Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
28 Juin 2020
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Congrégation FMND messe et Procession du St Sacrement
Un jour, le prophète Élisée passait à Sunam ;
une femme riche de ce pays
insista pour qu’il vienne manger chez elle.
Depuis, chaque fois qu’il passait par là,
il allait manger chez elle.
Elle dit à son mari :
« Écoute, je sais que celui qui s’arrête toujours chez nous
est un saint homme de Dieu.
Faisons-lui une petite chambre sur la terrasse ;
nous y mettrons un lit, une table, un siège et une lampe,
et quand il viendra chez nous, il pourra s’y retirer. »
Le jour où il revint,
il se retira dans cette chambre pour y coucher.
Puis il dit à son serviteur :
« Que peut-on faire pour cette femme ? »
Le serviteur répondit :
« Hélas, elle n’a pas de fils,
et son mari est âgé. »
Élisée lui dit :
« Appelle-la. »
Le serviteur l’appela et elle se présenta à la porte.
Élisée lui dit :
« À cette même époque,
au temps fixé pour la naissance,
tu tiendras un fils dans tes bras. »
– Parole du Seigneur.
Ton amour, Seigneur,
sans fin je le chante !
L’amour du Seigneur, sans fin je le chante ;
ta fidélité, je l’annonce d’âge en âge.
Je le dis : C’est un amour bâti pour toujours ;
ta fidélité est plus stable que les cieux.
Heureux le peuple qui connaît l’ovation !
Seigneur, il marche à la lumière de ta face ;
tout le jour, à ton nom il danse de joie,
fier de ton juste pouvoir.
Tu es sa force éclatante ;
ta grâce accroît notre vigueur.
Oui, notre roi est au Seigneur ;
notre bouclier, au Dieu saint d’Israël.
Frères,
ne le savez-vous pas ?
Nous tous qui par le baptême avons été unis au Christ Jésus,
c’est à sa mort que nous avons été unis par le baptême.
Si donc, par le baptême qui nous unit à sa mort,
nous avons été mis au tombeau avec lui,
c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi,
comme le Christ qui, par la toute-puissance du Père,
est ressuscité d’entre les morts.
Et si nous sommes passés par la mort avec le Christ,
nous croyons que nous vivrons aussi avec lui.
Nous le savons en effet :
ressuscité d’entre les morts, le Christ ne meurt plus ;
la mort n’a plus de pouvoir sur lui.
Car lui qui est mort,
c'est au péché qu'il est mort une fois pour toutes ;
lui qui est vivant,
c'est pour Dieu qu'il est vivant.
De même, vous aussi,
pensez que vous êtes morts au péché,
mais vivants pour Dieu en Jésus Christ.
– Parole du Seigneur.
En ce temps-là,
Jésus disait à ses Apôtres :
« Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi
n’est pas digne de moi ;
celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi
n’est pas digne de moi ;
celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas
n’est pas digne de moi.
Qui a trouvé sa vie
la perdra ;
qui a perdu sa vie à cause de moi
la gardera.
Qui vous accueille
m’accueille ;
et qui m’accueille
accueille Celui qui m’a envoyé.
Qui accueille un prophète en sa qualité de prophète
recevra une récompense de prophète ;
qui accueille un homme juste en sa qualité de juste
recevra une récompense de juste.
Et celui qui donnera à boire, même un simple verre d’eau fraîche,
à l’un de ces petits en sa qualité de disciple,
amen, je vous le dis : non, il ne perdra pas sa récompense. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Ô Notre-Dame,
nous nous confions en vous,
en votre obédience bénie
et en votre garde très spéciale.
Aujourd’hui et chaque jour
nous vous confions nos âmes et nos corps ;
nous vous confions tout notre espoir
et toute notre consolation ;
toutes nos angoisses et nos misères ;
notre vie et la fin de notre vie,
pour que par votre très sainte intercession
et par vos mérites,
toutes nos actions soient dirigées et disposées
selon votre volonté
et celle de votre Fils. Am
Voici le temps, Esprit très saint,
Où dans le cœur de tes fidèles,
Uni au Père et à son Fils,
Tu viens répandre ta lumière.
Que notre langue et notre cœur,
Que notre vie, que notre force
S'enflamment de ta charité
Pour tous les hommes que tu aimes.
Exauce-nous, ô Tout-Puissant,
Par Jésus Christ, ton Fils unique,
Qui règne avec le Saint-Esprit
Depuis toujours et dans les siècles.
Alléluia.
1 Rendez grâce au Seigneur : Il est bon ! *
Éternel est son amour !
2 Oui, que le dise Israël :
Éternel est son amour ! +
3 Que le dise la maison d'Aaron :
Éternel est son amour ! *
4 Qu'ils le disent, ceux qui craignent le Seigneur :
Éternel est son amour !
5 Dans mon angoisse j'ai crié vers le Seigneur,
et lui m'a exaucé, mis au large.
6 Le Seigneur est pour moi, je ne crains pas ;
que pourrait un homme contre moi ?
7 Le Seigneur est avec moi pour me défendre,
et moi, je braverai mes ennemis.
8 Mieux vaut s'appuyer sur le Seigneur
que de compter sur les hommes ; *
9 mieux vaut s'appuyer sur le Seigneur
que de compter sur les puissants !
10 Toutes les nations m'ont encerclé :
au nom du Seigneur, je les détruis !
11 Elles m'ont cerné, encerclé :
au nom du Seigneur, je les détruis !
12 Elles m'ont cerné comme des guêpes : +
(– ce n'était qu'un feu de ronces –) *
au nom du Seigneur, je les détruis !
13 On m'a poussé, bousculé pour m'abattre ;
mais le Seigneur m'a défendu.
14 Ma force et mon chant, c'est le Seigneur ;
il est pour moi le salut.
15 Clameurs de joie et de victoire *
sous les tentes des justes :
« Le bras du Seigneur est fort,
16 le bras du Seigneur se lève, *
le bras du Seigneur est fort ! »
17 Non, je ne mourrai pas, je vivrai
pour annoncer les actions du Seigneur :
18 il m'a frappé, le Seigneur, il m'a frappé,
mais sans me livrer à la mort.
19 Ouvrez-moi les portes de justice :
j'entrerai, je rendrai grâce au Seigneur.
20 « C'est ici la porte du Seigneur :
qu'ils entrent, les justes ! »
21 Je te rends grâce car tu m'as exaucé :
tu es pour moi le salut.
22 La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs
est devenue la pierre d'angle :
23 c'est là l'œuvre du Seigneur,
la merveille devant nos yeux.
24 Voici le jour que fit le Seigneur,
qu'il soit pour nous jour de fête et de joie !
25 Donne, Seigneur, donne le salut !
Donne, Seigneur, donne la victoire !
26 Béni soit au nom du Seigneur
celui qui vient ! *
De la maison du Seigneur,
nous vous bénissons !
27 Dieu, le Seigneur, nous illumine. *
Rameaux en main, formez vos cortèges
jusqu'auprès de l'autel.
28 Tu es mon Dieu, je te rends grâce, *
mon Dieu, je t'exalte !
29 Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !
Éternel est son amour !
V/ Incline mon cœur vers tes exigences,
que tes chemins me fassent vivre.
Tu as voulu, Seigneur, qu'en recevant ta grâce nous devenions des fils de lumière ; ne permets pas que l'erreur nous plonge dans la nuit, mais accorde-nous d'être toujours rayonnants de ta vérité.
Mon Dieu, faites l'unité des esprits dans la Vérité et l'union des cœurs dans la Charité. Amen
Jésus et la souffrance : Prendre sa croix
Pour être disciple de Jésus, faire de Lui seul le centre de notre vie et ne pas s'idolâtrer soi-même.
celui qui donnera à boire, même un simple verre d'eau fraîche,
à l'un de ces petits en sa qualité de disciple,
amen, je vous le dis : non, il ne perdra pas sa récompense. »
On n'est pas disciple de Jésus pour rire. Il faut choisir entre Lui et tout le reste. Rien ne doit nous arrêter ni père, ni mère, ni épouse, ni enfants ni…nous-mêmes.
Si quelqu'un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.
C'est d'ailleurs et ” même son âme ” qui nous donne la clef de ce passage si abrupt. Il ne s'agit pas d'un suicide, ce serait absurde. Mais, pour être disciple de Jésus, ne pas s'idolâtrer soi-même et de faire de Lui seul le centre de notre vie.
Il en est de même de notre père, de notre mère, de notre femme, de nos enfants. Ils tiennent une place immense dans l'amour de Dieu, mais ils ne sont pas à nous. A leur égard, nous avons un ” haïr ” un amour excessif qui les ravirait à Dieu, pour en faire notre bien et les esclaves de notre affection.
Pensée si proche de la pensée moderne de l'autonomie de notre être, détruit par tout amour captatif. Le paradoxe de Jésus nous entraîne vers un amour des autres, où nous ne les retrouvons pleinement eux-mêmes que dans la splendeur même du Seigneur qui les aime puisqu'Il les a crées.
Jésus dans ses exigences mêmes, témoigne de son origine. Car ses demandes ne peuvent provenir que de Celui qui est l'Essentiel, vers qui tous se tournent. Il est le Centre.
Car c'est par rapport à Lui, ” Si quelqu'un vient à Moi “ que tout s'efface. Devant Jésus tous ceux que nous aimons sont seconds et ne doivent pas nous empêcher de L'atteindre…Ce qui n'enlève rien à toute la richesse de nos relations humaines. Elles ne sont pas sur le même plan. Quel est donc cet homme qui a le toupet de se donner comme le centre du monde ?
Les chemins du Seigneur sont des chemins de dépassement et de choix de l'Essentiel. Jésus nous demande de ne pas faire de nos affections terrestres des absolus et de ne pas rendre captifs de notre affection les hommes et les femmes que nous aimons, mêmes nos plus proches.
Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de Moi .
Père Gabriel