Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
30 Août 2020
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
Saint-Siège
Saint Fiacre
Solitaire
(† 670)
F |
Fiacre mangeait peu et employait presque tout le produit du travail de ses mains à la subsistance de ses pieux visiteurs. On lui amenait des possédés et des malades, et il les délivrait ou les guérissait en grand nombre. Cependant le petit terrain qu'il occupait étant devenu insuffisant pour subvenir à tant d'aumônes et à une si généreuse hospitalité, Fiacre fut obligé d'implorer de l'évêque une nouvelle concession de terre, et le prélat lui permit de prendre et d'utiliser tout ce qu'il pourrait entourer d'un fossé dans l'espace d'une journée. Chose merveilleuse, Dieu vint au secours du travailleur : la terre se fendait d'elle-même comme par enchantement, et un seul jour suffit à Fiacre pour entourer une étendue considérable.
C'est sans doute à cause des travaux de jardinage dont il occupait les loisirs que lui laissaient la prière et le service de Dieu, que saint Fiacre est regardé comme le patron des jardiniers.
Tandis qu'il jouissait tranquillement des délices de la solitude, des envoyés écossais vinrent lui offrir la couronne royale, dont son frère s'était rendu indigne. Fiacre avait eu révélation de leur approche et obtint de Dieu, à force de larmes et de prière, de ne pas permettre qu'il sortît de sa chère solitude pour être exposé aux dangers des honneurs du monde. Il devint aussitôt semblable à un lépreux. Quand les ambassadeurs furent arrivés près de lui, ils ne purent voir sans horreur ce visage défiguré, et ils n'eurent plus aucun désir de le faire monter sur le trône de ses pères. Fiacre mourut dans son ermitage ; il opéra de grands miracles après sa mort.
SAINTS FÉLIX PRÊTRE, ET AUDACTE
MARTYRS SUR LA VIA OSTIENSE
Identifiés comme frères par la tradition, enterrés au cimetière de Commodilla, une ancienne Passio raconte que sous Dioclétien, alors que le prêtre Felix était conduit au martyre, il s’ajouta le long du chemin un certain Adauto (qui veut dire ajouté) qui se déclara chrétien et en partagea le sort.
Martyrs romains qui préférèrent mourir plutôt que de renier le Christ. Leurs tombes furent découvertes en 1905 au cimetière de Commodille sur la route d'Ostie. Le pape saint Damase y avait inscrit une poésie en leur honneur.
À Rome, au cimetière de Commodille, sur la voie d'Ostie, vers 304, les saints martyrs Félix et Adauctus. Ils confessèrent pareillement sans peur leur foi dans le Christ, et montèrent au ciel, pareillement vainqueurs.
Martyrologe romain
SAINT PAMMAQUE,
SÉNATEUR ROMAIN
Martyrologe Romain : À Rome, commémoraison de saint Pammachius, sénateur, remarquable par sa foi, sa générosité envers les pauvres et sa piété envers Dieu, dont témoigne la basilique qu’il construisit sur le mont Coelius. Il mourut en 410.
Sénateur romain de foi chrétienne, Pammaque devient moine en 387 et décide de consacrer sa vie pour les pauvres. Il est un des fondateurs d’un hospice à l’embouchure du Tibre qui accueille gratuitement pauvres et malades; il s’emploie pour la construction de la Basilique SS. Jean et Paul au Celio.
Bse María de los Ángeles Ginard Martí
Religieuse de la Congrégation :
« Hermanas Celadoras del Culto Eucarístico»
Martyre
M |
Elle était la troisième de neuf enfants, dans une famille profondément religieuse, de Sebastián Ginard García et Margarita Martí Canals. Son enfance se déroula à Llucmayor, Las Palmas de Gran Canaria et Benisalem, en raison des déplacements de son père qui était « Guardia civil ».
Durant sa jeunesse à Palma de Majorque, où sa famille s'était installée à la recherche d'une vie digne malgré sa pauvreté, elle commença à travailler dans la broderie et la confection de chapeaux pour dames, se consacrant dans le même temps à une communion intime avec Dieu. Elle s'occupait également de ses frères les plus jeunes, les éduquant dans la religion et les formant à la connaissance de l'Écriture Sainte et de la vie des premiers martyrs de l'Église chrétienne.
Elle ressentit très tôt la vocation religieuse, mais pour aider ses parents qui avaient besoin de son assistance économique elle retarda son entrée en religion. Ce n'est que quelques temps plus tard, qu'elle entra chez les Sœurs zélatrices du Culte eucharistique, à Palma de Majorque, où elle pratiquait l'adoration de Jésus Sacrement, ainsi que la broderie des vêtements liturgiques. Elle s'occupa ensuite des fournitures et de l'administration de la communauté.
A l'époque de la persécution religieuse en Espagne elle resta sereine, ayant pour seul désir d'accueillir la volonté de Dieu. Elle fut arrêtée le 25 août 1936 et tuée dans la nuit, ayant consacré toute sa vie à l'adoration du Très Saint Sacrement et donné le témoignage suprême de la foi au prix du sacrifice de sa vie.
María de los Ángeles Ginard Martí a été déclarée Bienheureuse le 29 octobre 2005 au cours d’une cérémonie, célébrée dans la Basilique de Saint Pierre au Vatican, présidée par le card. José Saraiva Martins, Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI.
Selon la demande de Joan Enric Vives Sicilia, évêque d’Urgell, et du card. Antonio María Rouco Varela, archevêque de Madrid, la mémoire a été fixée au 30 août.