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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Aristide et aux Saintes Âmes du 31 août

Saint Aristide
 

Philosophe à Athènes (IIe siècle)
 

Saint Aristide d'Athènes, icône bizantinePhilosophe païen à Athènes, il se convertit au Christ, selon la chronique d'Eusèbe, et il adressa à l'empereur Hadrien une apologie où il souligne la nouveauté de la religion du Christ, message d'espérance et d'amour. Il règne dans cet écrit un ton de sincérité joyeuse qui prouve combien l'auteur était heureux d'avoir trouvé la foi. Cette apologie a été retrouvée traduite en syriaque, en arménien et en grec.
Il est fêté le 13 septembre dans l'Église orthodoxe orientale.
À Athènes, vers 150, saint Aristide, philosophe très célèbre par sa foi et sa sagesse, qui présenta à l'empereur Adrien un livre sur la vérité de la religion chrétienne.

Martyrologe Romain

BBx Michel Menéndez Garcia et compagons
O.P., MARTYRS († 1936)
Fête Le 31 Août

BBx Miguel Menéndez García, José María Palacio Montes,
Isidro Ordoñez Díez, prêtres;
Pedro Vega Ponce et Cristóbal Iturriaga-Echevarría Irazola, religieux;
Josefina Ventureta Sauleda Paulis, moniale.
Martyrs le 31 août 1936 à El Pinar de Lada, de Sama de Langreo

Le 28 octobre 2007, le card. José Saraiva Martins, Préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI, a présidé, à Rome, la Messe de béatification de 498 martyrs des “persécutions religieuses” de la guerre civile espagnole. Ces catholiques ont été tués dans diverses circonstances en 1934, 1936 ou 1937 ; parmi eux il y avait deux évêques, vingt-quatre prêtres, quatre cent soixante-deux religieux, trois diacres ou séminaristes et sept laïcs qui « versèrent leur sang pour rendre témoignage de l'Evangile de Jésus Christ…soient dorénavant appelés du nom de bienheureux et que leur fête soit célébrée chaque année le 6 novembre dans les lieux et selon les modalités établies par le droit. » (>>> Lettre du pape Benoît XVI).

Commémoration propre à l’Ordo Fratrum Praedicatorum :

Miguel, naît à San Julián de Quintana, près de Belmonte (Asturies) le 29 juin 1885 et fut baptisé le 1er juillet. Enfant, il gardait les bêtes. Orphelin de père à 12 ans, un oncle prêtre l’initie aux études et à 14 ans l’inscrit comme externe à l’école apostolique de Corias ; il fait profession à Corias le 12 octobre 1902.
On l’envoie étudier la philosophie à Padrón (La Coruña), la théologie à Salamanque, où il est ordonné prêtre le 18 juillet 1909. Il enseigne ensuite au collège de Vergara (Guipúzcoa) pendant 12 ans. Il est apprécié par ses collègues, les élèves et les parents.
En 1923 il est nommé à Corias, puis à Salamanque, où il est maître des novices et des étudiants. En juillet 1929 il est recteur de Vergara, servant louablement la communauté pendant deux triennats. Ensuite il est nommé professeur à l’école apostolique de Corias. C’est là que le surprend la révolution. Il est incarcéré dans le couvent même avec d’autres religieux de la communauté ; après de terribles tortures, subies là et à Sama de Langreo, où il fut transféré avec d’autres religieux de la communauté le 19 août 1936.

José, naît à Bimenes, près de Nava (Asturies) le 9 novembre 1901, et est baptisé le 10. Orphelin de père quand il était enfant, il est élevé par son grand-père. À 11 ans il entre à l’école apostolique de Corias ; il fait profession le 11 novembre 1917, étudie la philosophie, puis la théologie à Salamanque ; prêtre le 6 juin 1925. Devient lecteur, nommé à l’école apostolique de Las Caldas de Besaya ; en 1926 il fait son service militaire à Larache, puis enseigne à Corias et à Salamanque. Il publie un Manuel sur la propriété, qui fut très remarqué, et écrivit des articles dans les revues La Vie Surnaturelle et La Science thomiste. Pour refaire ses forces à la fin de l’année scolaire 1935-36, on l’envoie à Corias, bien qu’il pressente qu’il va à la mort. Il subit la prison et le martyre dans les mêmes circonstances que le P. Miguel.

Isidro, naît à Campohermoso (León) le 15 mai 1909, et est baptisé le lendemain ; confirmé à Aviados (León) en 1914 ; élève à l’école apostolique de Corias en 1920 ; profession le 16 août 1926, études de philosophie.
Il fait la théologie à Salamanque, est ordonné le 10 juillet 1932, célèbre sa première messe au sanctuaire Notre-Dame de Montesclaros (Santander) le 16 juillet 1932. Il finit ses études à Salamanque et est nommé assistant du maître des novices et sacristain. Ensuite il est nommé professeur (de latin, rhétorique et histoire universelle) et procurateur à l’école apostolique de Corias.
Incarcéré avec d’autres religieux de la communauté dans le réfectoire des apostoliques ; puis emmenés à Sama de Langreo entre insultes, menaces, travaux forcés et coups fréquents. La conduite des religieux jusqu’à la mort fut très exemplaire, supportant avec une profonde humilité tous les malheurs, priant fréquemment le rosaire, se confessant, confessant leurs compagnons de captivité. Son cadavre fut jeté dans un puits de min
e.

Pedro, naît à Mayorga de Campos (Valladolid) le 26 juillet 1902 et est baptisé le lendemain ; il sera confirmé en 1906. De famille très pauvre, il travailla durement pour survivre dans son enfance et ne put donc pas aller à l’école ; il ne savait même pas lire. La fréquentation des moniales dominicaines de Mayorga fut déterminante pour sa vocation. Il entra au couvent de Corias comme frère coopérateur et prit l’habit le 31 mars 1935 ; il fut approuvé à l’unanimité pour faire sa profession religieuse, mais la révolution l’empêcha de la réaliser. Arrêté en qualité de religieux, il eut le même sort que ses compagnons déjà mentionnés.

Cristóbal, né et baptisé à Abadiano (Vizcaya) le 11 juillet 1915, confirmé en 1919 ; enfant très pieux, il clarifie sa vocation au contact des moniales dominicaines d’Elorrio (Vizcaya).  En 1927 il entre à l’école apostolique de Las Caldas de Besaya (Santander) mais, devant la difficulté des études, il demande à devenir frère coopérateur ; il fait profession à Saint-Étienne-de-Salamanque le 9 décembre 1934. Nommé à Corias où, entre autres, il est chargé de la boulangerie ; les gens qui l’ont connu le tenaient pour un saint religieux, d’une extraordinaire exemplarité. Il subit prison, tortures et martyre avec ses compagnons.

Josefina, naît le 30 juillet 1885 à Sant Pol de Mar (Barcelone) et est baptisée le 5 août. Elle étudie au collège des dominicaines de l’Anunciata dans son village natal. Catéchiste, spécialement parmi les enfants pauvres, elle pensa entrer chez les Filles de la Charité, mais finalement entra en 1905 au monastère barcelonais de Montesión, aujourd’hui à Esplugues de Llobregat. Elle fut successivement infirmière, chantre, procuratrice, prieure et maîtresse des novices.
Le 19 juillet 1936, avec les autres sœurs, elle dut quitter le monastère et trouver un refuge ; elle aurait pu se réfugier dans son village natal, au sein de sa famille, mais elle préféra rester avec les autres sœurs et s’occuper d’elles. Le matin du 31 août, elle fut arrêtée et soumise à un pénible interrogatoire de 12 heures ; ils exigeaient, entre autres, qu’elle révèle le domicile du chapelain et des autres sœurs, mais elle ne dénonça personne. À bout de force, elle s’écria à un moment donné : « Je n’en peux plus. Donnez-moi un peu d’eau, je brûle! » Ils la servirent, pour qu’elle continue à parler. À la nuit tombante, voyant dans la rue une automobile qui attendait pour l’emmener, elle demanda : « Si vous devez me tuer, pourquoi ne le faites-vous pas ici même? » Mais le martyre continua. Le lendemain on trouva son cadavre dans l’hippodrome. Elle avait 51 ans. C’est la première dominicaine espagnole contemplative béatifiée.

 

 

Saint Raymond Nonnat
Cardinal
(1201-1240)


 

Saint Raymond Nonnat perdit sa mère dès sa naissance. Dès l'usage de la raison, se voyant sans mère ici-bas, il se choisit Marie pour Mère. La Sainte Vierge et Son dévot serviteur rivalisaient de dévouement l'un pour l'autre. Partout le pieux enfant saluait l'image de sa Mère céleste, il trouvait chaque jour mille moyens de L'honorer. Le démon lui étant apparu un jour sous la forme d'un berger, pour le tenter, Raymond le reconnut, appela Marie à son aide, et le tentateur disparut avec un cri horrible. Son père, ayant entendu dire que la dévotion de son fils lui faisait négliger la garde de son troupeau, vint un jour l'épier et fut ravi d'admiration de voir un beau jeune homme éclatant de lumière garder le troupeau pendant que Raymond se livrait à la prière dans une chapelle voisine, aux pieds de l'image de la Vierge.

Raymond était arrivé à l'âge de fixer son avenir. Marie calma ses inquiétudes en lui révélant qu'il devait aller à Barcelone et se faire recevoir dans l'Ordre de Notre-Dame-de-la-Merci pour la rédemption des captifs.

Après un noviciat plein de ferveur, il fut envoyé en Afrique, où, n'ayant pas assez d'argent pour racheter tous les prisonniers, il se donna lui-même en otage, afin de les mettre tous en liberté, et ne fut délivré que quand le surplus du payement fut arrivé. Il souffrit avec joie tous les outrages de la captivité en union avec le Rédempteur des âmes outragé pour les péchés du monde. Un jour, il faillit être empalé pour avoir instruit et converti plusieurs infidèles; mais le supplice fut changé en coups de bâton. La bouche cadenassée, il chantait encore les louanges divines, ce qui fut attribué à des enchantements et donna lieu à une persécution nouvelle.

Après sa délivrance, qui fut moins pour lui un sujet de joie qu'un sujet de tristesse, il fut élevé au cardinalat; mais, rentré dans son couvent, il y mena la même vie simple qu'auparavant, et ne consentit à changer ni d'habit, ni de logement, ni de genre de vie. Un jour très froid d'hiver, il avait donné son chapeau à un pauvre vieillard mendiant; la nuit suivante, la Sainte Vierge vint, accompagnée de plusieurs Saints, déposer une couronne sur sa tête.

Près de mourir, il reçut la Communion des mains de Jésus-Christ.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Autres Fêtes du Jour


Saint Aidan de Lindisfarne Evêque-abbé (✝ 651)
Bienheureux André Dotti prêtre (✝ 1315)
Vénérable António José De Sousa Barroso évêque de Porto (✝ 1918)
Saint Ay (✝ 593)
Saintes Cuthburge et Quenburge Cuthburge, abbesse de Wimborne, et sa soeur Quenburge (VIIIe siècle)
Saint Ebrégésile évêque de Meaux (VIIe siècle)
Bienheureux Edmige, Amalius et Valère-Bernard frères des Écoles chrétiennes - martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Gildard  prêtre du diocèse de Nevers (VIIIe siècle)
Vénérable Giuseppe Picco  Un jésuite "itinérant" (✝ 1946)
Saint Joseph d'Arimathie  recueillit le corps de Jésus déposé de la croix. (Ier siècle)
Vénérable Marcello Candia  missionnaire laïc italien (✝ 1983)
Saint Nicodème  recueillit le corps de Jésus déposé de la croix (Ier siècle)
Saint Paulin de Trèves  Evêque (✝ 358)
Bx Pedro Tarrés y Claret  médecin et prêtre espagnol, membre de l'Action catholique (✝ 1950)
Saint Raymond NonnatPrêtre de l'Ordre de la Merci (✝ 1240)

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