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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Rosalie et aux très Saintes Âmes du 4 septembre

SAINT DU JOUR
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Date 04 septembre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin

6 Septembre
  4 Septembre
Sainte Rosalie

Vierge, à Palerme
(1130-1160)

Sainte Rosalie
Sainte Rosalie

Sainte Rosalie, du sang royal de Charlemagne, naquit à Palerme, en Sicile, d'un chevalier français et d'une parente de Roger, roi de Sicile. La Sainte Vierge lui apparut et lui conseilla de se retirer du monde. Rosalie, à quatorze ans, quitta le palais de son père sans avertir personne, n'emportant qu'un crucifix et des instruments de pénitence. Deux anges la conduisirent sur une montagne voisine de la ville. Dans une grotte inconnue et enveloppée de neige pendant plusieurs mois, Rosalie passa quelques années, partageant son temps entre l'oraison, la prière et la pénitence. Des racines crues faisaient sa nourriture; l'eau du rocher lui servait de boisson. Souvent elle recevait la visite des Anges, et le Sauveur Lui-même venait parfois S'entretenir avec elle. On voit encore dans cette grotte une petite fontaine qu'elle creusa pour réunir les eaux qui suintaient à travers les fissures de la roche; on voit aussi une sorte d'autel grossier et un long morceau de marbre où elle prenait son repas, un siège taillé dans le roc et une vigne très ancienne, qu'on croit avoir été plantée par elle.

Aussitôt après sa disparition, sa famille la fit rechercher dans toute la Sicile. Les anges avertirent Rosalie qu'elle serait bientôt découverte, si elle ne changeait de demeure; elle prit aussitôt son crucifix et le peu d'objets qu'elle avait avec elle et suivit ses guides célestes; ils la conduisirent sur le mont Pellegrino, où ils lui indiquèrent une grotte obscure et humide qui lui servit de retraite pendant les dix-huit dernières années de sa vie.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

SAINT MOÏSE,

LÉGISLATEUR ET PROPHÈTE

Au XIV siècle av. JC, sauvé des eaux et élevé auprès du pharaon Moïse est choisi par Dieu pour libérer le peuple d’Israël; ses exploits sont racontés dans les 5 premiers livres de la Bible, le Pentateuque. Par lui, Dieu donne aux Hébreux la Loi et les guide vers la Terre Promise. Il meurt à 120 ans.  

L’histoire de Moïse est racontée dans les quatre derniers livres du Pentateuque, c’est-à-dire les livres qui commencent l’Ancien Testament. Précisément, dans l’Exode on raconte la libération des Hébreux de l’esclavage des Egyptiens et la fuite dans le désert; dans le Lévitique on parle de Moïse comme guide du peuple élu; dans le Livre des Nombres c’est la dernière partie des quarante années passées dans le désert, en voyage vers la Terre Promise; dans le Deutéronome nous trouvons Moïse sur le point de mourir, selon la tradition à l’âge de 120 ans.

Moïse, de héros à prophète

La racine du nom Moïse signifie «sauvé des eaux», mais selon d’autres chercheurs, il signifie aussi «celui qui sauve» son peuple. De toutes façons, dans le nom du plus grand prophète de tous les temps, considéré Saint par l’Eglise catholique, il y a ses origines et son destin. Moïse est Hébreu de naissance, de la tribu de Levi, mais à l’époque du pharaon Thoutmosis III tous les premiers nés hébreux devaient être jetés dans le Nil pour empêcher que ce peuple devienne plus nombreux et puissant que les Egyptiens. Moïse, cependant, a la vie sauve parce retiré des eaux par la fille même du pharaon qui l’élève comme son propre fils. A la cour, il reçoit la meilleure éducation. Chez lui, une idée claire de justice fait son chemin; il défend toujours le plus faible au point qu’il n’hésite pas à tuer un Egyptien qui est en train de maltraiter un hébreu. C’est pour cela, à cause d’une condamnation du pharaon, il est contraint à prendre la fuite et à se réfugier au désert.

La fuite dans le désert et le buisson ardent

Moïse erre dans le désert du Sinaï, il est fatigué et éprouvé; mais la solitude lui fait comprendre sa petitesse face à la Nature et la méditation le rapproche toujours davantage à Dieu. C’est ainsi qu’un jour Dieu lui parle ouvertement, en lui apparaissant sous la forme d’un buisson ardent qui ne se consume jamais; «Je suis celui qui suis», répond Dieu à la demande de Moïse, et lui donne l’ordre de retourner chez le pharaon pour lui demander la libération des Israélites de l’esclavage et les conduire, donc, vers la Terre Promise. Pour l’aider Dieu donne à Moïse un bâton capable de faire des prodiges et le fait seconder per son frère Aaron, plus habile dans l’art oratoire. Les deux, donc, se mettent en chemin, accompagnés de Sephora, la fille du roi d’une tribu nomade que Moïse avait rencontrée dans le désert et épousée.

Le retour d’auprès du pharaon et les plaies

Dieu, comme dit la Bible, «avait endurci le cœur du pharaon»: ainsi face à lui Moïse et Aaron n’ont pas la tâche facile. Le bâton transformé en serpent ne sert à rien ainsi que l’eau du Nil changée en sang: les mages de la cour en font autant. Alors Dieu envoie en Egypte les fameuses plaies: le Pays est envahi par les grenouilles, puis par des moustiques et les taons, ensuite une peste très grave s’abat sur le bétail qui miraculeusement épargne les animaux des Hébreux, ensuite arrive la grêle qui détruit lin et orge mais laisse intacts le froment et l’épeautre, enfin voici les sauterelles et les ténèbres pendant des jours. Le pharaon promet, mais à peine Dieu fait cesser la plaie, voilà qu’il revient sur ses positions. A la fin Dieu envoie la plus terrible des plaies; au cours d’une nuit il fera mourir tous les premiers-nés de sexe masculin des Egyptiens, y compris le fils du Pharaon. C’est aussi le jour de l’institution de la fête de Pessah, la Pâque que les Hébreux commémoreront chaque année avec le sacrifice d’un agneau, en mangeant du pain non fermenté en raison de la hâte de la fuite et les herbes amères comme symbole de la condition d’esclaves. Alors, seulement, le pharaon permet de libérer les Hébreux, mais quand ceux-ci arrivent à la mer Rouge il s’en repent déjà; c’est pour cela qu’à peine passé le peuple d’Israël, Dieu fait refluer les eaux sur les soldats que le Pharaon avait envoyés.

Début voyage

Les Hébreux se mettent officiellement en voyage vers la Terre Promise, en direction de Canaan. Dans le désert Dieu les protège par des prodiges qu’il fait réaliser par Moïse; avec son bâton il fait jaillir l’eau du rocher pour étancher leur soif, et pour les nourrir, il leur envoie des cailles et la manne, cette nourriture particulière qui se présente comme de petits grains à la saveur de galette de miel. Le voyage est long et nombreux sont les pièges que le désert cache, comme les peuples contre lesquels on devra se battre, mais Dieu est avec son peuple et chaque fois que Moïse prie en levant les bras et en tenant le bâton pointé vers le ciel, Israël en sort victorieux.

Les tables de la loi sur le Mont Sinaï

Pendant l’exode, le peuple hébreu arrive au pied du Mont Sinaï. Ici, Dieu avertit Moïse qu’il va se montrer au peuple pour lui communiquer sa volonté. Les Hébreux, alors, se préparent en trois jours de purifications; mais en voyant la montagne se transformer en fournaise, ils en ont peur et envoient Moïse tout seul. Le prophète reste sur le Sinaï pendant quarante jours et y reçoit les Tables de la Loi, les Dix Commandements gravés dans la pierre directement de la main de Dieu. Lorsque Moïse revient au campement il trouve une situation terrible: le peuple, fatigué et incrédule, s’était fabriqué un veau d’or et était tombé dans l’idolâtrie. Moïse, à la tête d’un peuple pas toujours facile, devra dépasser cette épreuve et beaucoup d’autres, et importante et intense sera son œuvre de «médiateur» entre son peuple et Dieu.

Toujours en voyage et la succession de Josué

Moïse et son peuple se remettent en voyage, mais les problèmes ne sont pas encore finis. Maintenant les représentants des Douze tribus d’Israël envoyés en reconnaissance vers Canaan reviennent avec de mauvaises nouvelles; d’après eux, il est impossible de s’établir là-bas. Tout le monde est découragé, le vase est plein! Moïse réussit avec peine à calmer la colère de Dieu et à obtenir que ce soit seulement la génération suivante, indemne des fautes des pères, qui fera la conquête de la Terre Promise. Les Hébreux passeront, ainsi, encore quarante ans dans le désert et Moïse lui, mourra sans entrer dans la Terre Promise qu’il ne pourra apercevoir que de loin, depuis son refuge sur le Mont Nébo. A la mort de Moïse, c’est Josué qui lui succède la tête d’Israël.

SAINT MARIN, ERMITE

Unique Saint fondateur et patron d’un Etat, Marin arrive à Rimini de Dalmatie en 257 et travaille comme tailleur de pierres. Pour échapper aux persécutions contre les chrétiens il se réfugie sur le Mont Titan où il fonde sa communauté ensemble avec sain Léon. Devenu diacre, il meurt ermite en 366.

« Je vous laisse libres des autres hommes» ( Marin au moment de mourir)

Cette phrase, attribuée à saint Marin au moment de sa mort, a la signification suivante: le Saint, avant de regagner la Maison du Père, aurait annoncé aux habitants installés sur le Mont Titan autour de la communauté qu’il avait fondée, qu’ils seraient libres aussi bien de l’autorité de l’empereur que de celle du Pape. Ces paroles sont, en effet, la prophétie de la chute de l’Exarchat byzantin qui aura lieu au VIII siècle, et le fondement de l’indépendance de la République qui porte son nom, et qui survit jusqu’à nos jours.

Nous sommes en 275. Les empereurs Dioclétien et Maximien, en plus d’endurcir les persécutions contre les chrétiens, décident de reconstruire la cité de Rimini, détruite par les Liburniens. De l’île d’Arbe, en Dalmatie, arrivent Marin et son ami Léon, deux tailleurs de pierres, et ils sont aussitôt, envoyés sur le Mont Titan pour extraire et travailler les pierres nécessaires à la reconstruction des remparts. Par la suite les deux se séparent, Léon se réfugie sur le Mont Félicien, aujourd’hui Mont Feltre, Marin retourne à Rimini où, en plus de son travail, il prêche la foi et obtient ainsi de nombreuses conversions. Sans tarder sa renommée parvient jusqu’à l’autre rive de la mer et jusqu’à sa terre natale, la Dalmatie, d’où arrive une femme qui revendique d’être son épouse. Marin doit s’enfermer dans son refuge, mais cela ne suffit pas; et il doit fuir sur le Mont Titan où il construit une cellule de moine et une église en l’honneur de saint Pierre. La femme finalement se repent, et de retour en ville, elle confesse ses fautes avant de mourir.

La dispute avec Dame Felicissima

Mais vite la petite communauté fondée par Marin et Léon sur le Mont Feltre doit faire face à des menaces. Le territoire qu’ils occupent, en effet, est la propriété d’une certaine Felicissima et est revendiquée maintenant par son fils, Verissimo. Face à la violence de ces derniers, les deux Saints ne peuvent opposer que leurs prières. Mais la punition divine est à l’embuscade: Verissimo tombe malade et est paralysé, sa mère, envahie par la douleur, demande à Marin de prier le Seigneur de guérir son fils; en échange elle donnera toutes ses terres. Vérissimo est ponctuellement guéri. Mère et fils, et un nombre considérable de leurs parents se convertissent et reçoivent le baptême directement des mains de Marin.

Marin et l’ours

Entre temps, l’évêque de Rimini, saint Gaudence, mis au courant de ces faits convoque Marin pour l’en remercier. Il est tellement impressionné par sa personnalité qu’il lui confère même l’ordre du diaconat. Lorsque Marin retourne chez lui, selon la célèbre légende, il trouve qu’un ours a dévoré l’âne qui chaque jour l’aidait dans son travail. Le Saint, alors, oblige l’ours à faire les travaux de l’âne à sa place. Marin vivra donc sur le Mont Feltre avec sa communauté jusqu’à sa mort, en 366

Bienheureuse Dina Bélanger
Religieuse québécoise
(1897-1929)

D

ina Bélanger (Marie Sainte-Cécile-de-Rome) naît à Québec le 30 avril 1897. Enfant unique adorée des  ses parents, elle a eu  une enfance heureuse. Le succès l'accompagne tout au long de ses années d'études. À 19 ans, son talent musical la conduit au Conservatoire de New York pour y poursuivre, pendant deux ans, ses études en piano. À 24 ans, élégante pianiste de concert, jeune fille dévouée auprès des démunis, elle  entre chez les Religieuses de Jésus-Marie, à Sillery. En communauté elle porte le nom de Marie Sainte-Cécile-de-Rome et enseigne la musique. Elle meurt le 4 septembre 1929, à l'âge de 32 ans. La vie de Dina s'est déroulée heureuse, mais  sans éclat, éloignée de ce qu'applaudit spontanément notre monde.

Très jeune encore, Dina disait : « Je serai sainte ». Éprise de Jésus dès son plus jeune âge, initiée très tôt à la prière par ses parents, la vie de Dina est un cantique d'action de grâce, un chant d'amour. Jésus et Marie ne se séparent pas dans l'histoire des grâces divines que j'ai constamment reçues, dit-elle. Son seul Maître intérieur, c'est Jésus. Elle n'avait que onze ans lorsque, pour la première fois, elle entend sa voix douce et mélodieuse qui l'accompagna jusqu'à sa mort. Elle est alors remplie d'un bonheur si intense que sa vie fut transfigurée. Amoureusement et fidèlement, elle s'ouvre à l'amour de Jésus un peu plus chaque jour. Il y est tellement à l'aise qu'il communique avec elle comme avec l'amie la plus intime, n'hésitant pas à l'appeler ma petite moi-même. « Oui, je t'ai choisie pour me reproduire en toi (...), lui avait-il dit, nul ne te ravira mon Cœur ». Ces paroles laissent percevoir la vocation privilégiée de Dina Bélanger.

Née de l'amour des Cœurs de Jésus et de Marie, la Congrégation qui l'accueille vit d'une spiritualité centrée sur l'Eucharistie. Dans sa famille religieuse, Dina trouve réponse à ses aspirations profondes. Pour Dina, l'expression de l'amour de Jésus atteint son sommet dans l'Eucharistie, effusion de tendresse, déversement de l'Infini dans le fini. L'Eucharistie est le foyer qui consume tout. C'est le soleil de chacun de ses jours. Sa prière est apostolique, confiante parce qu'avant tout eucharistique. Dina n'a de désir que celui de rassasier l'Infini avec les richesses mêmes de l'Infini : offrir Jésus au Père. Peut-elle utiliser offrande plus parfaite ?

La première bienheureuse née à Québec a-t-elle encore quelque chose à dire à notre monde souvent blessé ? À l'âge de l'électronique, son langage peut-il être entendu ?

Oui, car son langage est universel, c'est celui de l'amour. Un langage sans frontières, sans couleurs et sans âge. Qui ne comprend le langage de l'amour ? Chez Dina, l'amour est un feu qui donne relief et beauté, ardeur et fécondité à sa vie. Elle a vécu sa vie ordinaire dans un amour extraordinaire. La vie est riche, qu'on la vive dans le succès, la maladie, la joie ou la lourdeur du quotidien. Dina tisse ses jours de l'intense amour qu'elle veut chanter sur la terre comme au ciel : « Au ciel, je serai  une petite mendiante d'amour : la voilà ma mission! Et je la commence immédiatement ».

Le langage de Dina est celui de l'amour, amour d'abandon confiant. Aimer et laisser faire l'Amour ! De Dina, c'est le mot de passe ! Aimer et laisser faire Jésus et Marie, comme l'exprime sa devise. Dans l'abandon, ce bonheur parfait sur la terre, Dina s'exerce à rayonner l'amour en souriant.

Dina aurait-elle rêvé d'un amour facile, cherché un Christ sans croix ? Au contraire, celle qui aspirait à l'identification la plus parfaite avec Jésus, son unique amour, pour lui ressembler davantage, voulait vivre  et mourir apôtre d'amour, victime d'amour, martyre d'amour. Elle a aimé dans la joie et dans la maladie, dans l'intimité avec son Dieu ou le silence du Bien-Aimé, dans l'angoisse de certaines nuits de douleurs, toujours dans le courage et la fidélité. À travers ombres et lumières, Dina sent que la terre n'existe plus pour elle, tellement sont intenses sa vie dans le Cœur de Dieu et son intimité avec Lui.

Le chemin de grâce qui, de fidélité en fidélité, conduit Dina dans le sanctuaire de la Trinité Sainte, s'ouvre dans le Cœur des Trois, son éternel chez-nous. Là, dans la joie céleste, elle chante son cantique d'action de grâce, son chant d'amour, attentive et sensible aux besoins d'ici-bas : « Au ciel, je donnerai de la joie ».

Dina Bélanger a été béatifiée par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), à Rome, le 20 mars 1993La célébration liturgique de la bienheureuse Dina Bélanger a lieu le 4 septembre.

Fêtes des très Saintes Âmes du 4 septembre
Saint Anthime  (✝ 1782)
Saint Babylas  évêque d'Antioche (IIIe siècle)
Bienheureux Bénincasa  (✝ 1415)
Saint Boniface Ier  Pape (42e) de 418 à 422 (✝ 422)
Saint Calétric  évêque de Chartres (✝ v. 573)
Vble Carlo Tancredi Falletti Di Barolo  laïc italien cofondateur des religieuses de Sainte-Anne (✝ 1838)
Bienheureuse Catherine Mattei  religieuse mystique (✝ 1547)
Bse Dina Bélanger religieuse de la congrégation des Sœurs de Jésus-Marie (✝ 1929)
Saint Frézal Évêque de Mende (✝ 826)
Saint Gorazd  (✝ 1942)
Bienheureux Guillaume Tappers  (✝ 1573)
Sainte Hermione  Vierge martyre, fille de Philippe (✝ v. 117)
Sainte Ida de Herzfeld  A la cour de Charlemagne (✝ 825)
Sainte Iris  Fille de Philippe (IIe siècle)
Sainte Irmgarde  Comtesse de Schustein (✝ v. 1089)
Bx Joseph-Pascal, François et Bernardprêtres et religieux martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Marcel  diacre martyrisé à Chalon sur Saône (IIe siècle)
Saint Marin de Rimini  Ermite en Italie (✝ 307)
Saint Moïse  Ancien Testament : législateur et prophète de la Loi (✝ v. 1220 av. J.-C.)
Bienheureux Nicolas Rusca  Martyr en Suisse (✝ 1618)
Sainte Rhuddlad  vierge galloise (VIIe siècle)
Saints Rufin, Sylvain et Vitalique  martyrs à Ancyre (date ?)
Bx Scipion-Jérôme Brigéat de Lambert  prêtre et martyr sur l'île Madame (✝ 1794)
Saint Sulpice  (✝ 844)
Saints Thamel et ses compagnons  martyrs (✝ v. 125)
Saint Théodule  évêque en Suisse (IVe siècle)
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