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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aus Judith et aux très Saintes âmes du 5 mai

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Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège

Bonne fête aux : Judith

Sainte Judith

Bénédictine au Disibodenberg (✝ 1260)

Jutta von Sangerhausenou Jutta von Sangerhausen.
Originaire de Thuringe et devenue précocement veuve, elle quitta son pays et sa parenté pour rejoindre son frère qui était grand maître de l'Ordre Teutonique. Elle passa le reste de sa vie près de lui, à Kulmsee*, dans l'exercice des bonnes œuvres. Elle y fonda un hôpital et un monastère.
*aujourd'hui la ville polonaise de Chlemza.
Elle est patronne de la Prusse.
Paroisse sainte Jutta, 06526 Sangerhausen - en allemand

 

Autres Fêtes du Jour
Saint Ange  Martyr à Licata (✝ 1225)
Saint Arey  Evêque de Gap (✝ v. 604)
Saint Avertin  diacre ermite en Touraine (✝ v. 1180)
Bienheureux Bienvenu Mareni  religieux de l'Ordre des Mineurs (✝ 1289)
Saint Britton  Evêque de Trèves (✝ 386)
Bienheureuse Catherine Cittadini  fondatrice de l'Institut des Ursulines de Somasque (✝ 1857)
Saint Éphrem le Nouvel Apparu  moine et martyr orthodoxe (✝ 1426)
Saint Euthyme  (Xe siècle)
Saint Euthyme  Martyr en Egypte (✝ 305)
Saint Géronce  évêque de Milan (✝ v. 470)
Saint Godard  évêque d'Hildesheim (✝ 1038)
Bienheureux Grégoire Frackowiak  religieux de la Société du Verbe divin et martyr (✝ 1943)
Saint Hilaire d'Arles  Evêque d'Arles (✝ 449)
Saint Jovinien  martyr à Auxerre (✝ v. 260)
Saint Léon  ermite en Calabre (XIIe siècle)
Saint Maurant  diacre et abbé (✝ v. 702)
Saint Maxime  Evêque de Jérusalem et martyr (✝ 350)
Saint Michée de Radonège  disciple de saint Serge (✝ 1385)
Vénérable Michel Le Nobletz  Catéchiste, théologien... diocèse de Quimper (✝ 1652)
Saint Nizier  évêque de Vienne (Ve siècle)
Saint Nunzio Sulprizio  Orphelin (✝ 1836)
Saint Sacerdos  évêque de Limoges (✝ v. 720)
Saint Serdon  évêque de Sagonte (✝ v. 560)
Sainte Waldrade  abbesse à Metz (VIIe siècle)

 

St. NUNZIO SULPRIZIO, ORPHELIN JEUNE OUVRIER À NAPLES

Nunzio Sulprizio mourut en 1836, à l’âge de 19 ans, le corps affaibli par son état de travailleur exploité, mais pas l’esprit, capable d’offrir sa souffrance à Dieu. Béatifié lors du Concile Vatican II par Paul VI, il a été canonisé par François durant le Synode sur les Jeunes.  

"Soyez toujours avec le Seigneur, parce que tout bien vient de lui. Souffrez pour l’amour de Dieu et avec joie”.

Peu sont les années de sérénité dans la vie très courte de ce Saint. Nunzio est né dans les Abruzzes et dès l’âge de six ans, il est orphelin de mère et de père. Confiée à sa bien-aimée grand-mère maternelle, avec elle il apprend à aller à la messe et à connaître Jésus, mûrissant intérieurement un fort désir de lui ressembler davantage. Quand, à l’âge de neuf ans sa grand-mère meurt, il est exaucé : l’oncle à qui il est confié, en effet, le force à travailler dans son atelier de forgeron-ferrailleur, largement inadapté pour un enfant de cet âge : c’est là que la vie de Nunzio commence à imiter le chemin douloureux de Jésus vers la croix.

Jeune ouvrier, orphelin et exploité

Charges lourdes à transporter, de longues distances à parcourir à parcourir à pied avec du soleil, de la pluie, du vent ou de la neige, mais surtout avec les mêmes vêtements à chaque saison. Nunzio, cependant, ne se plaint pas: il pense à Jésus et commence à offrir ses efforts pour racheter les péchés du monde et pour "gagner le paradis". Un jour, pourtant, une blessure au pied se gangrène. L’oncle n’a aucune pitié, pas plus que les villageois qui lui interdisent d’utiliser la source du pays pour se soigner, de peur qu’il ne l’infecte. Nunzio trouve donc un filet d’eau à Riparossa, aujourd’hui considéré comme une source miraculeuse, où il passe beaucoup de temps dans la récitation du Rosaire.

Parmi les "Incurables" à Naples

En 1831, en raison de sa santé précaire, il fait face à une première hospitalisation à L’Aquila et il s’y fait connaître par tous les patients hospitalisés pour sa foi, pour les œuvres de charité envers les autres malades et pour les notions de catéchisme transmises aux enfants. Un autre oncle apprend sa situation et le présente au colonel Felice Wochinger, un soldat haut gradé de Naples qui l’affectionne et lui fait suivre tous les soins possibles pour sa maladie osseuse, jusqu’au cures thermales à Ischia. Il restera longtemps à l’hôpital des Incurables à Naples, où finalement il reçut Jésus Eucharistie pour la première fois.

La rencontre avec Wochinger, un second père

Pendant un certain temps, Nunzio ira mieux. A sa sortie de l’hôpital, il s’installe chez le colonel, qui vit à Naples à Maschio Angioino, utilisé comme une caserne. Entre les deux s’instaure une belle relation père-fils, permettant à Nunzio d’approfondir sa foi. Il pense à la consécration, mais en attendant de devenir assez grand, son confesseur approuve pour lui une règle de vie qu’il suit scrupuleusement et qui prévoit de longues heures de prière, de méditation et d’étude, outre la messe le matin et le Rosaire le soir. Cette période de sérénité, cependant, est interrompue par l’exacerbation de la maladie et le diagnostic que pour Nunzio est une condamnation à mort: il s’agit d’un cancer des os.

La vocation à la souffrance

Nunzio se montre fort, jusqu’à la fin. Il console le colonel - qu’il appelle maintenant "mon papa" - avec la certitude de la promesse que les deux seront un jour en mesure de s’embrasser de nouveau au ciel. Nous sommes en 1836 et la situation est désormais désespérée : Nunzio souffre des très fortes fièvres qu’il affronte à travers la prière et l’offrande de ses souffrances pour les conversions et pour l’Église. La mort le libéra de la douleur le 5 mai, alors qu’il venait d’avoir 19 ans, mais non sans d’abord recevoir les sacrements. Autour de son corps, éprouvé par les plaies, se répand un incroyable parfum de roses.

Saint Pie V

Pape
(1504-1572)

Saint Pie V
Saint Pie VO.D.M. pinxit

Deux religieux dominicains cheminaient un jour à travers la Lombardie. Dans un village, ils rencontrèrent un petit pâtre nommé Michel Ghislieri, d'une noble famille ruinée par les guerres civiles. La physionomie ouverte et spirituelle de l'enfant, ses questions, ses réponses, frappèrent vivement les bons religieux, qui lui proposèrent de l'emmener pour le faire entrer dans leur Ordre. Le pâtre, joyeux, prit le temps d'aller demander la bénédiction de ses parents.

Ce jour-là, la Providence avait accompli, de la manière la plus simple, un merveilleux dessein, car cet enfant devait être l'immortel saint Pie V. Les études du jeune Michel furent brillantes; l'élève devint lui-même, à vingt ans, un professeur distingué.

Bientôt il lui fallut courber ses épaules sous la charge de supérieur, puis d'inquisiteur. C'est dans cette fonction épineuse qu'il se créa, en défendant les droits de l'Église, des ennemis implacables. Il dut aller à Rome justifier sa conduite. Ce voyage de Rome marque dans la vie du jeune religieux.

Les Dominicains du couvent de Sainte-Sabine, le voyant arriver avec un extérieur négligé, lui firent mauvais accueil; le supérieur alla même jusqu'à lui dire avec raillerie: "Que venez-vous chercher ici, mon Père? Venez-vous voir si le collège des cardinaux est disposé à vous faire Pape?" Le religieux peu charitable ne se doutait pas qu'il prédisait l'avenir.

Le cardinal Caraffa jugea autrement le jeune inquisiteur; sous cet extérieur modeste, il reconnut une grande âme destinée par Dieu à combattre vaillamment l'hérésie; et plus tard, quand il fut devenu Pape sous le nom de Paul IV, il eut hâte de donner un évêché à Michel Ghislieri, qui dut l'accepter malgré ses larmes. Dès lors on vit briller en lui toutes les vertus apostoliques, surtout l'amour des pauvres et des humbles.

Peu de temps après, l'évêque était cardinal. Il n'accepta des exigences de sa dignité que ce qu'il ne pouvait éviter; son palais ressemblait à un couvent, sa vie à celle d'un moine. Jamais plus grande violence ne lui fut faite que quand on lui imposa de force la charge du souverain pontificat. Il prit le nom de Pie V.

Peu de Papes ont vu autour d'eux le rayonnement de plus grands Saints et de plus grands hommes; c'était le temps où vivaient les saint Jean l'Aumônier, les saint Thomas de Villeneuve, les saint Jean de Dieu, les saint Jean de la Croix, les sainte Thérèse, les saint François de Borgia, Louis de Gonzague, Stanislas Kostka, saint Charles Borromée.

Le grand événement de son règne fut la victoire de Lépante, dont il eut la révélation à l'heure même où elle fut remportée.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Avertin

diacre ermite en Touraine (✝ v. 1180)
Saint Thaumaturge
invoqué pour les migraines et les vertiges

Avertin, nom francisé d'Aberdeen.
Disciple de saint Thomas de Cantorbery, ou Thomas Beckett, il accompagna son évêque lors de son exil en France. Après le martyre de saint Thomas, saint Avertin revint en France et se fixa en Touraine pour y vivre la vie érémitique.
Les habitants de la région eurent recours à sa prière et à ses conseils. Ils l'entourèrent d'une telle vénération qu'après sa mort ils donnèrent son nom à leur localité : Saint Avertin -37550.
Le diocèse de Tours le fête le 15 mai.
"En 1162, le moine Aberdeen (Avertin par déformation) accompagne à Tours Thomas Beckett, archevêque de Cantorbery, pour assister à un concile. Après l'assassinat de ce dernier, quelques années plus tard, Avertin revient en Touraine et décide de vivre en ermite dans les bois de Cangé. De toutes parts, on vient alors le consulter pour des migraines et autres afflictions. Cédant aux prières des habitants, il deviendra le premier curé de la paroisse. La ville prendra son nom en 1371." (source ville de Saint-Avertin)
Une internaute nous signale le site internet qu'elle a consacré à ce personnage: Bienvenue à la rencontre de saint Avertin!.
À Venzay en Tourraine, l'an 1189, saint Avertin, diacre, qui suivit en exil saint Thomas Becket et, après le meurtre de son évêque, retourna à Tours et mena la vie érémitique près de Venzay. (5 mai au martyrologe romain)

 

Bienheureux Grégoire Frackowiak

religieux de la Société du Verbe divin et martyr (✝ 1943)

Sous l'occupation nazie de la Pologne, il s'offrit à la place de compatriotes, comme s'il était responsable de tracts invitant à la résistance. Il fut arrêté, jeté en prison et décapité à Dresde en Allemagne. Béatifié en 1999.
Audience du pape
 Jean-Paul II aux participants au chapitre général de la Société du Verbe Divin, le 30 juin 2000:
"De cette Société provinrent des hommes comme... le Frère Grzegorz Frackowiak... qui ont rendu gloire à Dieu à travers le sacrifice suprême de leur vie."
À Dresde en Allemagne, l'an 1943, le bienheureux Grégoire Frackowiak, religieux de la Société du Verbe divin et martyr. Sous l'occupation nazie de la Pologne, il s'offrit à la place de compatriotes, comme s'il était responsable de tracts invitant à la résistance. Il fut arrêté, jeté en prison et décapité.

Martyrologe romain

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