la mort approchant, elle décida d'unir sa souffrance à celle de Jésus, en l'offrant pour la rédemption des hommes.

 

Elle meurt le 9 février 1824.

 

La vie d'Anna Katharina fut caractérisée par une profonde union avec le Christ ; les stigmates qu'elle portait en furent la preuve. Elle éprouva également une profonde dévotion à l'égard de Marie. À travers la foi et l'amour elle servit l'œuvre de la rédemption, disant à ce propos : « J'ai toujours considéré le service au prochain comme la plus haute vertu. Dans ma jeunesse, j'ai prié Dieu afin qu'il veuille bien me donner la force de servir mon prochain et d'être utile. A présent je sais qu'il a exaucé ma prière. »

 

Anna Katharina Emmerick a été béatifiée le 3 octobre 2004, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

Bx Jacques Abbondo

Bx Jacques Abbondo

prêtre diocésain († 1788)

Fête le 9 Février

Bx Giacomo Abbondo
Prêtre diocésain (1720-1788)

G

iacomo Abbondo naît a Salomino, fraction de Tronzano Vercellese (commune de la province de Vercelli dans le Piémont en Italie)le 27 août 1720.

Ordonné prêtre le 21 mars 1744, il poursuit des études de littérature à l'université de Turin. Il devient d'abord professeur, enseignant à Verceil.

En 1757, il est choisi pour être le curé de la paroisse de Tronzano Vercellese, sa paroisse natale. Il y est connu pour ses talents de prédicateur et pour sa dynamique pastorale, organisant des missions, des retraites, passant des heures au confessionnal. Il se dévoue particulièrement pour la jeunesse et exprime son service aux nécessiteux.
Toujours disponible à l'égard de ses paroissiens, proche des enfants et des jeunes, il laisse l'image d'un excellent curé de campagne parcourant tous les lieux de sa paroisse même les plus éloignés.

Il mourut saintement le 9 février 1788 laissant un souvenir respecté par tous.

Béatification et canonisation
2003 : ouverture de la cause en béatification et canonisation.
9 mai 2014 : le pape François lui attribue le titre de vénérable.
5 mai 2015 : le Saint-Père (Jorge Mario Bergoglio, 2013) reconnaît un miracle obtenu par son intercession et signe le décret de béatification.
11 juin 2016 : cérémonie de béatification célébrée à Verceil, au nom du Saint-Père, par le card. Angelo Amato s.d.b., préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints.

 

Saint Théliau

évêque gallois de Llandaff (✝ 560)

Téliau, Télio ou Thélio.
On l'honore en Angleterre, à Dol-de-Bretagne et dans une petite localité des Côtes d'Armor. On ne sait rien de plus de cet évêque du Pays-de-Galles. La Bretagne garde pieusement sa mémoire dans bien des paroisses dont il est le titulaire de l'église sinon de la localité. Saint Thélo-22460.
"Théleau est né dans le pays de Galles. Comme la peste désolait son pays, il se réfugia auprès de saint Samson, à Dol. De retour en Cambrie, il fonde le monastère de Llandeilo-Fawr dans le Dyfed. D'après sa Vie galloise, il aurait occupé le siège épiscopal de Llandaf. Il est mort vers 560 dans son monastère de Llandeilo. Bien qu'il n'ait pas vécu en basse Bretagne, il y fut vénéré..." (diocèse de Quimper et Léon - Saint Théléau)
"Saint-Thélo tire son nom de Thélo ou Théliau, un saint gallois, évêque de Landaff (au pays de Galles). Son père s'appelle Ensic et sa mère s'appelle Guenhaff. Thélo vient au monde vers l'année 485 (dans la partie méridionale de l'Angleterre, près de la ville de Monmouth) et accoste à Dol (Ille-et-Vilaine) où il est accueilli vers 549 par l'évêque Samson. Sa mort est assez communément fixée aux années 560 ou 565. A noter qu'il avait été sacré évêque de Landaff, pour remplacer son maître, saint Dubrice, l'année 520 et il est remplacé sur le siège de Landaff par son neveu saint Oudocée." (source 
infobretagne.com)Saint Théleau
Pour les prénoms: Telo - Tella
Les prénoms "Tilio - Tlio - Téliau - Théliau" proviennent de Teilo, nom de l'évêque de Llandaff au VIe siècle, métropole de Cambrie, successeur de saint Dubrice (Dyfrig).

(source: les prénoms bretons)
* Teilo est un dérivé hypocoristique de Eliud (to-eliud) qui signifie "oint de Dieu". Son orthographe armoricaine a connu beaucoup de variations: on écrira en breton Telo et en français Thélo, Théleau, Téliau, Théliau. Les Gallois conserveront quant à eux l'orthographe unique de Teilo.
Il est le saint Patron de Landeleau, de Leuhan (29), de Saint-Thélo (22) et de Montertelot (56), des villes galloises de Llandaff, Llandeilo, Penalun...
* Il est fêté le 9 février dans ses paroisses et patronne chaque année, à la Pentecôte, la célèbre 
troménie de Landeleau (illustration), où ses reliques sont portées en procession tout autour de la paroisse.
Voir aussi le document d'un fidèle internaute - Saint Théleau, évêque fondateur - fichier en pdf.

Évêque et abbé du monastère de Llandaff, dont de nombreuses églises aussi bien au Pays-de-Galles qu'en Cornouailles et en Armorique célèbrent les éminents travaux.

Martyrologe romain

Saint Miguel Cordero

frère des Écoles chrétiennes (✝ 1910)

Il naquit en Equateur, à Cuenca, en 1854. Lorsque les Frères des Ecoles chrétiennes s'établirent en Amérique du Sud, ils commencèrent par l'Equateur. Après avoir été leur élève, Miguel sollicita d'être admis dans l'Institut. Il fut le premier sud-américain à y entrer. Il enseigna à Quito pendant quarante ans, composant des manuels scolaires qui sont devenus et sont encore des classiques dans tous les pays de langue espagnole.
Chassé de sa patrie par des gouvernants anticléricaux, il séjourna à Paris puis en Belgique et enfin en Espagne.
Lorsqu'éclata la révolution espagnole de 1930, ses reliques furent renvoyées en Equateur et reçues en triomphe. Un imposant monument les accueillit auprès de Quito.
Canonisé le 21 octobre 1984 (homélie en italien, biographie en italien [en espagnol], affiche de sa canonisation sur le site du Vatican).
À Premia de Mar, près de Barcelone en Catalogne, l'an 1910, saint Michel (François Febres Cordero), frère des Écoles chrétiennes, qui promut l'étude des lettres pendant près de quarante ans à Cuenca en Équateur, et, retiré en Espagne, s'appliqua avec simplicité à la parfaite observance de la Règle.

Martyrologe romain

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