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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Nous servons le démon il nous violente et ou nous sollicite ; c’est par la foi en Jésus que nous sommes victorieux de ces attaques

PREMIÈRE LECTURE
« Dieu a envoyé son ange et délivré ses serviteurs » (Dn 3, 14-20.91-92.95)

En ces jours-là,
    le roi Nabucodonosor parla ainsi :
« Est-il vrai, Sidrac, Misac et Abdénago,
que vous refusez de servir mes dieux
et d’adorer la statue d’or que j’ai fait ériger ?
    Êtes-vous prêts, maintenant, à vous prosterner
pour adorer la statue que j’ai faite,
quand vous entendrez le son du cor, de la flûte, de la cithare,
de la harpe, de la lyre, de la cornemuse
et de toutes les sortes d’instruments ?
Si vous n’adorez pas cette statue,
vous serez immédiatement jetés dans la fournaise de feu ardent ;
et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? »
    Sidrac, Misac et Abdénago dirent au roi Nabucodonosor :
« Ce n’est pas à nous de te répondre.
    Si notre Dieu, que nous servons, peut nous délivrer,
il nous délivrera de la fournaise de feu ardent et de ta main, ô roi.
    Et même s’il ne le fait pas,
sois-en bien sûr, ô roi :
nous ne servirons pas tes dieux,
nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as érigée. »
    Alors Nabucodonosor fut rempli de fureur
contre Sidrac, Misac et Abdénago,
et son visage s’altéra.
Il ordonna de chauffer la fournaise
sept fois plus qu’à l’ordinaire.
    Puis il ordonna aux plus vigoureux de ses soldats
de ligoter Sidrac, Misac et Abdénago
et de les jeter dans la fournaise de feu ardent.

    Le roi Nabucodonosor les entendit chanter.
Stupéfait, il se leva précipitamment
et dit à ses conseillers :
« Nous avons bien jeté trois hommes, ligotés,
au milieu du feu ? »
Ils répondirent :
« Assurément, ô roi. »
    Il reprit :
« Eh bien moi, je vois quatre hommes
qui se promènent librement au milieu du feu,
ils sont parfaitement indemnes,
et le quatrième ressemble à un être divin. »
    Et Nabucodonosor s’écria :
« Béni soit le Dieu de Sidrac, Misac et Abdénago,
qui a envoyé son ange et délivré ses serviteurs !
Ils ont mis leur confiance en lui,
et ils ont désobéi à l’ordre du roi ;
ils ont livré leur corps
plutôt que de servir et d’adorer
un autre dieu que leur Dieu. »

            – Parole du Seigneur.

PSAUME
(Dn 3, 52, 53, 54, 55, 56)
R/

À toi, louange et gloire éternellement !

Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de nos pères : R/

Béni soit le nom très saint de ta gloire : R/

Béni sois-tu dans ton saint temple de gloire : R/

Béni sois-tu sur le trône de ton règne : R/

Béni sois-tu, toi qui sondes les abîmes : R/

Toi qui sièges au-dessus des Kéroubim : R/

Béni sois-tu au firmament, dans le ciel : R/

ÉVANGILE
« Si le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres » (Jn 8, 31-42)

En ce temps-là,
    Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui :
« Si vous demeurez fidèles à ma parole,
vous êtes vraiment mes disciples ;
    alors vous connaîtrez la vérité,
et la vérité vous rendra libres. »
    Ils lui répliquèrent :
« Nous sommes la descendance d’Abraham,
et nous n’avons jamais été les esclaves de personne.
Comment peux-tu dire :
“Vous deviendrez libres” ? »
    Jésus leur répondit :
« Amen, amen, je vous le dis :
qui commet le péché
est esclave du péché.
    L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ;
le fils, lui, y demeure pour toujours.
    Si donc le Fils vous rend libres,
réellement vous serez libres.
    Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham,
et pourtant vous cherchez à me tuer,
parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous.
    Je dis ce que moi, j’ai vu
auprès de mon Père,
et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu
chez votre père. »
    Ils lui répliquèrent :
« Notre père, c’est Abraham. »
Jésus leur dit :
« Si vous étiez les enfants d’Abraham,
vous feriez les œuvres d’Abraham.
    Mais maintenant, vous cherchez à me tuer,
moi, un homme qui vous ai dit la vérité
que j’ai entendue de Dieu.
Cela, Abraham ne l’a pas fait.
            Vous, vous faites les œuvres de votre père. »
Ils lui dirent :
« Nous ne sommes pas nés de la prostitution !
Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu. »
    Jésus leur dit :
« Si Dieu était votre Père,
vous m’aimeriez,
car moi, c’est de Dieu que je suis sorti
et que je viens.
Je ne suis pas venu de moi-même ;
c’est lui qui m’a envoyé. »

            – Acclamons la Parole de Dieu.

CONSÉCRATION À NOTRE-DAME DES NEIGES

Ô Notre-Dame,
nous nous confions en vous,
en votre obédience bénie
et en votre garde très spéciale.
Aujourd’hui et chaque jour
nous vous confions nos âmes et nos corps ;
nous vous confions tout notre espoir
et toute notre consolation ;
toutes nos angoisses et nos misères ;
notre vie et la fin de notre vie,
pour que par votre très sainte intercession
et par vos mérites,
toutes nos actions soient dirigées et disposées
selon votre volonté
et celle de votre Fils. Amen.

Je suis venu pour rendre témoignage

Pour Jésus, la vérité réside bien dans sa parole, et refuser de l'écouter entraîne l'homme dans le mensonge et l'esclavage de ses propres désirs et de ceux du démon.

Jésus leur dit : « Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car moi, c'est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c'est lui qui m'a envoyé. »
 

Méditation de l'évangile du mercredi 1er avril

Pour Jésus, c'est la foi en Lui et en sa parole qui nous libère. Car la vérité libère l'homme et sa parole nous apporte la vérité essentielle.

« Je suis venu pour rendre témoignage à la vérité »

Jésus disait donc aux juifs qui avaient cru en Lui : ” si vous demeurez en ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, et vous connaîtrez la vérité et la vérité vous libèrera”

Le péché, c'est toujours de refuser la vérité et de devenir esclaves de nos désirs, malgré la vérité que nous connaissons fort bien mais que nous refusons.

« Il lui répondirent : nous sommes la postérité d'Abraham. Et de personne nous n'avons été esclaves, jamais. Comment peux-tu nous dire : vous deviendrez libres ? »

Jésus affirme de nouveau que c'est Lui qui nous apporte la liberté. Jésus leur répondit :

« En vérité, en vérité, Je vous dis que quiconque commet le péché en est esclave. Or l'esclave ne demeure pas à la maison à jamais ; le fils y demeure à jamais. Si donc le Fils vous donne la liberté, vous serez réellement libres. Je sais bien que vous êtes la postérité d'Abraham ; mais vous cherchez à me faire mourir parce que ma parole ne pénètre pas en vous ».

Ne pouvant admettre ses paroles et pour s'opposer de toute leur violence à cette personnalité si grande qui les écrase, les ennemis de Jésus ne trouvent qu'un moyen pour s'opposer à Lui : le tuer.

Et malgré cela, Jésus, avec une grandeur d'esprit et un grand courage, va redire à ses interlocuteurs que ce sont bien ses paroles qui libèrent l'homme. Ils ne les refusent que parce qu'ils ont le diable pour père, le diable, père du mensonge, qui les enferme dans un esclavage qui les conduit à la jalousie, à la haine et à l'homicide.

Les juifs lui dirent : Nous ne sommes pas nés d'une prostitution ; nous n'avons qu'un Père : Dieu. ” Jésus leur dit : si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est Lui qui m'a envoyé. Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez pas entendre ma parole

Pour Jésus, la vérité réside bien dans sa parole, et refuser de l'écouter entraîne l'homme dans le mensonge et l'esclavage de ses propres désirs et de ceux du démon.

« Vous avez le diable pour père. Et ce sont les désirs de votre père que vous voulez réaliser. Celui-là était homicide dès le commencement. Il ne se tenait pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge; il parle de son fonds, parce qu'il est ami et père du mensonge. Mais Moi, parce que Je vous dis la vérité, vous ne me croyez pas ».

 

Père Gabriel

Bienheureux Columba Marmion (1858-1923)
 

abbé
 

Notre foi, victoire sur le monde

(Le Christ Idéal du Moine, éd. DDB, 1936 ; p. 133-135 ; rev.)


Vainqueurs du monde par la Parole

Par la foi, nous nous attachons au Christ, et l’édifice de notre vie surnaturelle devient, par lui, ferme et stable ; le Christ nous fait participer à la stabilité du roc divin contre lequel ne peuvent prévaloir les furies mêmes de l’enfer (Mt 16,18).

            Aussi divinement soutenus, nous sommes vainqueurs des assauts et des tentations du monde et du démon, le prince du monde (1 Jn 5,4). Le démon, et le monde dont le démon se sert comme de complice, nous violentent ou nous sollicitent ; c’est par la foi en la parole de Jésus que

nous sortons victorieux de ces attaques. (…) Le démon est « le père du mensonge et le prince des ténèbres » (cf. Ep 6,12), tandis que Dieu est « la vérité et la lumière sans ténèbres » (cf. Jn 14,6 ; 1 Jn 1,5). Si nous écoutons toujours Dieu, nous serons toujours vainqueurs. Quand Notre-Seigneur, qui est en toutes choses notre modèle, a été tenté, qu’a-t-il fait pour repousser la tentation ? À chaque invitation du malin il a opposé l’autorité de la parole de Dieu. Nous devons faire de même, et repousser les attaques de l’enfer par la foi en la parole de Jésus. (…)

            Ce qui est vrai du démon, l’est du monde : c’est par la foi que nous en sommes vainqueurs. Quand on a une foi vive dans le Christ, on ne craint ni les difficultés, ni les contradictions, ni les jugements du monde, parce qu’on sait que le Christ habite en nous par la foi et qu’on s’appuie sur lui.

Homélie du Père Gilbert Adam

"Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui : « Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »"

Ils lui répliquèrent : « Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-tu dire : “Vous deviendrez libres” ? » Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché. L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres. La parole prononcée par Jésus est efficace. Entendue, elle produit en nous un effet de conversion. Suivre Jésus, c’est affronter avec lui la situation de violence qui se vit aujourd’hui encore au sein de notre peuple. Nous ne pouvons pas invoquer la descendance d’Abraham pour nous justifier de nos ténèbres. C’est dans l’épreuve que nous démasquons les ambiguïtés et les ambivalences de ce monde. Si certains suivent Jésus, d’autres le haïssent. Les adversaires de Jésus s’acharnent contre ceux qui entourent Jésus. Nous « détectons » les ennemis de Jésus à leur haine. Au contact de Jésus, une liberté profonde est retrouvée pour ceux qui sont guéris par lui. Nous sommes concernés aujourd’hui encore. Jésus révèle aux Juifs le mystère de la vérité qu’ils ne connaissent pas ! La vérité de l’amour infini de Dieu doit prendre tout notre être. Les véritables amis de Jésus l’accompagnent dans le grand combat qu’il mène jusqu’à la croix.

« Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous. » 
Je dis ce que moi, j’ai vu auprès de mon Père, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père. » Ils lui répliquèrent : « Notre père, c’est Abraham. » Jésus leur dit : « Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham. Mais maintenant, vous cherchez à me tuer, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait. Dès lors que l’erreur nous tient dans le mensonge, nous demeurons dans les ténèbres. Nous sommes mus par nos peurs, nos intérêts propres, nous sommes ligotés et nous ne sommes pas libres. Il y a tant de manières d’adhérer aux idoles intérieures ou extérieures ! Elles empêchent Jésus de nous rejoindre et de nous purifier. Jésus dit à ses interlocuteurs leur situation de pécheurs qu’ils n’acceptent pas de reconnaître. Ce qui pourrait les sauver, ce serait de s’ouvrir à lui et de se convertir. Jésus sait qu’il n’a pas de prise sur eux. Nous demandons à Dieu la grâce de nous sortir des ténèbres et de l’enfermement. Jésus est le Fils de Dieu qui descend dans nos enfers pour venir à bout de nos ténèbres. Dès que nous venons à sa lumière, grâce à la Parole de Dieu, nous pouvons rayonner de son amour et nous devenons les témoins de la Vérité. Pour demeurer dans la lumière, il nous faut résister à tout mensonge.

"Vous, vous faites les œuvres de votre père. » Ils lui dirent : « Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu. »" 
Jésus leur dit : « Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c’est lui qui m’a envoyé. Le doute émit sur Jésus est grave : "Nous ne sommes pas nés de la prostitution !" La Vérité de Jésus travaille en nous et l’Esprit Saint nous empêche de laisser le menteur avoir prise sur nous. Etre dans la filiation de Dieu implique de se comporter en cohérence avec elle. C’est ce que Jésus vit en profondeur, il en témoignera par sa Croix. Jésus veut mettre ses adversaires dans la lumière. Il leur manifeste leur enfermement et il ouvre la possibilité d’un changement. L’Esprit Saint nous éclaire pour que nous ayons la certitude que Jésus vient nous purifier du mensonge au plus profond de notre être. Si nous passons par le feu de l’Amour, nous sommes brûlés par l’Amour ! Purifiés, nous devenons « sauveurs avec Jésus » pour être les soutiens de nos frères. Le Christ est vainqueur, il se tient en vaillant sauveur dans le cœur de tout croyant !

Nous supplions Jésus de nous donner la liberté intérieure qui vient à bout de nos incrédulités.

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