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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Crépin et aux autres âmes du 25 octobre

Saints Crépin et Crépinien
Martyrs à Soissons (✝ 285)

Patron : des  Cordonniers

Crépin et Crépinien étaient des cordonniers romains. Ils faisaient des chaussures pour les pauvres, et vinrent à Soissons annoncer l'Évangile. Ils ont été martyrisés sous l'empereur Maximien.
Crépin et Crépinien furent saisis comme chrétiens et conduits à l'empereur Maximien, qui était de passage dans le nord des Gaules :
« D'où êtes-vous, leur demanda Maximien, et quelle religion professez-vous ?
“Nous sommes, répondirent-ils, de nobles romains qui avons émigré dans les Gaules pour y prêcher la foi chrétienne.
Si vous persistez dans cette folie, leur dit l'empereur, je vous ferai périr d'une mort cruelle : si vous sacrifiez aux dieux, je vous comblerai de richesses et d'honneurs.
Tu crois nous effrayer par tes menaces, répondent les saints martyrs ; mais, pour nous, le Christ est la vie, et la mort est une grâce. Quant aux richesses et aux honneurs, nous les avons quittés volontairement ; garde-les pour tes amis. Si toi-même tu ne renonces pas à tes dieux, tu brûleras au fond de l'enfer.” »

Transporté de rage, Maximien abandonna les deux chrétiens à l'un des plus cruels exécuteurs des persécutions contre les chrétiens, nommé Rictiovarus, pour les torturer avec une violence extraordinaire. Rictiovarus leur fit enfoncer sous les ongles des roseaux pointus ; mais ces roseaux se retournèrent contre les bourreaux et en blessèrent plusieurs ; il les fit jeter ensuite, en plein hiver, avec des meules de moulin au cou, dans une rivière glacée, mais ils surnagèrent et ne sentirent pas le froid.

Ce fut ensuite le tour du supplice de la chaudière remplie de plomb fondu ; ce supplice fut inoffensif pour eux, comme les autres, mais une goutte jaillit sur l'œil du tortionnaire, qui en devint borgne. Sa fureur lui donna le courage de poursuivre, et les deux généreux martyrs furent jetés dans une autre chaudière bouillante, remplie d'un mélange de poix, de graisse et d'huile ; ils y entrèrent en chantant de pieux cantiques, et des anges vinrent les en faire sortir.
Rictiovarus, fou de rage et sans doute saisi du démon, se jeta au milieu du brasier et s'y tordit dans le désespoir. Telle fut la fin de ce grand persécuteur, qui fit périr tant de chrétiens dans les Gaules.

Quant à Crépin et Crépinien, ils eurent la tête tranchée le lendemain. Le culte des saints Crépin et Crépinien est un de ceux qui sont restés les plus populaires ; des confréries furent établies sous leur vocable, de nombreuses églises bâties en leur honneur ; d'éclatants miracles furent obtenus par leur intercession.

 

Bx Carlo Gnocchi
Prêtre et fondateur de la :
« Pro Juventute »
Aujourdhui “Fondazione Don Carlo Gnocchi”

 

Contrairement à l’usage courant, le jour de la mémoire n’est pas celui de la naissance au ciel (dies natalis) mais celui de sa naissance sur terre.

Carlo Gnocchi, troisième enfant de Enrico Gnocchi, marbrier, et Clementina Pasta, couturière, naît à San Colombano al Lambro, commune de la province de Milan, le 25 octobre 1902. Sa jeunesse est rythmée par les décès des membres de sa famille : son père d’abord, en 1907 quand il n’avait que 5 ans, et ensuite ses frères Mario et Andrea (tuberculose).
Il rentre au séminaire, à l’école du card. Andrea Ferrari. Il est ordonné prêtre en 1925 puis il devient directeur spirituel de l'institut des frères des Écoles chrétiennes, l'Institut Gonzague, de Milan. Dans les années 1930 est nommé deuxième aumônier de la légion de Milan, qui est composé d'universitaires.

En 1939, au commencement de la Seconde Guerre mondiale, il est d'abord envoyé comme aumônier de militaires sur le front gréco-albanais.

En 1942, le même poste lui est réservé sur le front russe. À ce moment-là, Carlo aide des prisonniers et des Juifs à s'évader. Lui-même a déjà été emprisonné plus d'une fois.

En janvier 1943, rescapé « miraculé », de la défaite italienne, il écouta les dernières prières des mourants et s'occupa des blessés.

À la fin de la guerre, en 1945, de retour à Milan, alors en reconstruction, il aide les orphelins et les victimes des années précédentes qui furent si terribles pour le monde.

Il a raconté : « Après la guerre, je rêvais de me dévouer complètement au travail de charité, n'importe lequel ou plutôt à celui auquel Dieu m'appellerait. J'espérais et je priais le Seigneur pour une seule chose : dédier ma vie au service des pauvres. C'était ma 'carrière', je n'étais pas sûr d'être digne d'une telle grâce car une telle vie est vraiment un privilège. » Il recueillit orphelins et les jeunes estropiés et il leur procura une formation.

En 1948 naît la fondation « Pro mutilata enfance », qui est reconnue l'année suivante par le Président de la République italienne. En cette année 1949, don Carlo est nommé par le Premier Ministre, président du Conseil pour les enfants mutilés de la guerre.

En 1951 la fondation « Pro mutilata enfance » est dissoute et remplacée par la fondation « Pro Juventute » qui sera reconnue avec Décret du Président de la République italienne, le 11 février 1952. Les années suivantes, il s'occupe des orphelins des Alpes, et il ouvre aussi des hôpitaux pour les enfants atteints de poliomyélite. Aujourd'hui, la Fondation est à l'avant-garde des soins et des thérapies de rééducation.

Mais ce prêtre commence à souffrir d'une tumeur qui bloque le squelette et le système respiratoire.

Don Carlo Gnocchi quitte sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, dans la nuit du 28 février 1956, à Milan, tenant un crucifix en ses mains.

Après sa mort, de nombreuses grâces et miracles furent attribués à son intercession.

Don Carlo Gnocchi est déclaré vénérable, le 20 décembre 2000, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) et proclamé bienheureux, le 17 janvier 2009, par le pape Benoît XVI.

Le 10 mars 2010 le pape Benoît XVI, lors de la rencontre de quelques 1600 pèlerins de la Fondation Don Gnocchi, a brossé un petit portrait du Bx Carlo Gnocchi en le définissant « génie de la charité chrétienne » et en soulignant « Prêtre dynamique et enthousiaste et éducateur perspicace, il a vécu l'Évangile totalement dans les différents contextes de vie dans lesquels il a été actif avec un zèle incessant et avec une ardeur apostolique inlassable. [...] Que son brillant exemple soutienne l'engagement de ceux qui se consacrent au service des plus faibles et suscite chez les prêtres le vif désir de redécouvrir et de fortifier leur conscience du don extraordinaire de grâce que représente le ministère ordonné pour qui l'a reçu, pour l'Église tout entière et pour le monde ».

 

Saint Chély (Hilaire de Mende)​​​​​​​

évêque (✝ 540)
ou Illier, évêque de Mende.

 

Il eut à lutter contre des fanatiques païens et contre les soldats francs qui s'avançaient dans le Gévaudan. De tous, il sut défendre ses fidèles et nous savons, par sa présence au concile de Bourges, qu'il fut un artisan de paix et de réconciliation. Des villes de la Lozère et de l'Aveyron portent ce nom.
"S. Hilaire a été en relations suivies avec le célèbre monastère de Lérins. Il aurait fait une fondation monastique non loin de Mende, le monastère de St. Privat peut-être? Son zèle apostolique s'exerça surtout dans la vallée du Tarn, où il aurait fait également une fondation monastique. Il fut assiégé au 'Castrum' de la Malène par les troupes du roi d'Austrasie.
S. Hilaire participe au Concile de Clermont en 535 et signe les décrets de morale et de discipline intérieure...
Le nom de S. Hilaire, en raison de la langue occitane a été transformé en Chély, en certains endroits du Gévaudan; les vocables St Chély, équivaudraient à St. Hilaire d'après les étymologistes. Plusieurs de paroisses l'ont comme patron: la Parade, St Chély d'Apcher, St. Chély du Tarn, St. Hilaire de Lavit... Son culte a toujours été florissant dans la vallée du Tarn. Une chapelle lui est dédiée dans le cirque des Baumes où il est l'objet d'un pèlerinage."
(les saints du diocèse de Mende, document pdf)Saint-Chély-d'Apcher
Les habitants du village invoquaient gentiment Saint Hilaire sous le diminutif 'Ily'. Et comme tous les habitants parlaient le patois, ils disaient dans leur prière 'Sanch Ily, priez pour nous'. Est né ainsi le nom de 'Saint Chély'. (ville de Saint-Chély-d'Apcher)
Sur le territoire des Gabales, après 535, saint Hilaire, évêque de Mende.

Martyrologe romai

Saint Chrysanthe et Sainte Darie
Martyrs à Rome
(† 286)

 

Né en Égypte, Chrysanthe était fils d'un sénateur romain. Jeune encore, il accompagna son père dans la grande Rome où sa haute intelligence fut bientôt remarquée. Convaincu de la vanité des idoles, Chrysanthe cherchait la vérité qui délivrerait son âme des doutes qui la tenaillaient.

On lui indiqua un vieillard réputé maître en sagesse, lequel n'eut pas de peine à dessiller les yeux du jeune néophyte. La vérité aussitôt connue, Chrysanthe l'embrassa avec ardeur et s'en fit l'apôtre enflammé. Son père jura de faire revenir son fils de ce qu'il appelait "ses superstitions et ses erreurs." Caresses, prières, menaces, tout fut mis en oeuvre, bien qu'inutilement. Cédant alors aux conseils de ses proches, le sénateur enferme Chrysanthe dans son palais pour tendre à sa vertu le piège le plus dangereux. Comme les personnes amenées pour le séduire ne réussissaient pas à l'ébranler, on choisit la prêtresse Darie qui servait une idole dont le culte était regardé comme la sauvegarde de l'empire. Fameuse par ses attraits, par ses connaissances et par le charme de son élocution, cette vestale déploya tous ses artifices pour corrompre le jeune chrétien et l'amener à sacrifier aux faux dieux. Dans Sa miséricorde, Dieu permit que cette femme devint elle-même la conquête de la grâce.

Se voyant unis par les liens de la foi, de l'espérance et de la charité, Chrysanthe et Darie décidèrent de s'unir par un mariage virginal, afin de parvenir par la continence à une pureté de coeur plus parfaite, dans le but de le consacrer totalement à Dieu et de fouler le monde à leurs pieds avec une plus grande facilité. Cette union sainte permit à Chrysanthe de retrouver sa liberté, lui donnant ainsi l'opportunité de continuer à prêcher Jésus-Christ. Sa chaste épouse imita cette conduite héroïque et bientôt de nombreuses conversions s'effectuèrent dans les hauts rangs de la société romaine.

Une des plus remarquables conquêtes du courageux apostolat de saint Chrysanthe fut celle du tribun Claudius, de sa femme, ses deux fils, ses domestiques et soixante-dix soldats. Ces conversions éveillèrent des plaintes et des murmures qui parvinrent promptement aux oreilles du préfet Célérin qui fit arrêter immédiatement les jeunes époux. Après avoir subi divers supplices, saint Chrysanthe fut enfermé dans la prison Mamertine, tandis que l'on exposait sainte Darie dans un lieu de débauche. Cependant, le Seigneur veillait sur ses nobles serviteurs et tous deux sortirent indemnes de leurs épreuves.

Outré de dépit en voyant ses intentions perverses contrecarrées, l'empereur les condamna à être enterrés vivants, supplice affreux que l'on réservait ordinairement aux vestales infidèles. Les saints martyrs Chrysanthe et Darie expirèrent près de la porte Salaria.

Résumé O.D.M.

Autres Fêtes du Jour
 

Vénérable Alfonso Ugolini  prêtre italien (✝ 1999)
Saint Bernard de Calvo  Évêque en Espagne (✝ 1243)
Saint Capuan  Évêque de Cahors (✝ v. 700)
Saints Chrysante et Darie martyrs à Rome (IIIe siècle)
Dédicace des églises consacrées églises dont on ne connaît pas la date de consécration
Saint Doulchard ermite (✝ 584)
Saints Engracia, Frutos et Valentin ermites en Espagne (VIIIe siècle)
Saint Enguerrand Evêque de Metz (✝ 791)
Vénérable Faustino Ghilardi prêtre et franciscain italien (✝ 1937)
Saint Front Evêque de Périgueux en 74 ou vers le IVe siècle (date ?)
Saint Gaudence Evêque de Brescia (✝ 410)
Saint Goueznou ermite puis abbé (✝ 675)
Saint Marcellin  Pape (29e) de 296 à 304 et martyr (✝ 304)
Sainte Marguerite de Højelse martyre à Roskilde (✝ v. 1176)
Saint Marnoch (date ?)
Saints Martyrios et Marcianos martyrs à Constantinople (✝ 355)
Saint Maur évêque en Hongrie (✝ 1070)
Saint Miniato martyr à Florence (✝ 251)
Saint Prote(✝ 303)
Quarante martyrs d'Angleterre et du Pays de Galles catholiques martyrisés en Angleterre et au Pays de Galles entre 1535 et 1679
Bx Récarède, Marie-Thérèse et ses filles martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Sainte Tabitha Ressuscitée par l'apôtre Pierre (Ier siècle)
Bienheureux Thaddée MacCarthy évêque de Cork et de Cloyne en Irlande (✝ 1492

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