Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
20 Avril 2020
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
Saint Siège
ou Ode.
Née dans une illustre famille du Brabant, en Belgique, ses parents voulurent la marier malgré elle. Traînée devant l'autel, elle répondit au prêtre "Non, pas du tout" au moment de déclarer si elle consentait à prendre pour époux le chevalier Simon que ses parents lui destinaient.
(Une internaute nous signale qu'à la question habituelle : "Voulez-vous prendre pour époux ..." elle ne se contenta pas de dire seulement :"non, pas du tout", mais ceci : "Puisque vous cherchez avec tant de sollicitude à savoir si je suis disposée à accepter ce jeune seigneur pour époux, apprenez que je ne veux accepter ni lui, ni un autre; mon amour et ma foi sont engagés à Jésus Christ".)
Pour éviter tous les autres prétendants attirés par sa beauté, elle se coupa le nez, entra chez les religieuses de Prémontré, au couvent de Bonne-Espérance, à Rivroelles ou Rivreuilles en Belgique, dont elle devint la prieure. C'est là qu'elle meurt, à moins de vingt-cinq ans.
Venant de Syrie Anicet, élu pape en 155, tient à l’harmonisation de la date de Pâques, différente en Orient et en Occident: à ce titre, il invite à Rome l’évêque de Smyrne, Polycarpe. Les deux se quittent à l’amiable, mais la question reste ouverte. Il mourut en 166 à l’époque de Marc Aurèle.
De noble famille, Agnès rejoint la communauté des vierges appelées “Sœurs du Sac” à l’âge de 9 ans; à 15 ans, elle est supérieure du monastère fondé à Procena. De retour à Montepulciano, en 1306 elle fonda le monastère dominicain de Santa Maria Novella. Elle est canonisée par Benoît XIII en 1726.
Sainte Agnès de Montepulciano
Abbesse dominicaine
A |
gnès (dans le siècle Agnese Segni) naît à Gracciano, près de Montepulciano (Toscane), le 28 janvier 1268, de parents suffisamment fortunés et très bons chrétiens.
À 4 ans, à l'âge où les enfants ne savent que jouer, Agnès cherchait la solitude pour mieux prier ; à 9 ans, à l'âge où déjà les parents fiançaient leur fille, elle obtient de ses parents d'entrer chez les Religieuses du Sac à Montepulciano pour être à son Bien-Aimé. Désormais, sa vie ne sera plus qu'une continuelle oraison.
À 17 ans elle dirige la construction du couvent à Procena, où par le bref pontifical elle devient abbesse ; à 32 ans elle revient à Montepulciano pour y fonder un couvent de Sœurs Dominicaines, où elle sera prieure.
Agnès est avant tout une âme contemplative. Pour elle, Dieu c'est le Bien-Aimé : elle lui manifeste une amitié sans réserve, une tendresse sans limite, une confiance sans borne. Il la comble de faveurs extraordinaires, répond avec empressement à ses désirs et satisfait même ses moindres caprices. Aussi la représente-t-on caressant l'Agneau de Dieu qu'elle tient dans ses bras et dont elle porte le nom.
Un jour qu'elle fut longtemps ravie en extase, l'heure de la Messe passa sans qu'elle ne s'en aperçût. Revenue à elle-même, elle se mit à pleurer de ne pouvoir ce matin-là recevoir son Bien-Aimé. Jésus lui envoie alors porter la Sainte Communion par l'Ange qui l'avait assisté dans son agonie. C'est encore cet Ange qui viendra lui annoncer les souffrances et la mort qu'elle aura à endurer : « Prends ce calice, ô bien-aimée du Christ, lui dira-t-il, bois comme lui jusqu'à la lie ». Elle prendra la coupe, et la videra, lui semble-t-il, tout entière.
La vie s'en allait, et les religieuses, la voyant mourir, la suppliaient de demander sa guérison. « Si vous m'aimiez vraiment, leur répondit-elle, vous vous réjouiriez de ma mort, puisque je m'en vais auprès de mon Bien-Aimé. Je vous serai plus utile au Paradis qu'ici ; ayez confiance, je serai toujours avec vous ». Quelques instants après, levant les yeux et les mains vers le Ciel, elle dit avec un sourire ravissant cette dernière parole : « Mon Bien-Aimé est à moi, je ne le quitterai plus ».
Elle meurt le 20 avril 1317, à l'âge de 49 ans. Son corps, miraculeusement préservé de la corruption du tombeau, repose au Couvent des Dominicaines de Montepulciano.
Agnès de Montepulciano fut canonisée le 12 mai 1726 par Benoît XIII (Pietro Francesco Orsini, 1724-1730).
Bx Michel Coquelet
Prêtre OMI et martyr
(*Wignehies, France, 18 août 1931 - † Sop Xieng, Laos, 20 avril 1961)
M |
ichel Coquelet naît le 18 août 1931 à Wignehies, dans l’archidiocèse de Cambrai en France. Il grandira dans le diocèse d’Orléans, puis retourne dans son diocèse d’origine pour achever ses études au Petit Séminaire de Solesmes. En 1948, il est
admis au noviciat des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée à La Brosse-Montceaux, puis au scolasticat de Solignac. De son service militaire aux confins du Sahara, il rapporte une véritable passion pour le soin des malades.
Ordonné prêtre le 19 février 1956, il est envoyé l’année suivante à la Mission du Laos. Ses quatre années d’apostolat furent une dure épreuve : dans la montagne, il fut affecté à des villages de néophytes dont la formation chrétienne laissait fort à désirer. Le journal de la mission montre sa souffrance de missionnaire, mais aussi son grand esprit de foi, teinté d’un humour qui était un des traits attachants de son caractère. Il se fit tout à tous, avec le souci d’aller vers les plus pauvres, de visiter les villages, de soigner les malades, et surtout d’annoncer l’Evangile…
Le 20 avril 1961, il est en tournée au service des malades. Les soldats de la rébellion lui tendent un guet-apens à Ban Sop Xieng. Il est tué au bord de la route. Son corps sera jeté dans le torrent, qui irrigue cette terre laotienne où il avait semé avec patience et amour la Parole de Dieu. Ses ‘Kmhmu’ ne l’ont jamais oublié.
Michel Coquelet fait partie des 17 martyrs béatifiés, en un seul groupe, à Vientiane, capitale du Laos, le 11 décembre 2016. Cette célébration a été présidée par le cardinal philippin Orlando Quevedo, oblat de Marie Immaculée (OMI) et archevêque de Cotabato, envoyé au Laos comme représentant personnel du pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013-).
. En avril-mai 1961, dans la province de Xieng Khouang, les PP. Louis Leroy, Michel Coquelet et Vincent L’Hénoret sont cueillis à leur poste et abattus sans procès. De même dans le sud du pays, le P. Noël Tenaud et son fidèle catéchiste Outhay sont pris et exécutés ; le P. Marcel Denis sera retenu prisonnier quelque temps mais partagera le même sort. Un de leur confrères écrit : « Ils ont été, tous, d’admirables missionnaires, prêts à tous les sacrifices, vivant très pauvrement, avec un dévouement sans limite. En cette période troublée, nous avions tous, chacun plus ou moins, le désir du martyre, de donner toute notre vie pour le Christ. Nous n’avions pas peur d’exposer nos vies ; nous avions tous le souci d’aller vers les plus pauvres, de visiter les villages, de soigner les malades, et surtout d’annoncer l’Evangile… »