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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Aimé et aux Très Saintes âmes

Saint Aimé


ermite à Remiremont - premier abbé du Saint-Mont (✝ v. 629)
ou Amé.


Né à Grenoble, il fut d'abord moine à Saint Maurice en Valais puis à Luxeuil. Il rencontra le comte Romaric lors d'une prédication à Metz. Celui-ci lui donna un grand domaine et, ensemble, ils y fondèrent deux abbayes, l'une d'hommes, l'autre de femmes (Remiremont - Romarici Mons) Il y établit l'office perpétuel.
Il passa ses dernières années dans une grotte, au fond d'une crevasse où on lui descendait la nourriture au bout d'une corde.


Voir aussi histoire des saints, chanoine Laurent, diocèse de Saint-Dié , le début de l'évangélisation du pays de Remiremont:
"Amé ou Aimé naît à Grenoble vers 570. Adolescent, il entre à l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune (Suisse). Il y vit pendant trente ans en moine exemplaire, puis se retire comme ermite dans une grotte. Saint Eustase le décide à l'accompagner à Luxeuil.
D'une mission prêchée à Metz, il ramène Romaric. Vers 620, Amé et Romaric gagnent le Mont Habend (futur Saint Mont). Sous la règle de Saint Colomban, ils y fondent deux monastères de moines et de moniales. 'La louange perpétuelle' est assurée par sept chœurs de religieuses. Amé en est le premier abbé.
Il meurt le 13 septembre 629. Romaric, devenu prêtre, lui succède. Il s'éteint à son tour le dimanche 8 décembre 653. Adelphe devient le 3e abbé. C'est le début de l'évangélisation du pays de Remiremont. Le 13 novembre 1049, le pape lorrain Saint Léon IX canonise les 'Corps Saints' par la translation de leurs reliques."
A lire aussi: Saint Amé (Amatus) (vers 560 - vers 628) Moine du monastère de Luxeuil - Ermite au monastère de Saint Maurice d'Agaune (Valais, Suisse) Fondateur avec Romaric du monastère du Mont Habend près de Remiremont (Vosges). (site internet des amis de saint Colomban)
Dans les Vosges, au monastère de Remiremont, vers 629, saint Amé, prêtre et abbé. Célèbre par ses austérités, ses jeûnes et son amour de la solitude, il gouverna dignement le monastère qu'il avait construit à Habend avec saint Romaric.

Martyrologe romain

Dieu ami des humbles
tu as appelé les saints Amé, Romaric et Adelphe
à mener une vie fraternelle
dans la prière et le partage ;
Fais-nous la grâce de vivre comme eux
attentifs les uns aux autres,
à l'écoute de l'Esprit que tu nous as donné.

Saint Jean Chrysostome
 

Evêque de Constantinople, Docteur de l'Église (✝ 407)
Le 30 janvier, les Églises d'Orient font mémoire de la translation, à Constantinople, des reliques de saint Jean Chrysostome que l'Église d'Occident célèbre le 13 septembre.

Saint Jean Chrysostome  Son surnom 'Chrysostome' veut dire 'bouche d'or'. Il soutint la foi catholique même contre la pression du pouvoir impérial. Ce qui lui valut d'être destitué de son siège patriarcal de Constantinople et d'être exilé sur les bords de la mer Noire, aux confins du Caucase, à Soukhoumi en Abkhazie géorgienne.
 


Benoît XVI lors des audiences générales des 19 et 26 septembre 2007
"On célèbre cette année le seizième centenaire de la mort de saint Jean Chrysostome (407-2007). Jean d'Antioche, appelé Chrysostome, c'est-à-dire "Bouche d'or" en raison de son éloquence, peut se dire encore vivant aujourd'hui, également en raison de ses œuvres."...
"Nous poursuivons aujourd'hui notre réflexion sur saint Jean Chrysostome. Après la période passée à Antioche, il fut nommé en 397, Évêque de Constantinople, la capitale de l'Empire romain d'Orient."
Un père de la doctrine sociale chrétienne
Le Pape a évoqué sa nomination en 397 comme évêque de Constantinople, capitale de l'empire romain d'orient, puis son projet de réforme de l'Église. "L'austérité de sa résidence -a précisé le Saint-Père- devait être un exemple pour tous", comme fut exemplaire "sa sollicitude envers les pauvres qui le fit surnommer l'aumônier... Il créa des institutions caritatives très appréciées".
"En vrai pasteur, il traitait tout le monde avec cordialité...et avait une attention particulière à la femme, au mariage et à la famille...invitant les fidèles à prendre leur part à la vie liturgique, qu'il rendit splendide et attractive. En liturgie, il fut d'une créativité géniale... Malgré sa bonté, il se trouva souvent plongé dans des intrigues politiques à cause de ses difficiles relations avec les autorités publiques". Ainsi finit-il par être condamné à l'exil, dans lequel il mourut en 407.
"On a dit que Dieu avait manifesté en Jean Chrysostome un second Paul, un docteur universel... Sa hauteur intellectuelle se dégage clairement dans son commentaire de la Genèse où il médite sur les huit œuvres accomplies par Dieu en six jours, conduisant ensuite les fidèles de la Création au Créateur..., le Dieu de la condescendance...qui s'adressa à l'homme déchu et pécheur par l'Écriture".
Cet Évêque de Constantinople appelait Dieu "Père de tendresse, médecin des âmes, mère et ami affectueux..., un Dieu qui s'est abaissé jusqu'à nous, s'est incarné...est mort en croix...devenant vraiment Dieu avec nous, notre frère".
"A ce Dieu visible à travers sa création, à ce Dieu qui nous parle dans l'Écriture, à ce Dieu devenu l'un de nous, s'ajoute un quatrième aspect: dans la vie et les actions du chrétien, le principe vital et dynamique est l'Esprit qui se manifeste concrètement dans le monde. Ainsi Dieu entre dans nos vies...et nous transforme de l'intérieur".
Dans son commentaire des Actes des apôtres, Jean Chrysostome propose le "modèle de l'Église primitive comme modèle de société, en développant le principe d'utopie sociale, d'une cité idéale qui donnerait une âme et un visage chrétien à la société. Il voulait faire comprendre que la charité ne suffit pas, qu'aider les pauvres individuellement ne suffit pas, mais qu'il faut créer une nouvelle architecture, un nouveau modèle social...fondé sur le message évangélique. Pour tout cela, on peut le considérer comme un des Pères de la doctrine sociale de l'Église".
Dans la lignée de Paul, a poursuivi Benoît XVI, saint Jean Chrysostome a "soutenu le primat de la personne, esclaves et pauvres compris", en opposition à la société du temps dans laquelle "de vastes catégories étaient exclues de la citoyenneté...alors que la communauté chrétienne reconnaît les mêmes droits à tous, frères et sœurs".
A la fin de sa vie, a conclu le Pape, Jean Chrysostome revint sur le "projet de Dieu pour l'humanité", réaffirmant que "Dieu aime chacun de nous d'un amour infini car il veut nous sauver tous".
Source: VIS 070926 (520) le 26 septembre 2007, Benoît XVI, catéchèse sur saint Jean Chrysostome.
Mémoire de saint Jean, évêque de Constantinople et docteur de l'Église; originaire d'Antioche, il mérita, une fois ordonné prêtre, le surnom de Chrysostome (Bouche d'Or) à cause du fleuve d'or de son éloquence. Élu au siège de Constantinople, il se montra pasteur excellent et maître de foi, mais il fut envoyé en exil par la faction de ses ennemis. Au moment où le pape saint Innocent Ier le rappelait par décret, sur la route du retour, près de Comane dans le Pont, il rendit son âme à Dieu, le 14 septembre 407, victime des mauvais traitements que lui infligeaient les soldats qui le gardaient.

Martyrologe Romain

Saint Maurille
Évêque d'Angers
(336-426)

Maurilio, né aux environs de Milan, fut attiré à Tours par les vertus de saint Martin, auprès duquel il exerça pendant plusieurs années les fonctions de chantre aux divins offices ; puis, élevé à la prêtrise, il se dévoua au salut des âmes. Son zèle le conduisit près d'Angers, où, par ses prières, il fit descendre le feu du ciel sur un temple païen, et construisit ensuite à la place une église de Jésus-Christ. Il bâtit même à côté un monastère; bientôt vint se fixer une population qui donna naissance à la ville de Chalonne.
À la mort de l'évêque d'Angers, Maurille lui succéda, par le choix de saint Martin lui-même. Au jour de sa consécration, une colombe descendit visiblement sur sa tête. Quelques années plus tard, un fait étrange arriva. Pendant la consécration de la messe célébrée par le pontife, on apporta en toute hâte un enfant mourant, pour qu'il reçût la confirmation; le saint attendit la fin du sacrifice, mais pendant ce temps l'enfant mourut, et Maurille en conçut un si grand chagrin, qu'il s'enfuit sans avertir personne et s'embarqua pour l'Angleterre, où il se gagea comme jardinier chez un riche seigneur.

Ses diocésains, dont la douleur était inconsolable, le firent si bien rechercher, qu'ils découvrirent sa retraite ; mais il refusa de revenir au milieu de son troupeau, disant : « Je ne puis; car ayant perdu sur mer les clefs des reliques de ma cathédrale, que j'avais emportées par mégarde, j'ai fait serment de ne plus paraître à Angers avant de les avoir retrouvées. “Les voici, lui dirent les envoyés ; pendant notre traversée, un poisson fut jeté sur le pont du navire par la vague, et dans son ventre on a trouvé ces clefs.” »

Maurille obéit à la volonté du ciel. À son retour, il se fit conduire au tombeau de l'enfant, et, les yeux baignés de larmes, il demanda à Dieu de lui rendre la vie. Le petit ressuscité reçut, à cause de cette seconde naissance, le nom de René, et fut le successeur de Maurille sur le siège d'Angers.

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Aimé  évêque de Sion (✝ v. 690)
Saint Armand  évêque (VIe siècle)
Bx Aurèle-Marie frère des Écoles chrétiennes - martyr de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Bienheureux Claude Dumonet prêtre et martyr (✝ 1794)
Dédicace de la Basilique du Saint Sépulcre  (✝ 355)
Bienheureux François de Calderola  franciscain (✝ 1507)
Sainte Hélidie  Vierge et martyre d'Auvergne (Xe siècle)
Saint Hiérothée  ermite (✝ 1745)
Saint Israël  chanoine du Dorat au diocèse de Limoges (✝ 1014)
Saint Jean de Prislop (VIIIe siècle)
Bx José Alvarez-Benavides y de la Torre et 114 compagnons, martyrs de la guerre civile espagnole entre 1936 et 1938 (✝ 1936)
Saint Julien de Galatie  prêtre et martyr (IVe siècle)
Saint Lidoire  Evêque de Tours (✝ 371)
Saint Marcellin de Carthage  Martyr en Tunisie (✝ 413)
Bienheureuse Marie de Jésus Lopez de Rivas  carmélite (✝ 1640)
Saint Nectaire  évêque d'Autun (VIe siècle)
Vénérable Pasquale Uva  fondateur des Servantes de la Divine Providence (✝ 1955)
Saint Vénère  ermite et abbé (VIIe siècle)

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