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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Les œuvres charitable au nom du Seigneur, sans la vrai miséricorde ne servent à rien.

PAROLES DU SAINT PÈRE

Le signe de Jonas, le vrai, est celui qui nous donne l’assurance d’être sauvés par le sang du Christ. Tant de chrétiens pensent qu’ils seront sauvés uniquement grâce à ce qu’ils font, à leurs œuvres. Les œuvres sont nécessaires mais elles sont une conséquence, une réponse à cet amour miséricordieux qui nous sauve. Mais les œuvres seules, sans cet amour miséricordieux, ne servent à rien. (Homélie à Sainte-Marthe, 14 octobre 2013) 

«Cette génération est une génération mauvaise: elle demande un signe»

Abbé Raimondo M. SORGIA Mannai OP(San Domenico di Fiesole, Florencia, Italie)

Aujourd'hui, la voix douce –mais sévère– du Christ met en garde ceux qui sont convaincus d'avoir déjà leur “ticket” pour le Paradis, parce qu'ils disent: «Jésus, comme tu es beau!». Le Christ a payé le prix de notre salut sans exclure qui que ce soit, mais il faut remplir certaines conditions élémentaires. Entre autres, celle de ne pas prétendre que le Christ fasse tout, nous rien. Ce serait non seulement une sottise, mais un mauvais orgueil. C'est pourquoi le Seigneur emploie aujourd'hui le mot “mauvais”: «Cette génération est une génération mauvaise: elle demande un signe, mais en fait de signe il ne lui sera donné que celui de Jonas» (Lc 11,29). Il l'appelle “mauvaise” parce qu'elle subordonne son éventuelle et condescendante adhésion à la condition de voir des miracles spectaculaires.

Jésus n'accepta jamais d'agir ainsi, même devant ses compatriotes de Nazareth, qui exigeaient qu'Il garantisse sa mission de prophète et de Messie par de prodigieux miracles, à savourer assis dans un fauteuil de cinéma. Mais c'est impossible: le Seigneur offre son salut à ceux-là seuls qui se soumettent à Lui par une obéissance qui naît de la foi, qui espère et se tait. Dieu requiert cette foi antécédente (qu'Il a mise en nous comme semence de grâce).

Contre cette caricature de foi, la reine de Saba se lèvera, elle qui vint des confins de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, alors que «il y a ici bien plus que Salomon» (Lc 11,31). Un proverbe dit: «Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre». Le Christ, condamné à mort, ressuscitera trois jours plus tard: à qui Le reconnaît, Il propose le salut; aux autres –quand Il reviendra comme Juge– il ne restera plus qu'à entendre la condamnation pour leur incrédulité obstinée. Prenons les devants: acceptons-Le avec foi et amour. Nous Le reconnaîtrons et Il nous reconnaîtra comme siens. Le serviteur de Dieu Don Albérione disait: «Dieu ne gaspille pas l'électricité: il éclaire les lampes nécessaires, toujours au bon moment»

Saint Claude la Colombière
(1641-1682)

jésuite

Réflexions chrétiennes (Écrits spirituels, coll. Christus n° 9, éd. DDB, 1982, p. 490.492 ; rev.)

Des raisons de croire ?

Les mauvais chrétiens manquent de foi, et ils ne le désavouent pas ; mais ils prétendent s’en excuser sur ce qu’ils manquent de raison de croire. De là vient qu’ils n’est rien de si commun à la bouche de plusieurs que ce discours : « Si j’avais vu un miracle, je serais un saint ». « Génération mauvaise et adultère ! Elle réclame un signe ! » (Mt 12,39), les méchants cherchent des miracles.

Ce qui est en cela de plus admirable, c’est que, quoiqu’ils en aient vu plusieurs, qu’il s’en fasse à leurs yeux chaque jour, qu’ils en soient, pour ainsi dire, tout environnés, ils ne cessent pas d’en chercher encore, comme les scribes et les pharisiens, ils en voulurent voir dans le ciel, après en avoir vu sur la terre. Mais ni les morts ressuscités durant la vie du Sauveur, ni l’éclipse du soleil à la mort, ne les rendirent fidèles ; leur envie en devint plus forte, leur haine plus envenimée ; l’une et l’autre alla jusqu’à la fureur, mais leur infidélité n’en fut pas guérie. Et ainsi en serait-il à l’égard de ceux qui, vivant mal, attendent des miracles pour croire : « Même si quelqu’un ressuscite d’entre les morts, ils ne seront pas convaincus » (Lc 16,31). (…)

Toutes les difficultés qui arrêtent les incrédules, toutes les contradictions qu’ils rencontrent dans les dogmes de la foi, tout ce qu’ils y trouvent d’apparentes contrariétés, tout ce qui leur paraît nouveau, surprenant, contraire au sens commun, contraire à la raison, inconcevable, impossible, tous leurs arguments, toutes leurs démonstrations prétendues, tout cela, bien loin de m’ébranler, m’affermit davantage, me rend inébranlable dans ma religion. (…) Tous les nouveaux doutes sont pour moi de nouvelles raisons de croire.​​​​​​​

Homélie du Père Gilbert Adam

« Cette génération… cherche un signe ; il ne lui sera pas donné d’autre signe que le signe de Jonas. »

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