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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Anne et Joachim et aux très Saintes Âmes du 26 Juillet

SAINT DU JOUR
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Date 26 juillet

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège

SAINT JOACHIM ET ANNE, PARENTS DE LA BIENHEUREUSE VIERGE MARIE

Parents de Marie, et grands-parents de Jésus, saints Joachim et Anne sont célébrés ensemble le 26 juillet depuis 1969, après la réforme liturgique du Concile du Vatican II. Même si les Ecritures Saintes ne les mentionnent pas, cependant leurs noms sont conservés depuis l’antique tradition chrétienne  

Sur Joachim et Anne, parents de Marie, on n’a aucune référence biblique et on ne possède pas non plus d’informations sûres à leur sujet; celles qui sont parvenues jusqu’à nous aujourd’hui sont glanées dans des textes apocryphes comme le Proto Evangile de Jacques et l’Evangile du pseudo-Matthieu, en plus de la tradition.

La descendance, signe de l’amour de Dieu

Anne semble être la fille de Achar et sœur d’Esmérie, mère de Elizabeth et donc grand’mère de Jean Baptiste. Joachim est considéré par la tradition comme un homme vertueux et très riche de la descendance de David, qui avait l’habitude d’offrir une partie de ses revenus au peuple et une autre partie en sacrifice à Dieu. Tous les deux vivent à Jérusalem. Mariés depuis plus de vingt ans, Joachim et Anne n’ont pas d’enfants. Ne pas engendrer de descendance, pour les Juifs, en ce temps-là, est un signe du manque de la bénédiction et de la faveur de Dieu; c’est pour cela q qu’un jour, en portant ses offrandes au Temple, Joachim se voit réprimandé, par un certain Ruben (peut-être un prêtre ou un scribe) d’en être indigne car il n’a pas procréé; en effet, selon lui, il n’a pas le droit de présenter ses offrandes . Joachim, humilié et choqué par ces paroles, décide de se retirer dans le désert, et pendant quarante jours et quarante nuits il implore Dieu, dans les larmes et les jeûnes, de lui donner une descendance. Anne aussi passe ses jours en prière en demandant à Dieu la grâce de la maternité.

L’annonce de la naissance de Marie

Les supplications de Joachim et Anne sont écoutées là-haut ; c’est ainsi qu’un ange apparaît séparément aux deux et leur annonce qu’ils vont devenir parents. La rencontre à l’entrée de la maison entre les deux, après l’annonce, s’enrichit de détails légendaires. Le baiser que les deux époux se seraient échangés auraient eu lieu devant la Porte dorée de Jérusalem, le lieu où, selon une tradition juive, se manifestait la présence divine et où se serait manifesté l’avènement du Messie. Et l’iconographie se montre prolixe sur un tel baiser devant la porte que les chrétiens considèrent être celle par laquelle Jésus aurait fait son entrée dans la Ville Sainte, le Dimanche des Rameaux. Des mois après le retour de Joachim, Anne met au monde Marie. L’Enfant grandit entourée des attentions affectueuses du papa et tendres de la maman, dans la maison qui se trouvait non loin de la piscine de Bethesda, où les Croisés, au XII siècle, ont construit une église, qui existe encore aujourd’hui, et qui est dédiée à Anne qui a éduqué sa fille Marie aux tâches domestiques.

Le culte

Quand Marie a trois ans, Joachim et Anne, pour remercier Dieu, la présentent au Temple pour la consacrer au service du Temple lui-même comme Joachim et Anne l’avaient promis dans leurs prières. Les apocryphes ne disent rien d’autre sur Joachim, alors que sur Anne, ils ajoutent qu’elle aurait vécu jusqu’à l’âge de quatre-vingts ans. Ses reliques auraient été conservées longtemps en Terre Sainte, puis transférées en France et enterrées dans une chapelle creusée sous la cathédrale d’Apt. Successivement, le retrouvement et l’identification, auraient été accompagnés de quelques miracles. Le culte des grands-parents de Jésus s’est développé, d’abord en Orient, puis, en Occident, et au cours des siècles l’Eglise les a célébrés à des dates diverses. En 1481 le pape Sixte IV introduit la fête de sainte Anne dans le Bréviaire Romain, en fixant la date de la mémoire liturgique le 26 juillet, transmise comme jour de sa mort; en 1584, Grégoire XIII insère la célébration liturgique de sainte Anne dans le Missel Romain en l’étendant à toute l’Eglise . En 1520 c’est Jules II, qui, au contraire, l’insère dans le calendrier liturgique la mémoire de saint Joachim le 20 mars, puis déplacée plusieurs au cours des siècles successifs. A la suite de la réforme liturgique du Concile Vatican II, en 1969, les parents de Marie ont été « mis ensemble » en une unique célébration le 26 juillet.

26 Juillet
  
Sainte Anne

Mère de la très Sainte Vierge

Sainte Anne
Sainte Annepinxit O.D.M.

Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l'éclat d'une vie pleine de bonnes oeuvres et de vertus.

Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l'aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables. Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie!

Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite! Puis, quand il plut à Dieu d'unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.

Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l'utilisa pour sa sanctification. Mais à l'épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d'Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement Celle qui devait être la Mère du Sauveur et la Corédemptrice du genre humain. C'est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d'avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d'avoir formé le coeur de Marie à la vertu et à l'innocence! L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.

Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions. A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit. De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Joachim

Père de la très Sainte Vierge Marie

Saint Joachim
Saint JoachimPère de la très Sainte Vierge MarieO.D.M. pinxit

Joachim, de la tribu de Juda et de l'antique famille de David, était pasteur de brebis à Nazareth. Stolan, père de sainte Anne, lui donna sa pieuse fille en mariage. Les deux époux vécurent dans la crainte du Seigneur et dans la pratique des bonnes oeuvres. Ils firent trois parts de leurs biens: l'une était destinée au temple et aux ministres de la religion; ils répandaient la seconde dans le sein des pauvres; la dernière servait aux besoins de la famille. Cependant le bonheur n'était pas dans ce ménage: l'épouse de Joachim était stérile.

Depuis vingt ans ils priaient Dieu de les délivrer d'un tel opprobre, lorsqu'ils se rendirent, suivant leur coutume, à la ville sainte pour la fête des Tabernacles. Les enfants d'Israël y venaient offrir des sacrifices à Jéhovah, et le grand-prêtre Ruben immolait leurs victimes. Joachim se présenta à son tour. Il portait un agneau; Anne le suivait, la tête voilée, le coeur plein de soupirs et de larmes.

Le grand-prêtre, en les apercevant monter les degrés du temple, n'eut pour eux que des paroles de mépris et de reproche: "Vous est-il permis, leur dit-il, de présenter votre offrande au Seigneur, vous qu'Il n'a pas jugés dignes d'avoir une postérité? Ne savez-vous pas qu'en Israël l'époux qui n'a pas la gloire d'être père est maudit de Dieu?" Et en présence du peuple il repoussa leur offrande.

Joachim ne voulut point revenir à Nazareth avec les témoins de son opprobre. Leur présence eût augmenté sa douleur. Anne retourna seule dans sa demeure. Pour lui, il se retira dans une campagne voisine de Jérusalem, où des bergers gardaient ses troupeaux. Le calme silencieux de la vie pastorale, le spectacle touchant de la nature, apportèrent quelque soulagement à la blessure de son coeur. Qui n'a jamais senti que la solitude le rapproche de Dieu?

Un jour qu'il se trouvait seul dans les champs, l'Ange Gabriel se tint debout devant lui. Joachim se prosterna, tremblant de peur: "Ne crains pas, dit le messager céleste, je suis l'Ange du Seigneur, et c'est Dieu Lui-même qui m'envoie. Il a prêté l'oreille à ta prière, tes aumônes sont montées en Sa présence. Anne, ton épouse, mettra au monde une fille; vous la nommerez Marie et vous la consacrerez à Dieu dans le temps; le Saint-Esprit habitera dans son âme dès le sein de sa mère et Il opérera en elle de grandes choses. Après ces mots, l'Ange disparut.

Joachim vit bientôt se réaliser la prédiction de l'Archange. De son côté, il fut fidèle aux ordres du Seigneur: sa fille reçut le nom de Marie, et, à trois ans, il la confia aux pieuses femmes qui élevaient dans le temple de Jérusalem les jeunes filles consacrées au Seigneur. Elle y vivait depuis huit ans sous le regard de Dieu lorsque Joachim mourut chargé de mérites et de vertus.

Anne, son épouse, le fit ensevelir dans la vallée de Josaphat, non loin du jardin de Gethsémani, où elle devait le rejoindre un an plus tard.

D'après Abbé Pradier, La Vie des Saints pour tous les jours de l'année

Saint Georges Preca
Prêtre et fondateur de la :
« Societas Doctrinae Christianae »

G

eorges Preca (Ġorġ Preca en maltais ) naît le 12 février 1880 à La Vallette (Malte). Après ses études, il entra au séminaire de Malte, où il étudia la théologie, et décida de devenir prêtre. Il fut ordonné prêtre le 22 décembre 1906.

En 1907, il réunit un groupe de jeunes laïcs pour les former à la vie ascétique et dans les principes catholiques, afin de les envoyer évangéliser la population. Cette date marqua le début de la « Societas Doctrinae Christianae ». Son groupe fut également appelé par ses membres « MUSEUM », acrostiche de « Magister utinam sequatur Evangelium universus mundus! » (Maître divin, puisse le monde entier suivre l'Évangile).

En 1910, il inaugura une section féminine avec l'aide de Giannina Cutajar. Peu à peu se définit le profil de la Société : des laïcs travailleurs célibataires, consacrés à l'apostolat de la catéchèse des enfants et des adultes ; une grande discipline ; une série de prières à réciter chaque quart d'heure ; une heure de catéchèse par jour dans des centres paroissiaux et une heure de formation permanente pour les membres de la société. Cette fondation connut des moments difficiles, lorsque Dun Ġorġ reçut l'ordre de ses supérieurs de fermer son centre en 1909 ; ce qu'il accepta sans se plaindre.

Mais en 1916, l'Évêque de Malte ordonna une enquête qui lui fut favorable, permettant de recommencer son œuvre avec quelques modifications. Le décret de l'érection canonique remonte au 12 avril 1932. Le fondateur de la « Societas Doctrinae Christianae » se prodigua comme un apôtre de l'Évangile dans les îles de Malte et écrivit de nombreux ouvrages de doctrine dogmatique et morale, ainsi qu'ascétique. Mais il travailla en particulier à la divulgation de la Parole de Dieu en langue maltaise, qu'il présentait dans des livrets de méditation. Il fut également un grand apôtre du mystère de l'Incarnation.

Durant les moments difficiles de la société, Dun Ġorġ se confia entièrement à la protection de la Vierge. En effet, le 21 juillet 1918, il s'inscrivit dans le Tiers Ordre carmélite, avec le nom de Fra Franco. Il souhaitait que tous les jeunes qui fréquentaient son association portent le scapulaire du Carmel. Il eut également une dévotion particulière pour la Madone du Bon Conseil, diffusant avec ferveur sa médaille miraculeuse.

En 1957, il suggéra cinq nouveaux mystères pour le Rosaire, qu'il appela les « Mystères de lumière ». En 1952, cinq membres furent envoyés en Australie pour ouvrir des centres, marquant le début du développement de la société dans le monde, aujourd'hui présente en Angleterre, en Albanie, au Kenya, au Soudan et au Pérou.

Le 26 juillet 1962, à Santa Venera (Malte), il quitte, en odeur de sainteté, sa demeure terrestre pour la rencontre avec Dieu.

Ġorġ Preca a été béatifié à Malte le 09 mai 2001, sur la Place des « Greniers » de Floriana, par saint Jean-Paul II (Homélie) et canonisé le 03 juin 2007 par le pape Benoît XVI.

BBx Edward Thwing et Robert Nutter
Prêtres et martyrs († 1600)

E

dward Thwing, né dans le Yorkshire en Angleterre, commença ses études pour être prêtre à Reims, en 1583, au collège anglais de la ville. Peu de temps après il se rendit à la communauté jésuite de Pont-à-Mousson mais deux ans plus tard, il rejoint à nouveau le collège, complète ses études, avec un séjour à Rome, et est ordonné prêtre à Laon en 1590.
Il avait étudié la logique, la rhétorique, le grec et l'hébreu. Il avait un ulcère à un genou qui l'empêchait de se déplacer librement mais en 1597 il parvient à rejoindre l'Angleterre pour exercer dans son pays.
Il est capturé à son arrivée par les forces élisabéthaines. Avec un autre prêtre, Robert Nutter, il réussit à s'échapper et à éviter de se faire prendre pendant 3 ans. Arrêtés à nouveau en 1600, ils furent exécutés le 26 juillet.

R

obert Nutter entre au Brasenose College à Oxford en 1564 ou 1565, et, avec son frère, le Bx John Nutter, martyr lui aussi, étudia au Collège anglais de Reims.
Il fut ordonné prêtre le 21 décembre 1581 à Soissons, puis retourna en Angleterre avec le Bx George Haydock au service des catholiques cachés.
Le 2 février 1584 il fut incarcéré à la Tour de Londres, où il resta au cachot 47 jours, dont 43 jours dans les fers, et fut deux fois torturé. Le 10 novembre 1584, il fut remis au cachot, où il resta jusqu’au 21 janvier 1585, en compagnie de 20 autres prêtres et un laïc. À cette date il fut exilé : il s’embarqua sur le Mary Martin de Colchester, au quai de la Tour, aborda à Boulogne le 2 février, visita Rome en juillet, revint en Angleterre où le 30 novembre il fut à nouveau emprisonné pour presque 15 ans, cette fois à la prison de Newgate à Londres, sous le nom de Rowley.
En 1587 il fut transféré à la prison Marshalsea. Pendant qu’il était en prison il fut reçu dans l’Ordre dominicain par le Provincial du Portugal. Il s’évada en mars 1600, fut repris en mai, envoyé au château de Wisbechet, Cambridgeshire, torturé et finalement pendu, en compagnie du Bx Edward Thwing, le 26 juillet.

Le 22 novembre 1987, à Rome, saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojtyła, 1978-2005) a béatifié George Haydock et 84 martyrs, dont Edward Thwing et Robert Nutter.
Le “groupe” était composé de 63 prêtres et 22 laïcs d’Angleterre, d’Écosse, du Pays de Galles et d’Irlande, martyrisés de 1584 à 1679, de Henri VII à Charles II, victimes d’une loi du Parlement anglais contre les Jésuites et ceux qui avaient été ordonnés hors d’Angleterre. Les laïcs parce qu’ils avaient protégé leurs prêtres.

 Les Fêtes des Saintes Âmes du 26 Juillet
Bienheureux André  catéchiste vietnamien martyr (✝ 1644)
Saint Austinde  archevêque d'Auch (✝ 1068)
Sainte Bartholomée Capitanio  cofondatrice des Soeurs de la Charité (✝ 1833)
Saints Bénigne et Charus  ermites à Malcesine - Italie (IXe siècle)
Bse Camille Gentili  martyre vénérée à San Severino dans les Marches italiennes (✝ 1486)
Sainte Christine  moniale en Belgique (VIIIe siècle)
Bienheureux Édouard Thwing et Robert Nutter  prêtres et martyrs en Angleterre (✝ 1600)
Saint Éraste  Disciple de saint Paul (Ier siècle)
Bienheureux Évangéliste et Pérégrin  prêtres, ermites de Saint-Augustin (✝ 1250)
Saint Georges Preca  fondateur de la Société de la Doctrine chrétienne (✝ 1962)
Bienheureux Georges Swallowell  martyr en Angleterre (✝ 1594)
Saint Gérontios (date ?)
Saint Gothalm (✝ 1020)
Bienheureux Guillaume Webster  prêtre et martyr en Angleterre (✝ 1641)
Bienheureux Hugues des Actes moine à Sassoferrato dans les Marches italiennes (✝ 1250)
Saint Jacques Netsetov (✝ 1865)
Bienheureux Jean Ingram prêtre et martyr en Angleterre (✝ 1594)
Bienheureux Joris Évêque arménien (✝ 1033)
Sainte Koupaia Reine de Bretagne (Ve siècle)
Bienheureux Marcel Gaucher et Pierre-Joseph Le Groing  prêtres et martyrs à Rochefort (✝ 1794)
Bienheureuse Maria Pierina De Micheli  religieuse italienne (✝ 1945)
Bienheureuses Marie-Marguerite et ses compagnes religieuses martyres à Orange (✝ 1794)
Saint Moïse le Hongrois  (✝ 1043)
Sainte Parascève de Rome  martyre (IIe siècle)
Saint Pierre Dallemand  Martyr (✝ 1794)
Sainte Sève vierge en Bretagne (VIe siècle)
Saint Siméon de Polirone Ermite (✝ 1016)
Saints Symphronius, Olympius, Théodule et Exupérie martyrs à Rome sur la Voie Latine (✝ v. 255)
Bienheureux Titus Brandsma martyr, prêtre carme (✝ 1942)
Bienheureux Vincent Pinilla Ibañez et Emmanuel Martin Sierra religieux martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Bienheureux William Ward Martyr en Angleterre (✝ 1641)
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