Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
21 Avril 2021
ÉVANGILE
« Telle est la volonté de mon Père : que celui qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle » (Jn 6, 35-40)
Alléluia. Alléluia.
Celui qui voit le Fils et croit en lui
a la vie éternelle, dit le Seigneur ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
Alléluia. (Jn 6, 40)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :
« Moi, je suis le pain de la vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ;
celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
Mais je vous l’ai déjà dit :
vous avez vu, et pourtant vous ne croyez pas.
Tous ceux que me donne le Père
viendront jusqu’à moi ;
et celui qui vient à moi,
je ne vais pas le jeter dehors.
Car je suis descendu du ciel
pour faire non pas ma volonté,
mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.
Or, telle est la volonté de Celui qui m’a envoyé :
que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés,
mais que je les ressuscite au dernier jour.
Telle est la volonté de mon Père :
que celui qui voit le Fils et croit en lui
ait la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Je suis le vrai pain de vie
Son amitié souffre, car Il parle de ce mystère de l'amitié, poussé si loin dans ce partage du pain et du vin, de ce mystère d'union et de communion au Pain de Vie descendu du Ciel, et ses paroles scandalisent ! Et pourtant ces paroles ne sont pas les siennes, mais celles de Celui qui l'a envoyé, le Père…
Méditation de l'évangile du mercredi 21 avril
Après le miracle de la multiplication des pains, Jésus explique longuement aux juifs de la synagogue de Capharnaüm que le vrai Pain de Vie, c'est Lui. Beaucoup des siens n'y comprennent rien.
“L'ayant donc entendu, beaucoup de ses disciples dirent : Cette parole est dure !… Peut-on seulement l'écouter ?”
On sent toute la tristesse du Seigneur dans ces interrogations amicales adressés aux siens, car Il perçoit nettement qu'Il est totalement incompris.
“Jésus, sachant lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : Cela vous scandalise ? Que sera-ce donc si vous voyez le Fils de l'homme montant où Il était d'abord ? C'est l'esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien”.
Son amitié souffre, car Il parle de ce mystère de l'amitié, poussé si loin dans ce partage du pain et du vin, de ce mystère d'union et de communion au Pain de Vie descendu du Ciel, et ses paroles scandalisent ! Et pourtant ces paroles ne sont pas les siennes, mais celles de Celui qui l'a envoyé, le Père…
“Il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient pas. Car Jésus savait dès le commencement quels étaient ceux qui ne croyaient pas et qui était celui qui le trahirait”
Mais il faut être si attentif à cet esprit du Père, à cette voix du Père en nous, pour comprendre cette amitié de Dieu ! soupire-t-IL…
“Et Il disait : C'est pour cela que je vous ai dit que personne ne peut venir à Moi, si cela ne lui est donné par le Père”
Combien lui fut douloureux cet abandon de disciples aimés, compagnons des marches à travers toute cette Palestine !
“Dès ce moment, beaucoup de ses disciples cessèrent de Le suivre et n'allaient plus avec Lui…”
Père Gabriel
Sainte Teresa de Calcutta
(1910-1997)
fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité
Lettre à un prêtre, 17/02/1978, in Come, Be My Light (Viens, sois ma lumière; trad. C. Deniard; Éd. Lethielleux 2008, p. 322 rev.)
« Moi, je suis le pain de la vie »
Vous avez demandé à passer trois mois seul avec Jésus [en retraite] ; cela vous ressemble bien. Mais si pendant ce temps la faim de Jésus dans le cœur de quelques membres de son peuple est plus grande que la vôtre, vous ne devriez pas rester seul avec Jésus tout le temps. Vous devez permettre à Jésus de vous transformer en pain pour être mangé par ceux avec qui vous êtes en contact. Laissez les gens vous dévorer ; par la parole et la présence vous proclamez Jésus. (...) Même Dieu ne pouvait pas offrir de plus grand amour qu'en se donnant lui-même comme Pain de vie — pour être rompu, pour être mangé afin que vous et moi puissions manger et vivre, que nous puissions manger et satisfaire ainsi notre faim d'amour.
Et pourtant il ne semblait pas satisfait, car lui aussi avait faim d'amour. Il s'est donc fait l'affamé, l'assoiffé, le nu, le sans-logis et n'a cessé d'appeler : « J'avais faim, j'étais nu, j'étais sans logis. C'est à moi que vous l'avez fait » (Mt 25,40). Le Pain de vie et l'affamé, mais un seul amour : seulement Jésus.
«Celui qui vient à moi, n'aura pas de faim»
Fr. Gavan JENNINGS
(Dublín, Irlande)
Aujourd'hui nous voyons combien ils préoccupent à Dieu notre faim et notre soif. Comment pourrions-nous continuer à penser que Dieu est indifférent devant nos souffrances ? Encore plus, trop fréquemment "nous refusons croire" au tendre amour que Dieu a pour chacun de nous. En se cachant Lui même dans l'Eucharistie, Dieu montre la distance incroyable qu'Il est disposé à parcourir pour rassasier notre soif et notre faim.
Mais: de quelle "soif" et de quelle "faim" s’agit-il ? " En définitive, c'est la faim et la soif de la "vie éternelle". La faim et la soif physiques sont seulement un reflet pâle d'un désir profond que chaque homme a devant la vie divine que seulement Christ peut nous atteindre. "C'est la volonté de mon Père : que quiconque voit le Fils et croit en Lui, ait la vie éternelle" (Jn 6,39). Et qu'est-ce que nous devons faire pour obtenir cette vie éternelle si désirée ? Un fait héroïque ou surhumain ? Non!, c'est quelque chose de beaucoup plus simple. Pour cela, Jésus dit : "Celui qui vient à moi je ne le jetterai pas dehors" (Jn 6,37). Nous devons seulement nous présenter à Lui, aller à Lui.
Ces mots de Christ nous stimulent à nous rapprocher à Lui chaque jour dans la Messe. C’est la chose la plus simple du monde!: simplement, assister à la Messe; prier et alors recevoir son Corps. Quand nous le faisons, pas seulement nous possédons cette nouvelle vie, mais de plus nous l'irradions sur les autres. Dans une homélie de la Fête-Dieu, le Pape François, alors Cardinal Bergoglio a dit : "Ainsi comme il est joli après avoir communié, pensé à notre vie comme à une Messe prolongée dans laquelle nous portons le fruit de la présence du Seigneur au monde de la famille, du quartier, de l'étude et du travail, aussi il nous fait du bien penser notre vie quotidienne comme préparation pour l'Eucharistie, dans laquelle le Seigneur prend tout ce qui est à nous et il l'offre au Père".