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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Sainte Nadège et Autres Fêtes des saintes âmes du Jour 18 septembre

Sainte Nadège
martyre (IIe siècle)

 

Sainte Nadège, vierge et martyre à Rome avec sa mère Sophie et ses deux sœurs, est fêté le 18 septembre dans les Eglises orientales.

Dates de Fête
18 septembre pour les églises d'Orient

Prénom et patronyme
Nadège, comme Nadine ou Nadia ses diminutifs, vient de Nadejda (Надежда) qui signifie Espérance en langues slaves, serait donc sainte Espérance, (une des trois vertus théologales, sœur de la Foi et de la Charité, et fille de Sophie, la Sagesse). Sa fête usuelle est le 25 mai en Occident et le 18 septembre en Orient.

Sainte chrétienne
Nadège de Rome, vierge et martyre à Rome avec sa mère Sophie et ses deux sœurs Véra (la Foi) et Lioubov (la Charité), sous le règne d’Hadrien 

Saint Joseph de Cupertino
 

Frère mineur, conventuel
(1603-1663)

 

Joseph, dit de Cupertino, petite ville des environs de Salente, diocèse de Nardo, naquit de parents pieux, l'an de grâce 1603. Prévenu de l'amour de Dieu, il passa son enfance et sa jeunesse dans une grande simplicité et innocence de moeurs.

Délivré d'une cruelle maladie, par sa bonne Mère du ciel, Joseph s'appliqua avec une nouvelle ardeur aux oeuvres de la piété et à la pratique des vertus; et, pour s'unir plus intimement à Dieu, qui l'appelait à une perfection plus élevée, il voulut revêtir les livrées du Séraphin d'Assise. Après bien des difficultés, il parvint enfin à la réalisation de ses désirs et entra chez les Pères Capucins, où, vu son ignorance des lettres humaines, il fut d'abord reçu parmi les Frères-lais. Toujours ravi en Dieu, il mettait un temps si considérable à exécuter des travaux de peu d'importance que les supérieurs, le jugeant incapable de rendre aucun service à la communauté, le renvoyèrent dans le siècle.

Il se trouva alors dans une bien triste position. Aucun de ses parents ne voulait lui donner asile, sa mère le maltraitait, et tous le considéraient comme un paresseux et un insensé. Enfin, sur les instances de sa mère, les Frères Mineurs Conventuels consentirent à lui donner l'habit de saint François, en le chargeant de soigner la mule du couvent.

Dans cet humble emploi, il se distingua tellement par la sainteté de sa vie, et par son zèle pour la conversion des pécheurs, que ses supérieurs s'aperçurent bientôt la valeur de cette âme extraordinaire. Ils conçurent pour lui la plus haute estime, et le reçurent enfin dans 1a communauté sous le nom de Frère Joseph.

Mais notre Saint n'était pas encore satisfait. Il ne lui suffisait pas d'être religieux, il aspirait au sacerdoce. Ambition étrange, et, selon toute apparence, présomptueuse et insensée! à peine savait-il lire, et de toute l'Écriture, il ne put jamais expliquer qu'un texte : l'Évangile des messes de la Sainte Vierge : heureuses entrailles qui Vous ont porté. Marie cependant, contente de l'amour de Son serviteur, le seconda dans ses desseins. Car, par une disposition merveilleuse de la Providence, dans tous ses examens, il ne fut jamais interrogé que sur cet évangile, qu'il avait si bien approfondi, et sur lequel il répondit de manière à satisfaire pleinement les examinateurs les plus exigeants.

Ordonné prêtre, au mois de mars 1628, Joseph se sépara complètement du monde. Il recherchait les emplois les plus humbles du couvent, il pratiquait des austérités inouïes, ne mangeait que tous les 3 ou 4 jours, et cela avec tant de modération, qu'il était facile de voir que son corps même vivait d'une nourriture cachée, que les hommes ne connaissaient pas. En effet, son corps, aussi bien que son âme, était soutenu par la sainte Eucharistie; et après la messe qu'il célébrait tous les jours, avec une grande dévotion, l'augmentation de force qu'il avait puisée dans la sainte communion se manifestait par l'animation de ses traits et la vigueur de sa démarche. Comme à saint François, les animaux lui obéissaient, les éléments étaient dociles à sa voix; à son attouchement, les malades étaient guéris. En un mot, la nature semblait n'avoir plus de lois en présence des désirs de Joseph.

Pour lui, les lois de la pesanteur étaient suspendues, ou plutôt le centre qui l'attirait, ce n'était pas, comme pour nous pauvres misérables, la terre, mais le ciel. Aussi était-il souvent élevé, à la vue de ses Frères, à une distance considérable au sol, et là, il demeurait en contemplation, tout absorbé en Dieu. Chaque fois qu'on récitait en sa présence les Litanies de la Sainte Vierge, il s'élevait en l'air et allait embrasser l'image de la Mère de Dieu.

Ces transports aériens, ces vols dans l'espace furent si habituels à notre Saint que les actes du procès de canonisation en rapportent plus de soixante-dix survenus dans le seul territoire de Cupertino, aussi peut-on affirmer sans crante, que durant la moitié peut-être de sa vie, ses pieds n'ont point touché le sol.

Il mourut à Osimo, d'une mort digne de sa vie, le 18 septembre 1663, à l'âge de 60 ans et fut canonisé par Clément XIII en 1766.

D'après Nos Saints, par un Frère Mineur, p. 221-222

Sainte Richarde

Impératrice
(† 896)

Richarde, fille du comte d'Alsace, épousa Charles le Gros, arrière petit-fils de Charlemagne, en 862.
Charles, avec l'appui du pape Jean VIII, devint empereur d'Occident, roi de Germanie, roi de France et protecteur de la papauté. Il fut pourtant déposé en 887 car il permit aux Sarrasins de piller l'Italie et abandonna Jean VIII qui l'appelait au secours. Il mourut l'année suivante.

À cette période, Richarde n'était déjà plus à ses côtés, ayant été répudiée puis condamnée pour adultère quelques années auparavant. Elle protesta alors de son innocence, pardonna à son mari et se retira en Alsace, à l'abbaye d'Andliau (Bas-Rhin) qu'elle avait elle-même fondée.

Saint Léon IX (1049-1054) la canonisa en 1049.

Autres Fêtes du Jour
 

Sainte Ariane  Esclave en Asie Mineure (date ?)
Saint Bidzine de Géorgie  (✝ 1661)
Bienheureux David Okelo et Gildas Irwa  martyrs (✝ 1918)
Saint Dizier  évêque de Rennes (VIIe siècle)
Saint Dominique Trach Doai  prêtre et martyr (✝ v. 1843)
Saint Eumène  évêque en Crète (VIIe siècle)
Saint Eustorge Ier  Evêque de Milan (✝ 355)

Bx Ferdinand, Ambroise, Valentin, François, Charles.. martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Ferréol  évêque de Limoges (VIe siècle)
Saint Ferréol Martyr à Vienne, en Dauphiné (IIIe siècle)
Saint Hygbald  abbé bénédictin (✝ v. 690)
Bx Jean-Pierre, Paul-Marie, Jésus prêtres et religieux, martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Bienheureux Joseph Kut  prêtre polonais et martyr à Dachau (✝ 1942)
Vénérable Niklaus Wolf  laïc suisse (✝ 1832)
Saint Océan  martyr (IIIe siècle)
Bienheureux Pons de Léras  gentilhomme repenti (Hérault) (XIIe siècle)
Saint Romylos  moine (IVe siècle)
Saint Senier  Évêque de Coutances et d'Avranches (VIe siècle)
Saints Théodore, Océan, Ammien et Julien  martyrs (✝ v. 310)

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