Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Bienvenue et aux Saintes âmes du 30 Octobre

Bienheureuse Bienvenue Bojani
tertiaire dominicaine (✝ 1292)


Née dans le Frioul en Italie, elle entra dans le Tiers Ordre de Saint Dominique et se sanctifia ainsi sans entrer dans un couvent. Beata Benvenuta BoianiSes contemporains l'ont dotée de toutes les vertus, mais «on se demande quand elle eut le temps de les mettre en œuvre tellement son biographe nous la montre occupée à faire sans cesse des miracles.» (Englebert) Elle voulait imiter les souffrances du Christ. Un cilice ne lui suffisant pas, elle serra autour de sa taille une corde qui, peu à peu, lui entra dans la chair. Elle en tomba malade, couverte d'ulcères douloureux. Le pape Clément XII la béatifia en 1763, ratifiant ainsi le culte que le peuple lui rendait.
Illustration: Beata Benvenuta Boiani site de la Conférence épiscopale italienne
À Cividale dans le Frioul, en 1292, la bienheureuse Bienvenue Boiani, vierge, sœur de la Pénitence de Saint-Dominique, qui se donna tout entière à la prière et aux austérités.

Martyrologe Romain

Vénérable Jean-Léon Le Prevost 

fondateur des Religieux de Saint-Vincent-de-Paul (✝ 1874)

Jean-Léon Le Prevost est un religieux catholique français, fondateur des Religieux de Saint Vincent de Paul. Il a été proclamé vénérable de l'Église catholique. Wikipédia
Date/Lieu de naissance : 10 août 1803, Caudebec-en-Caux, Rives-en-Seine
Date de décès : 30 octobre 1874, Chaville

Jean-Léon Le Prevost naît en Normandie. Son père possède une petite entreprise de teinturerie avec une cinquantaine d’ouvriers. Sa mère meurt en avril 1804, laissant deux orphelins, Jean-Léon et sa sœur Marie-Françoise. Son père se remarie avec une femme pieuse, Rosalie Duchatard, qui élève ses beaux-enfants avec amour.

Il entre à neuf ans au pensionnat de Bolbec, puis au collège royal de Rouen. Mais l’entreprise paternelle fait faillite et le père de Jean-Léon Prevost meurt désespéré en 1822. Le jeune homme laisse sa petite part d’héritage à sa sœur et part gagner sa vie comme professeur en Alsace, puis au collège de Lisieux.

En 1825, Jean-Léon Le Prevost travaille au Ministère des Cultes. Il habite au no 4 rue Cassette près de l’église St-Sulpice.

Le 25 avril 1830

Comme tous les Parisiens, il a sûrement été touché par la translation dans les rues de Paris des reliques du géant de la charité, saint Vincent de Paul… le saint bien-aimé des Français. La grâce agissait en son cœur…

Au salon de Montalembert JL L Prevost 1843

Depuis son arrivée à Paris, à deux pas chez lui, Le Prevost fréquentait le salon de Montalembert où se côtoient artistes, penseurs, écrivains tels Eugène Boré, Lacordaire, Lamennais, le musicien Liszt et puis le cadet du groupe, un jeune universitaire, étudiant en droit, Frédéric Ozanam…  On y discutait de politique, de changement de société, de catholicisme…

Même si les événements politiques bouleversent ce jeune artiste sensible Le Jeune Jean-Léon Le Prévost et romantique (Révolution de juillet – les Trois Glorieuses des 26-27-28 – chute de Charles X… révoltes en Belgique, en Pologne, capitulation de Varsovie), il aspire en fait à d’autres choses qu’à la poésie et à la politique…

Son ami, Charles Gavard, qui fréquentait aussi le salon de Montalembert, lui fait connaître un jeune poète angevin du nom de Victor Pavie. C’est à lui qu’il confie, dans ses premières lettres qui nous sont restées, son cheminement spirituel. Son amitié avec Victor Pavie, lui ouvre le cœur.

Il délaisse peu à peu les rêves du romantisme et de la liberté politique et commence sa montée vers Dieu… son chemin de conversion et la recherche de sa vocation.

Le 9 août 1832, il annonce à son ami Pavie qu’il est redevenu croyant.

Comme pour saint Vincent, Dieu faisait son chemin dans son cœur, sans le forcer, au moment favorable.

L’appel de la Charité
La misère des pauvres de Paris

La situation sociale en France, et particulièrement à Paris, est dramatique : les pauvres sont laissés à leur sort, l’industrialisation naissante commence à exploiter les ouvriers, et surtout les enfants, qui travaillent dans des conditions misérables, les artisans peinent à survivre.

Ozanam, un jeune étud0034iant de la Sorbonne qui, avec un groupe d’amis se réunissait chez Emmanuel Bailly, dans un cercle d’études appelé «Conférence d’histoire», décide de s’engager plus avant, sur le terrain du dévouement charitable.

Ainsi, le 23 avril 1833, jaillie du cœur aimant et zélé de Frédéric Ozanam, la « Conférence de Charité » est fondée, avec Emmanuel Bailly comme président.

Monsieur Le Prevost qui veut « donner une forme à sa foi ». Le Seigneur répond à son désir par une rencontre providentielle dans un petit restaurant de la rue des Canettes où il prenait souvent des repas avec son ami Levassor.

Un jour, dans ce restaurant, se retrouvent Frédéric Ozanam, qu’il connaissait chez Montalembert, et ses compagnons. L’échange est plus que cordial, les cœurs s’unissent autour de la même foi et du même élan de charité. Le Prevost est alors invité à faire partie de la nouvelle Conférence de Charité: St Vincent de Paul

Proposition de Le Prevost : saint Vincent patron de la Conférence

Le Prevost est certainement très marqué par la vie de Monsieur Vincent, car, le 4 février 1834, inspiré d’une grâce de l’Esprit, il propose à la Conférence de Charité de prendre saint Vincent comme patron. La proposition est acceptée et un nouveau tournant est pris par la Conférence St-Vincent de Paul.

Le mariage avec Aure De Lafond
Le Prevost cherche auprès de Dieu sa vocation. En 1833, alors qu’il logeait chez la famille Hébert, il rencontre Aure De Lafond, de dix ans son aînée, artiste peintre, goûtant comme lui les arts et les lettres.

Cette amitié réciproque sera renforcée par les soins que lui donnera Mlle De Lafond lorsque Monsieur Le Prevost sera atteint du choléra. Il croit alors que le dessein de Dieu se trouve dans la noble vocation du mariage.

Le Prevost se marie avec Mlle De Lafond le 19 juin 1834 et s’installe au no 98 rue du Cherche-Midi, à deux pas de la Maison des Lazaristes à l’arrière de la chapelle St-Vincent de Paul où chaque jour il se rendra prier.

 Le Seigneur veille sur Le Prevost et le soutiendra dans ce mariage de « charité » qui deviendra pour lui une épreuve sanctifiante.

Le Prevost au sein de la SSVP
À la fin 1834, la Société de St-Vincent de Paul est devenue nombreuse.  Ozanam et quelques compagnons, dont Le Prevost, songent à scinder la Conférence en deux et même à répandre son mouvement dans toute la France. Le 17 février, la décision est prise la SSVP se scinde en deux sections : St-Étienne-du-Mont  et St-Sulpice.

Le 3 mars 1835, dix ans jour pour jour avant la fondation des Frères de St-Vincent de Paul, a lieu la première séance de la Conférence St-Sulpice. Le Prevost en deviendra président le 11 décembre 1836.  C’est alors que, durant près de dix ans, le zèle et la créativité de M. Le Prevost l’amènent à se donner de cœur et d’âme aux œuvres de charité de la SSVP. La Conférence St-Sulpice méritera le beau titre de « reine des conférences ».

Dans l’esprit de saint Vincent de Paul, plusieurs petites œuvres voient le jour :  pour les pauvres, les orphelins, les malades : la maison de la rue Copeau, le patronage des apprentis…

Le Prevost devient peu à peu un « autre Vincent de Paul »

Maurice Maignen à 21 ans d'après un dessin fait par lui-même Au printemps 1843, un jeune homme de 21 ans se présente au 98 de la rue du Cherche-Midi. Il s’appelle Maurice Maignen. Il est né le 3 mars 1822 à Paris. Il a entendu parler de la Société de St-Vincent de Paul.

Maurice Maignen deviendra rapidement un ami et un fils pour M. Le Prevost qui le ramènera à la pratique religieuse et l’accompagnera sur la voie de sa vocation.

L’œuvre de la Sainte-Famille

Saint Vincent n’a pas fini d’inspirer M. Le Prevost. En avril 1844, il fonde l’œuvre de la Sainte-Famille. Le dimanche, au sous-sol de l’église St-Sulpice, il réunit les familles les plus humbles pour leur apporter un peu de consolation et de formation chrétienne : prières, chants, causeries, loteries… M. Maignen aide M. Le Prevost dans cette œuvre qui se répand rapidement à d’autres paroisses.

Projet de fondation
À l’automne 1844, lors d’une promenade dans les bois de Chaville, M. Le Prevost confie à M. Maignen son projet : celui de fonder un Institut de Frères dédié aux œuvres de charité pour soutenir la SSVP.

« Il faudrait, déclare-t-il à Maignen, que Dieu fit surgir dans son Église, pour le salut des pauvres et des ouvriers, une société nouvelle de religieux, entièrement consacrés à ces œuvres, dont nous voyons la puissance, et, sur elles, la manifeste bénédiction de Dieu…Ce serait là, ami, les vrais moines du dix-neuvième siècle ».

Fr. Myionnet en 1874 Ce même jour de promenade de 1844, tout en continuant la conversation avec Maurice Maignen, Le Prevost lui raconte comment, un matin, en sortant de la chapelle des Lazaristes, il avait été abordé par un membre de la Conférence St-Vincent de Paul d’Angers, désireux, lui aussi, de se consacrer à Dieu dans un nouvel Institut dévoué aux classes ouvrières.

Il se nomme Clément Myionnet, il a 32 ans.

La fondation des Frères de St-Vincent de Paul
Un an plus ta3 mars 2015 Animateurs, Jean-Léon Le Prevost, Maurice Maignen et Clément Myionnet sont à genoux devant le reliquaire de saint Vincent de Paul, leur patron, pour fonder la nouvelle congrégation, dont l’unique frère est Clément Myionnet , Monsieur Le Prevost étant retenu par les liens du mariage et Maurice Maignen n’ayant pas encore décider de quitter sa famille.

M. Le Prevost devient Supérieur de la communauté

Le 17 septembre 1845, après un long suspense, de nombreuses lettres, beaucoup de psychologie et « d’habilité dans le maniement des âmes », M. Le Prevost écrit à Mgr Angebault qu’il a obtenu le consentement formel de son épouse. Après avoir su dénouer sans le briser le lien conjugal en souffrance, le voilà désormais libre de suivre son attrait…mais il lui faudra encore du temps pour se dégager tout à fait.

Les trois Frères sont enfin réunis !

Le 3 octobre 1846, avec l’entrée en communauté de M. Maignen, les trois Frères déjà unis par le cœur, le sont maintenant tout entiers, corps et âmes, à la maison de la rue du Regard.

L’apparition à la montagne de La Salette

Notre Dame de la Salette

C’est durant cette même année, que le 19 septembre, au sommet des Alpes, au village de La Salette, une belle dame adressait à deux humbles enfants un message de conversion et de réconciliation. M. Le Prevost y verra un signe particulier adressé à sa petite famille religieuse et fera ériger à Vaugirard un Sanctuaire en l’honneur de Notre-Dame de La Salette.

Le développement des oeuvres
Après le Patronage de la Rue du Regard, un deuxième patronage est fondé à Grenelle. Un an plus tard, la communauté obtient la permission de garder le Saint-Sacrement et de faire célébrer la messe dans la petite chapelle du patronage de Grenelle. En 1850, l’arrivée de l’abbé Henri Planchat va leur permettre d’accueillir des prêtres et des frères. La congrégation s’appelle y trouvera son charisme dans la collaboration entre le Frère et le Père.

La communauté va s’étendre et s’affermir. Le patronage de la rue du Regard déménage auprès de l’église Notre-Dame de Nazareth.  Il y a une centaine de jeunes ouvriers, deux cents apprentis et une cinquantaine de vieillards. Peu de temps après, un orphelinat est ouvert en proche banlieue avec la chapelle Notre-Dame-de-la-Salette. Vaugirard deviendra la « Maison d’oeuvres » dédiées aux pauvres, aux jeunes et aux ouvriers.

 Le Prevost photo groupe juin 1858

Les dernières années de sa vie
Jean-Léon Le Prevost est ordonné pr8. J-L. Prevost - 1862être le 22 décembre 1860 à la chapelle de la Salette de Vaugirard. Il ira faire un pèlerinage à Notre-Dame de la Salette quelques années plus tard. En 1869, il se rendra prier à Rome au tombeau de saint Pierre. Il célèbre la messe dans les différentes basiliques et reçoit la communion des mains du Pape Pie IX, le Jeudi Saint.

La guerre de 1870 provoque des souffrances pour la population de Paris et pour la jeune congrégation avec la mise à sac de la maison de Chaville. S’ajoute à cela  la Commune de Paris  au cours de laquelle l’abbé Planchat, le premier prêtre de la Congrégation, est pris en otage et fusillé par les communards, le 26 mai 1871.

Jean-Léon Le Prevost, déjà affaiblit par la maladie depuis quelques années, meurt le 30 octobre en 1874, entouré des siens.

En chemin vers la béatification
Dès lors sa réputation de sainteté s’étend au delà de sa famille religieuse.

Son procès de béatification, retardé par les événements politiques et les guerres, sera finalement ouvert en 1937.  L’héroïcité de ses vertus fut reconnue par le Pape Jean-Paul II le 21 décembre 1998. Il devient alors le Vénérable Jean-Léon Le Prevost. 

 

Bx Ange (Angelo) d’Acri
Prêtre o.f.m. cap.
(1669-1739)

Angelo, au siècle Lucantonio, naît le 19 octobre 1669 à Acri, en Calabre, de Francesco Falcone et de Diana Enrico : parents pauvres mais riches en vertus chrétiennes.  Il eut le bonheur d'avoir pour maître, dans son enfance, un pieux capucin qui lui apprit à méditer chaque jour la Passion de Jésus-Christ et à s'approcher souvent du sacrement de Pénitence et de la Table Sainte. Quelle édification pour tous de voir cet enfant passer deux ou trois heures de suite dans la contemplation des souffrances du Sauveur !
À dix-huit ans, il entra chez les Capucins ; mais il en sortit plusieurs fois par inconstance. La troisième fois il se mortifia si bien, il se mit à l'œuvre avec tant de courage, qu'il obtint la grâce de la persévérance et même dépassa de beaucoup la mesure commune de la perfection des religieux. Au jour de sa première Messe, il tomba en extase après la consécration, ce qui lui arriva souvent dans la suite.

Son désir était de passer sa vie dans le silence du couvent, tout occupé de Dieu et de son âme ; mais le Ciel le destinait à de grandes œuvres. Ses premières prédications furent laborieuses, car la mémoire lui fit défaut, et il lui fut impossible de prêcher ses sermons comme il les avait écrits. Craignant de ne pas être appelé à la vie de missionnaire, il pria Dieu avec ferveur de lui manifester sa Volonté. Il entendit un jour, pendant sa prière, une voix qui lui dit : « Ne crains rien, je te donnerai le don de la prédication, et désormais toutes tes fatigues seront bénies. Tu prêcheras à l'avenir dans un style familier, afin que tous puissent comprendre tes discours. »
Désormais il abandonne ses écrits et ses livres, pour se borner à l'étude de l'Écriture Sainte et du grand livre du Crucifix.

Son éloquence, puisée à ces sources, devint si chaude et si profonde, que les plus savants eux-mêmes en étaient ravis d'admiration. Pendant trente-huit années d'apostolat, malgré les efforts de l'enfer, il opéra un bien immense dans la Calabre. Sa grande force, son argument invincible, était surtout le souvenir de la Passion ; il n'en parlait jamais sans faire pleurer son auditoire.
Il passa de la terre au ciel le 30 octobre 1739.

Angelo d'Acri fut béatifié le 9 décembre 1825 par le pape Léon XII (Annibale Sermattei Della Genga, 1823-1829).

Autres Fêtes du Jour
 

Saints Agent, Pient et Colombe ermites à Moyenvic (VIe siècle)
Saint Alexandre et Cronion son serviteur (✝ 250)
Bienheureux Alexis Zaryckyj prêtre et martyr (✝ 1963)
Saint Ange prêtre capucin (✝ 1739)
Saint Astère d'Amasée évêque métropolitain dans le Pont (IVe siècle)
Bienheureux Bernard de La Tour (✝ 1258)
Saints Claude, Luperque et Victorin martyrs en Espagne (✝ v. 303)
Saint Dragoutine roi de Serbie puis moine (✝ 1316)
Sainte Eutropie martyre à Alexandrie (IIIe siècle)
Saint Gérard évêque en Italie du Sud (✝ 1112)
Saint Germain de Capoue Evêque (✝ 545)
Sainte Hélène d'Anjou (✝ 1276)
Saint Jean de Kotchourov (✝ 1917)
Bienheureux Jean Slade martyr (✝ 1583)
Bienheureux Jean-Michel Langevin prêtre et martyr (✝ 1793)
Saint Joseph de Constantinople (✝ 1283)
Saint Lucain Martyr (Ve siècle)
Saint Marcel le Centurion Martyr à Tanger (✝ 298)
Saint Marcien évêque en Sicile (IIe siècle)
Vénérable María Josefa Recio fondatrice des Hospitalières du Sacré Coeur (✝ 1883)
Saint Maxime martyr en Campanie (✝ 303)
Saint Miloutine roi de Serbie (✝ 1320)
Saint Saturnin Martyr (✝ v. 304)
Saint Sérapion Evêque d'Antioche (✝ 211)
Bx Térence-Albert O'Brien évêque et martyr, de l'Ordre des Prêcheurs (✝ 1651)
Saint Tertios (Ier siècle)

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article