Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
10 Mars 2020
Les laudes du mardi 10 mars 2020
Les laudes en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Pour suivre l'office avec les textes du jour, rendez-vous sur http://tv.fmnd.org .
Aujourd’hui, ne fermons pas notre cœur, mais écoutons la voix du Seigneur.
Venez, exultons pour le Seigneur,
jubilons en Dieu notre salut,
présentons-nous devant Lui en l’acclamant,
avec des psaumes, chantons notre joie.
Car le Seigneur est le grand Dieu,
le grand Roi au-dessus de tous les dieux,
en sa main sont les gouffres de la terre,
et les sommets des montagnes sont à Lui.
À Lui, la mer, c’est Lui qui l’a faite,
et ses mains ont façonné la terre ferme.
Venez, adorons-Le, prosternons-nous,
à genoux devant le Seigneur qui nous a faits.
Car c’est Lui notre Dieu
et nous, le peuple de son pâturage,
et les brebis guidées par sa main.
Aujourd'hui écoutez donc sa voix,
n'endurcissez pas vos cœurs comme à Mériba,
comme au jour de Massa dans le désert,
où vos pères m'ont tenté et éprouvé
alors qu'ils avaient vu mes œuvres.
Quarante ans cette génération m'a irrité,
et j'ai dit : c'est un peuple au cœur égaré ;
ces gens-là n'ont pas connu mes chemins
c'est pourquoi j'ai juré dans ma colère :
ils n'entreront pas dans mon repos.
Rendons gloire au Père Tout-Puissant,
à son Fils Jésus-Christ, le Seigneur,
à l'Esprit qui habite en nos cœurs,
pour les siècles des siècles. Amen.
Envoie ta lumière et ta vérité : qu’elles guident mes pas !
1 Rends-moi justice, ô mon Dieu, défends ma cause
contre un peuple sans foi ; *
de l'homme qui ruse et trahit,
libère-moi.
2 C'est toi, Dieu, ma forteresse :
pourquoi me rejeter ? *
Pourquoi vais-je assombri,
pressé par l'ennemi ?
3 Envoie ta lumière et ta vérité :
qu'elles guident mes pas *
et me conduisent à ta montagne sainte,
jusqu'en ta demeure.
4 J'avancerai jusqu'à l'autel de Dieu,
vers Dieu qui est toute ma joie ; *
je te rendrai grâce avec ma harpe,
Dieu, mon Dieu !
R/ 5 Pourquoi te désoler, ô mon âme,
et gémir sur moi ? *
Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce :
il est mon sauveur et mon Dieu !
Le Seigneur n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants.
10 Je disais : Au milieu de mes jours,
je m'en vais ; *
j'ai ma place entre les morts
pour la fin de mes années.
11 Je disais : Je ne verrai pas le Seigneur
sur la terre des vivants, *
plus un visage d'homme
parmi les habitants du monde !
12 Ma demeure m'est enlevée, arrachée,
comme une tente de berger. *
Tel un tisserand, j'ai dévidé ma vie :
le fil est tranché.
Du jour à la nuit, tu m'achèves ;
13 j'ai crié jusqu'au matin. *
Comme un lion, il a broyé tous mes os.
Du jour à la nuit, tu m'achèves.
14 Comme l'hirondelle, je crie ;
je gémis comme la colombe. *
À regarder là-haut, mes yeux faiblissent :
Seigneur, je défaille ! Sois mon soutien !
15 Que lui dirai-je pour qu'il me réponde,
à lui qui agit ? *
J'irais, errant au long de mes années
avec mon amertume ?
17 Oui, tu me guériras, tu me feras vivre : *
mon amertume amère me conduit à la paix.
Et toi, tu t'es attaché à mon âme,
tu me tires du néant de l'abîme. *
Tu as jeté, loin derrière toi,
tous mes péchés.
18 La mort ne peut te rendre grâce,
ni le séjour des morts, te louer, *
Ils n'espèrent plus ta fidélité,
ceux qui descendent dans la fosse.
19 Le vivant, le vivant, lui, te rend grâce,
comme moi, aujourd'hui. *
Et le père à ses enfants
montrera ta fidélité.
20 Seigneur, viens me sauver ! +
Et nous jouerons sur nos cithares,
tous les jours de notre vie, *
auprès de la maison du Seigneur.
Nos fautes sont plus fortes que nous, mais toi, tu les pardonnes.
R/ Guéris-moi, Dieu très saint,
* Car j’ai péché contre toi.
V/ Prends pitié de moi, relève-moi. *
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit. R/
Un seul est votre maître, celui qui est aux cieux : le Christ, le Seigneur.
Béni soit le Seigneur, le Dieu d'Israël, *
qui a visité et racheté son peuple !
Il nous a suscité une force de salut *
dans la maison de David, son serviteur,
comme il l’avait dit par la bouche des Saints *
par ses prophètes, depuis les temps anciens,
salut qui nous arrache à nos ennemis, *
à la main de tous ceux qui nous haïssent,
miséricorde qu’Il montre envers nos pères, *
mémoire de son alliance sainte,
serment juré à notre père Abraham *
de nous accorder que sans crainte
délivrés de la main de nos ennemis +
nous le servions dans la sainteté et la justice, *
en sa présence tout au long de nos jours.
Et toi, petit enfant, tu seras appelé *
prophète du Très Haut :
Tu marcheras devant, à la face du Seigneur, *
et tu prépareras ses chemins
pour donner à son peuple la science du salut *
en la rémission de ses péchés ;
grâce à la miséricorde du Cœur de notre Dieu, *
l’Astre levant venu d’en Haut nous a visités,
pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres +
et l’ombre de la mort, *
pour conduire nos pas au chemin de la paix.
Entends le cri des hommes monter vers toi, Seigneur.
Écoute ceux qui souffrent dans leur corps ou leur esprit, ceux qui ont perdu toute espérance.
Soutiens ceux qui partagent la détresse de leurs frères et s’efforcent de servir.
Regarde ceux qui luttent pour le respect des personnes et les droits du pauvre.
Travaille avec les artisans de paix qui préparent la venue de ton Règne.
Avec une inlassable bonté, Seigneur, veille sur ton Église ; et puisque sans toi l’homme s’égare, soutiens-le toujours pour qu’il se détourne du mal et se dirige vers le salut.
Seigneur Jésus,
Apprenez-nous à être généreux,
A vous servir comme vous le méritez,
A donner sans compter,
A combattre sans souci des blessures,
A travailler sans chercher le repos,
A nous dépenser sans attendre d'autre récompense
Que celle de savoir
Que nous faisons votre Sainte Volonté.
Amen.