Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
Dans le premier groupe, c’est Hans qui prend la tête avec Erhard. Hans connait la première partie des lieux. Robert rejoint Daniel pour la même raison, car cela sécurise les nouveaux explorateurs. Les autres participants choisissent leur chef de file selon leur affinité. Les chefs d’équipes comptent leurs compagnons. Enfin les chefs de file notent les noms de leur équipe, ils espèrent que la raison remportera sur les sentiments.
Enfin c’est terminé et ils appellent pour confirmation.
Equipe de Hans :
Equipe de Daniel :
Daniel prend la parole une nouvelle fois et explique le déroulement prévu.
Enfin ils démarrent en file indienne lorsque Daniel crie :
Il leur recommande
Hans confirme :
Erhard explique
Daniel reprend la parole pour rassurer tout le monde.
Daniel ne sait pas s’il a raison, mais il l’espère. La situation veut, qu’il faille rassurer la troupe d’amis, et surtout ne pas défaillir. Mauricio vérifie le niveau de la mer, grâce à cette fameuse énergie inconnue. Enfin, il annonce
C’est un tôlé joyeux, maintenant ils sont sûrs, ils seront sauvés.
Plus tard ils apprendront qu’ils sont les seuls survivants de cette journée fantastique, sur ce volcan. Ils sont devenus les emmurés du terrible volcan de l’Etna. Mais pour eux, ce n’est pas ce qui les intéresse dans l’immédiat. Ils ont seulement la certitude, que rien ne pourra les détourner de leur détermination, et rien ne les empêchera de réussir. Pourtant, ils sont bien vivants. D’après la télé ce volcan n’est plus un danger et n’existe plus ! Il ne reste que quelques pans de muraille et d’écumes qui refroidis doucement. Pour eux, si les infos sont dans le même style que pour eux, c’est moins grave que ce qu’ils témoignent. Les jeunes gens, ont cette certitude, rien ne pourra les empêcher de réussir !
Mylène toujours terre à terre interroge :
L’enthousiasme, la fougue de leur âge revient. Ils ne craignent plus ce cracheur de feu baveux. Il n’existe plus d’après la télé, mais pas d’après Hans. La question de Mylène n’a pas été entendue dans ce brouha, et même oubliée. Daniel, lui, est inquiet et cache son appréhension. Cependant il ne laisse rien voir, il est même enthousiasme. Il ne peu exposer ses craintes, même à Mylène qu’il apprécie beaucoup ! Pour lui, la réussite est dans la confiance en chacun et de la réussite. Tous doivent garder confiance en eux. Le doute dans cette situation serait catastrophique. Les risques sont grands, cependant il faut les calculer à leurs justes valeur. Il est conscient, que de toute façon, il n’a pas d’autres alternative.
Les mains dans les poches, songeur Erhard regarde Mamadou et Souvanna il dit à voix basse :
Le silence s’établit, Erhard commence à croire qu’une force supérieure existe. Il ne peut dire ce que c’est, il a l’impression de voir une lumière vivifiante au fond de son esprit. De la main il a cette pensée. « C’est un mirage » pense-t-il.
Enfin ils arrivent dans la salle de départ. Elle est petite, mais chacun peut s’asseoir sur leur sac à dos et former un cercle devant un chemin qui s’ouvre face à eux. Les trois fondamentalistes Erhard le politicien, Mamadou le musulman, Mauricio découvrent qu’ils sont sur la même longueur d’onde malgré leur différence. Le fait de rassembler des personnages divers très différents des uns des autres, dans la proximité à fait qu’ils ont appris à découvrir l’autre. Que leur différence n’est pas aussi fondamentale, qu’ils l’avaient pensées. Contrairement à ce qu’ils pensaient auparavant et que leurs amis du passé pensent ou imagine certains penseurs ou ceux de la bienséance.
Avant de partir, sans se concerter, ils s’agenouillent et prient, non pas en silence, mais en chantant la chanson qui deviendra la leur à chaque découragement : « Jérusalem, quitte ta robe de tristesse ».
Hans les informe
Un silence interrogatif s’installe. Ils approchent, en respectant les consignes de leurs chefs de groupe. Ils forment les deux cordées, comme prévue à l’entrainement lors de leur première exploration-entrainement. Hans les informe en les conseillant.
Le cœur léger, ils démarrent. Ils passent le fameux balcons annoncé, qu’ils passent allègrement. Après avoir parcouru environ deux kilomètres dans la prudence joyeuse. Ils arrivent dans une sorte de salle, qui est en faite un large couloir. Hans n’avait pas mentionné cette longue marche, qui monte légèrement et descend toujours plus profond, cependant cette route est sans danger, ni surprise. Ils sont à la fois craintifs et heureux. Ils vont à l’aventure…à la découverte de l’inconnu… Vers cette liberté si attendue.
Arrivé dans un passage ou une barrière semble-t-il, se dresse devant eux. Après avoir sondé avec son bâton de marcheur, il enjambe ce nouveau barrage. Ce n’est qu’un petit mur de roche à partir de ce petit escalier de quatre marches, il plant son premier mousqueton et se laisse glisser sur une sorte d’escalier avec des marches de plus en éloignées des unes des autres. La descente se fait doucement, ce sont des marches creusées par des humains. Hans en est persuadé, elles sont donc sans danger, malgré cette mousse et les algues vertes.
Luciano sifflote la Traviata. Et Hans continue sa progression allègrement. Un premier palier est suffisamment grand pour accueillir tout le monde, pour prendre une première pose avec une petite collation
La huitième marche a environ un mètre de hauteur, qu’il faut sauter avec prudence. Devant l’apparente faciliter du parcourt la deuxième équipe suit sans se poser de question, malgré l’inégalité des marches
Souvanna propose :
Et il ajoute
Mylène en bonne dernière arrive souplement et rapidement à la première salle du périple.
Hans est inquiet pour Souvanna. Car il est petit, et en plus n’a jamais fait d’escalade avant cette catastrophe, pas même en salle de sport. Pourtant tous descendent sans encombre.