Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
18 Janvier 2021
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
Saint Siège
Sainte Prisque
Vierge et martyre
(Ier siècle)
Prisca ou Priscille.
Les uns placent son martyre sous l'empereur Claude Tibère (54), d'autres sous l'empereur Claude le Gothique (270). Dans tous les cas, les actes de son martyre sont 'très améliorés'. Son culte, lui, est historique et très ancien.
- 'les Acta Sanctorum racontent l'histoire d'une fillette de 13 ans qui fut emprisonnée du temps de l'empereur Claude pour avoir refusé d'adorer la statue d'Apollon. Comme elle avait persévéré dans sa foi chrétienne, elle fut flagellée et condamnée à être livrée aux fauves dans le Cirque Maxime. Cependant les lions, au lieu de la dévorer, se couchèrent à ses pieds. Alors, la jeune fille fut de nouveau emprisonnée, flagellée et condamnée au bûcher. Mais les flammes la laissèrent intacte. A la fin, elle fut conduite au dixième milliaire de la voie Ostiense où elle fut décapitée.' (Parrocchia di Santa Prisca all'Aventino - Roma)
- Un internaute nous indique que la date de 270 est plus vraisemblable car le 1er Claude n'a régné que jusqu'en 54 et il n'est pas particulièrement connu comme persécuteur, contrairement à son successeur Néron qui, en 64, en prenant comme excuse l'incendie de Rome, a sacrifié les disciples du Christ.
À Rome, commémoraison de sainte Prisque, au nom de qui une basilique fut dédiée à Dieu sur l'Aventin avant la fin du Ve siècle.
Martyrologe romain
Sainte Marguerite de Hongrie
Princesse hongroise, moniale dominicaine (✝ 1270)
Fille du roi Béla IV de Hongrie et d'une princesse byzantine, elle entra d'abord au monastère de Veszprem puis chez les Dominicaines près de Budapest. Elle y prit le voile à l'âge de 19 ans et se distingua bientôt par l'intensité de sa vie spirituelle. Elle vivait le plus pauvrement possible et donnait aux pauvres tout l'argent que lui donnait son frère, le roi Étienne V. A l'intérieur du monastère, elle cherchait les tâches les plus rudes et les plus humbles.Sainte Marguerite de Hongrie, Toile de Mo
lnár József Éprise d'ascèse, elle affligeait son corps de toutes les façons, non par fidélité à la règle dominicaine qui n'en demandait pas tant, mais de sa propre initiative. Pour mieux s'associer à la Passion du Christ, elle se flagellait souvent, portait à même la peau des cordes qui lui provoquaient des plaies. En retour, elle fut couronnée de dons mystiques assez étonnants.
Illustration: toile de Molnár József ->
Elle a été canonisée par Pie XII le 19 novembre 1943.
Près de Bude en Hongrie, l'an 1270, sainte Marguerite, vierge, fille du roi Béla IV, elle fut vouée à Dieu par ses parents pour la libération de la patrie du pouvoir des Tartares et donnée enfant aux moniales de l'Ordre des Prêcheurs. Elle fit profession à douze ans et se livra si complètement au Seigneur qu'elle s'appliqua sans hésitation à ressembler au Christ crucifié.
Martyrologe romain
L'Église a institué la fête de la Chaire de saint Pierre à Rome pour célébrer cette mémorable journée en laquelle le prince des Apôtres, après avoir tenu sept ans son siège apostolique à Antioche, vint à Rome combattre le paganisme dans son centre et dans sa source. Le dessein était audacieux; mais l'Esprit-Saint l'inspira à celui que naguère la voix d'une servante avait fait trembler. La sagesse divine réservait au prince des Apôtres de planter la foi dans cette ville, maîtresse de l'univers, afin que, de là, elle se répandit facilement chez tous les peuples.
Assurément la victoire du christianisme serait complète, si la capitale du monde païen devenait la capitale du monde régénéré, si le trône des Césars devenait le trône des chefs de l'Église de Jésus-Christ, si l'empire du démon croulait sur ses vieilles bases pour donner place à l'empire du Sauveur. C'est ce qui arriva, en dépit de toutes prévisions humaines, parce que la Volonté de Dieu ne connaît pas d'obstacles. N'était-il pas juste de célébrer par une fête la prise de possession de Rome par saint Pierre? Pour entrer dans l'esprit de cette fête, témoignons à Jésus-Christ notre reconnaissance et affermissons notre foi à Son Église.
Heureux sommes-nous de vivre dans la communion de l'Église de Jésus-Christ, seule vraie Église, hors de laquelle il n'y a point de salut! Nous marchons à la vraie lumière, nous suivons le droit chemin, nous arrivons sûrement au Ciel. Notre naissance au sein de l'Église, hors du paganisme, des hérésies et des schismes, est un don gratuit de Dieu et une marque insigne de Sa prédilection. Grâces éternelles Lui en soient rendues!
De plus, quel sujet d'affermir notre foi! Cette Église, dont nous sommes les enfants, elle est l'oeuvre de Dieu; nulle force humaine n'a contribué à son établissement ni à son triomphe; elle doit tout à la puissance divine; le monde tout entier s'est levé contre elle, mais elle a vaincu le monde; les Césars ont voulu l'égorger à sa naissance, mais elle a supplanté les Césars; les persécutions, qui devaient la tuer, l'ont fait grandir à l'infini; la faiblesse de ses chefs a fait leur force et de même que le Christ a sauvé l'humanité par Sa mort, c'est par sa vie que saint Pierre a fait de Rome le centre de l'Église.
Rome! Ce grand nom nous rappelle bien des gloires; mais sa gloire la plus brillante, c'est d'être devenue, par la prise de possession de saint Pierre, la capitale du monde chrétien.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950