Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
30 Octobre 2021
Hayé Sarah
Nos lumières de Rébecca
Dans la lecture de la Torah de cette semaine, ‘Hayé Sarah, nous apprenons que notre ancêtre, Rivka (Rébecca), commença à allumer les lumières de Chabbat dès l’âge de trois ans. De plus, son nouveau mari, Its’hak (Isaac), s’attacha à elle lorsqu’il vit que, comme pour sa mère Sarah, la flamme de ses lumières de Chabbat durait une semaine entière.
Chaque fille de notre peuple est appelée « fille de Sarah, Rébecca, Rachel et Léa ». Chaque fille juive, même une enfant de trois ans, hérite de ce pouvoir merveilleux d’illuminer la maison par l’allumage de ses bougies, pendant toute une semaine, jusqu’au Chabbat suivant.
Il est vrai que les bougies allumées par Sarah et Rivka brûlaient miraculeusement et répandaient une lumière physique pendant toute la semaine, cependant l’effet spirituel de l’allumage des bougies du Chabbat par les femmes et les filles d’aujourd’hui est le même. Bien que nous ne puissions pas le voir avec nos yeux de chair, les bougies du Chabbat allumées par les filles juives de notre époque remplissent la maison de lumière tout au long de la semaine.
Par le mérite des bougies de Chabbat des femmes et des filles juives, puissions-nous voir, rapidement de nos jours, la lumière de notre juste Machia’h, maintenant !
Shabbat Shalom!
La rédaction
Fr.chabad.org
Les revers nous rendent plus forts
Par la grâce de D.ieu
25 Chevat 5736 [27 janvier 1976]
Brooklyn, N.Y.
M. Mordechai Shoel Landow
Miami Beach, Fla.
Salutations et bénédictions :
Par l’intermédiaire de notre ami commun, Rav Sholom Ber Lipskar, je m’enquiers de temps en temps de la façon dont les choses se passent pour vous sur le plan des affaires, et il me fait un rapport dans la mesure où il le sait. J’ai également vu la coupure de presse.
Le véritable homme d’affaires est celui qui sait gérer quand les conditions sont favorables et aussi faire face aux revers
Je n’ai sûrement pas besoin de vous souligner que le véritable homme d’affaires n’est pas celui qui sait gérer ses affaires quand les conditions sont favorables et que les choses se déroulent sans heurts et avec succès, mais aussi, et même surtout, quand il montre qu’il sait faire face à un revers occasionnel. En effet, relever le défi de l’adversité fait de soi un dirigeant plus fort et plus efficace qu’auparavant, avec une dimension d’expérience supplémentaire et une perspicacité accrue, à mettre à profit lorsque les choses commencent à s’améliorer. Parfois, un revers temporaire est juste ce qu’il faut pour reprendre l’avancée avec plus de vigueur, comme dans le cas d’un athlète qui doit franchir un obstacle, lorsque le fait de reculer est le moyen de faire un saut plus haut.
En d’autres termes, je suis convaincu – sur la base de la connaissance que j’ai de vous – que vous prenez la difficulté actuelle à bras-le-corps, que vous y faites face avec lucidité et que vous apportez les nécessaires améliorations structurelles et autres, en termes de contrôle plus étroit et d’efficacité accrue, comme je le vois également dans la coupure de presse, bien que, fondamentalement, la difficulté actuelle soit sans aucun doute une conséquence de la situation économique générale.
La difficulté actuelle est sans aucun doute une conséquence de la situation économique générale
Je vous adresse mes vœux pour que vous ayez très bientôt de bonnes nouvelles concernant une amélioration tangible, et que ce revers ait effectivement servi de tremplin pour la grande reprise des jours à venir. D’autant plus que nous sommes sur le point d’entrer dans le premier des deux mois d’Adar de l’année embolismique juive actuelle – puisse votre Hatsla’ha((=Succès.)) être doublée, elle aussi, en quantité et en qualité, c’est-à-dire dans la résurgence des bénéfices et dans leur utilisation de la meilleure façon possible, pour des choses bonnes, saines et heureuses, matériellement et spirituellement.
Avec ma bénédiction,
M. Schneerson
Correspondance de Rabbi Menahem M. Schneerson, le Rabbi de Loubavitc