Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
10 Juillet 2020
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
ou Ulrich.
Ce fut lui que saint Hugues, son ami, chargea de rédiger les Constitutions de la Réforme de Cluny. Avant de se faire bénédictin, il avait été page et secrétaire de l'impératrice Agnès, la mère d'Henri IV, l'empereur pénitent de Canossa. Ulric fonda deux monastères, l'un en Suisse à Rüggisberg dans le canton de Berne et l'autre à Zell dans la Forêt Noire. C'est là qu'il mourut ayant perdu la vue depuis de longues années.
En allemand:
- Bildungshaus Kloster St. Ulrich
- Illustration: Benediktinerpriorat St. Ulrich, © Landesmedienzentrum Baden-Württemberg.
Rufine et Seconde sont deux filles chrétiennes de la première ainsi que leurs fiancés, mais ces derniers renient le Christ par peur des persécutions. Les filles choisissent la virginité. Furieux, les deux jeunes les remettent aux autorités et donc au martyre qu’elles subissent autour de 260.
Le culte des deux jeunes nobles romaines qui refusent le mariage car elles sont consacrées à Dieu remonte au VI-VIIème siècle. Les deux femmes Anatolie et Victoire sont particulièrement vénérées en Sabine (Italie) après leur martyre durant les persécutions de l’empereur Dèce.
Sainte Félicité et ses sept Fils
Martyrs († 150)
Commémorés le 23 novembre par le Martyrologe Romain et le 10 juillet au niveau local.
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Elle comparut, avec ses pieux enfants, devant le juge, qui l'exhorta à sacrifier aux idoles, mais reçut en réponse une généreuse confession de foi : « Malheureuse femme, lui dit-il alors, comment avez-vous la barbarie d'exposer vos enfants aux tourments et à la mort ? Ayez pitié de ces tendres créatures, qui sont à la fleur de l'âge et qui peuvent aspirer aux premières charges de l'État.
- Mes enfants, reprit Félicité, vivront éternellement avec Jésus-Christ, s'ils sont fidèles ; ils doivent s'attendre à d'éternels supplices, s'ils sacrifient aux idoles. Votre pitié apparente n'est donc qu'une cruelle impiété. » Se tournant ensuite vers ses enfants : « Regardez, leur dit-elle, regardez le Ciel, où Jésus-Christ vous attend avec ses saints. »
Le juge, prenant les enfants séparément, essaya d'ébranler leur constance. Il commença par Janvier ; mais il en reçut cette réponse : « Ce que vous me conseillez de faire est contraire à la raison ; le Sauveur Jésus, je l'espère, me préservera d'une telle impiété. »
Félix, le second, fut ensuite amené. Comme on le pressait de sacrifier, il répondit : « Il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est à Lui que nous devons offrir le sacrifice de nos cœurs ; employez tous les artifices, tous les raffinements de la cruauté, vous ne nous ferez pas trahir notre foi ! »
Les autres frères, interrogés, répondirent avec la même fermeté. Martial, qui parla le dernier, dit : « Tous ceux qui ne confessent pas que Jésus-Christ est le vrai Dieu seront jetés dans un feu qui ne s'éteindra jamais. »
L'interrogatoire fini, Félicité et ses sept Fils souffrirent la peine du fouet et furent ramenés en prison ; bientôt ils achevèrent leur sacrifice de différentes manières : Janvier fut frappé jusqu'à la mort avec des fouets garnis de plomb ; Félix et Philippe furent tués à coups de massue ; Sylvain fut jeté, la tête en bas, dans un précipice ; Alexandre, Vital et Martial eurent la tête tranchée.
Félicité, mère de ces nouveaux Macchabées, subit le martyre la dernière.
Saint Canut
Martyr
(1040-1086)
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Comprenant qu'il est du devoir d'un prince de défendre ses sujets, il aimait à s'exercer au métier des armes et devint bientôt maître dans l'art militaire. À la bataille, il était le premier et ne reculait jamais ; placé à la tête des armées danoises, il fut victorieux en chacun de ses combats. Mais ce fut sur le trône qu'éclatèrent complètement ses qualités et ses vertus.
Canut comprenait que l'obéissance au Roi éternel est la seule et véritable grandeur ; il estimait peu sa couronne passagère, en comparaison de celle que la pratique de l'Évangile lui mériterait dans le ciel. La frugalité de sa table, la simplicité de ses vêtements, faisaient un contraste frappant avec le luxe de sa cour. Cependant il savait, à l'occasion, faire respecter sa dignité et imposer à tous par sa majesté et par la crainte de sa juste autorité.
Ce roi juste était le plus loyal des hommes, et sa bonté d'âme égalait sa fermeté. Austère et pieux, il jeûnait souvent, passait les nuits en oraison et n'avait qu'un soin, celui d'étendre la foi dans son royaume, comprenant bien qu'elle est la vraie source de tout progrès et de toute civilisation.
L'enfer suscitait dans l'ombre des ennemis à ce saint roi ; pendant qu'il priait dans une église, il fut entouré par des assassins, et, plutôt que de fuir, il continua sa prière et se laissa poignarder à genoux sur les marches de l'autel. Des guérisons miraculeuses s'opérèrent à son tombeau.